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église paroissiale Saint Roch Chanteloup-les-Vignes - Cadastre : 1988 AM 247Description :Petit édifice à vaisseau unique voûté d'ogives. Le chur se distingue de la nef par les retombées , les ogives retombent sur des culs-de-lampes. Le clocher porche reconstruit en 1846 comportait deux niveaux maçonnés au dessus du rez-de-chaussée. Le clocher reconstruit est charpenté au dessus du niveau deStatut :propriété de la communeIllustration :Vue générale, côté sud. Carte postale. (Musée de l'Ile-de-France). IVR11_20027800600XB Vue du clocher. Carte postale. (Musée de l'Ile-de-France). IVR11_20027800599XB Vue d'ensemble de l'église. IVR11_20087800083NUC4A Vue d'ensemble de l'intérieur en direction du choeur. IVR11_20087800292VA Vue d'ensemble de l'intérieur en direction de la tribune. IVR11_20087800289VA Plaque commémorative de la fondation de l'église. Elle est quasiment illisible, sauf pour la date de 1518. IVR11_20087800080NUC4ACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelTexte libre :La totalité du dossier (incluant aussi la synthèse et/ou la bibliographie) est disponible en bas deHistorique :Les paroissiens de Chanteloup-les-Vignes ont obtenu l'autorisation de construire une chapelle qui fut dédiée en 1518 comme le laisse deviner la pierre de dédicace très effacée qui se trouve sous la 1535 quatre perches de terrain furent données pour le choeur. Les deux chapelles latérales furent reprises au XVIIe siècle : celle de la Vierge (à droite) fut agrandie en 1683 et celle de saint Vincent (à gauche) en 1630 grâce au don de Joachim Teinturier religieux au monastère des Feuillants. Le clocher porche a été reconstruit en 1846 sur les plans de l'architecte Fauconnier de Saint-Germain-en-Laye. C'est l'entrepreneur Petit, lui aussi de Saint-Germain-en-Laye qui a réalisé les travaux. Mais des malfaçons furent Bernard Ruel, dont le travail fut primé en 2004 par les rubans du patrimoine, récompense de la fondation
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église paroissiale Saint-Germain Andrésy - 10 boulevard Noël-Marc - en ville - Cadastre : 1983 AT 116Description :C'est un édifice à chevet plat sans transept qui se compose d'une nef centrale flanquée de deux bas , l'église a connu plusieurs phases de construction et remaniements qui expliquent certaines disparités. Le plan avec le désaxement de la nef par rapport au chur en est une. L'élévation, à trois niveaux dans tout l'édifice, présente des variations de détail qui sont à noter ; côté sud, le triforium dans le ch fenêtres hautes de ce côté sont composées d'oculi sans lobes. Mais il n'est pas certain qu'elles soient fausse tribune a une fenêtre haute en oculus il s'agit donc peut-être d'une inversion lors de la mise au propre. Cette travée suivante comporte une ouverture à double arcature directement inspirée du chur de donne pas sur un quelconque passage. Les ouvertures hautes sont toutes en arc brisé de ce côté. Le continue la mouluration de la base du triforium, ce qui n'est pas le cas dans le chur où les colonnettes dans les quatre travées les plus occidentales du bas-côté sud. Elles sont composées de simples tores enStatut :propriété de la communeMurs :pierre de tailleIllustration :Vue de l'abside. Carte postale. (Musée de l'Ile-de-France). IVR11_20027800543XB Intérieur de l'édifice : vue générale de la nef. Carte postale. (Musée de l'Ile-de-France Intérieur de l'édifice : vue du bas-côté gauche. Carte postale. (Musée de l'Ile-de-France Plan, relevé monuments historiques. Dessin. (Médiathèque de l'architecture et du patrimoine Coupe transversale, relevé monuments historiques. Dessin. (Médiathèque de l'architecture et du L'abside, relevé monuments historiques. Dessin. (Médiathèque de l'architecture et du patrimoine Travées de la façade nord et sud, relevé monuments historiques. Dessin. (Médiathèque de Elévation intérieure côté nord et côté sud, relevé monuments historiques. Dessin. (Médiathèque de Vue d'ensemble de la nef et du choeur. Photographie. (AD Yvelines, 2F 108/14 Vue d'ensemble de la nef. Carte postale. (AD Yvelines). IVR11_20087800645NUC2ACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelTexte libre :L'ensemble du dossier (incluant aussi la synthèse et/ou la bibliographie) est disponible en bas deHistorique :quart 12e). Les quatre travées occidentales de la nef, y compris celles sous clocher, pourraient dater du 14e siècle. Deux campagnes de travaux sont à attribuer au 1er quart du 16e siècle : en effet les (piles ondées) et en 1538 à nouveau ils agrandissent en construisant le collatéral nord. Des travaux de 1873 une voûte d'un bas-côté s'est effondrée. Des travaux ont alors été réalisés sous la direction de l'architecte Henry Barruel, avec l'accord de l'architecte diocésain Blondel. Des voûtes sont reconstruites ), le porche ouest, ouverture de la baie murée sur la façade est du collatéral nord et en 1987 démolition de la maison accolée à l'église.
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croix de cimetière Melun - rue Mezereaux (des) - en villeTitre courant :croix de cimetièreDescription :La croix, en calcaire, est placée sur un piédestal de 5 marches en grès. Elle est couronnée par uneStatut :propriété de la communeDénominations :croix de cimetièreInscriptions & marques :Inscription en lettres gothiques : Cy desoubz gist frere Nicole Dalaunoy (?), prêtre, curé de l'église de céans, lequel a donné ceste croix l'an mil Vc et deux. Priez Dieu pour luy.Copyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelDimension :h = 450 (dimension approximative, avec le piédestal. Hauteur de la croix seule : h = 230 cm environ)Catégories :taille de pierreHistorique :La croix du cimetière sud provient de l'ancien cimetière Saint-Etienne, dans l'île. Ainsi que prêtre de l'église Saint-Etienne, Nicole Dalaunoy ou Desaunoy (lecture incertaine).
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hôtel des Cens Melun - 16 rue Paul-Doumer - en ville - Cadastre : 1985 AS 214Description :L'hôtel des Cens se composait d'un corps de logis entre cour et jardin. Le corps de logis, orienté la tourelle circulaire a été préservée. Le côté oriental de la cour était bordé par une galerie -d’œuvre, en vis, dans une tour carrée. Le côté sud de la cour était séparé de la rue aux Oignons (actuelle rue Paul-Doumer) par un corps de bâtiment percé d'une porte cochère. Le côté ouest de la cour comportait également des bâtiments. A l'arrière du corps de logis s'étendaient les jardins, dont une partie occupait l'ancien éperon de la porte des Carmes. Cet ensemble, qui constituait l'un des principaux hôtels de Melun, a presque entièrement disparu. Il n'en subsiste que quelques vestiges (tourelle d'escalier et pans de murs) ainsi que des éléments de charpente, remployés par Gilson dans l'hôtel de ville.Illustration :La galerie de l'hôtel des Cens. (BNF, Département des estampes. Topo Va Seine-et-Marne La cour de l'hôtel des Cens en 1830. Fusain et estompe sur papier. (Musée municipal de Melun. inv Projet d'aménagement de l'aile occidentale de l'hôtel des Cens. Papier aquarellé, vers 1750. (BM Plan de la maison et jardin appartenant à Monsieur du Soulié, conseiller du roi, président , lieutenant général civil et de Police, situé rue des Oignons à Melun. Papier aquarellé, 1753. (AM Melun. 1 FiAuteur :[propriétaire] Regnier, de Louis [propriétaire] Moreau de la RochetteCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :Au Moyen Age, l'hôtel des Cens est le lieu où sont versées à l'abbaye de Saint-Denis-en-France les -1503. En 1629, Pierre Regnault, procureur du roi au bailliage de Melun, vend l'hôtel aux religieuses de un corps de garde ayant été établi près de la porte des Carmes en 1652, à proximité de leur retraite président au siège présidial de Melun (1653). Celui-ci obtient en 1661 la jouissance de l'éperon qui jouxte sa propriété au nord, et le transforme en jardin. En 1744, l'hôtel est vendu à Louis de Regnier de Guerchy, marquis de Brichanteau-Nangis. En 1750, la demeure passe à Louis du Soulié, conseiller du roi au bailliage, qui augmente l'aile occidentale. L'hôtel passe ensuite par mariage dans la famille Moreau de la Rochette. Acquis par la ville en 1838 pour 70 000 francs, il est démoli (sauf sa tourelle et quelques pans de murs) pour permettre la construction de l'hôtel de ville sur les plans de J.-J. Gilson (1846-1848).
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dalle funéraire de Jean de Pierrepont Meaux -Titre courant :dalle funéraire de Jean de PierrepontDescription :blanc et un reste de marbre noir subsiste encore sur l'un des écus.Statut :propriété de l'EtatÉtat de conservation :La dalle est en partie effacée et les incrustations de marbre dans les écus armoriés sont enAppellations :de Jean de PierrepontInscriptions & marques :L'épitaphe est gravée sur les bords de la dalle : "Hic jacet venerandus magister et dominus Joannes de Pierrepont quondam Meldensis episcopus qui obiit anno Domini millesimo quingentesimo decimo . Ave Maria." Elle est partiellement effacée, de même que les armoiries. D'après la description de la dalle funéraire en 1723, les deux écus de part et d'autre de l'évêque étaient incrustés de marbre et représentaient un pont de pierre de marbre blanc sur du noir.Copyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel (c) Conseil général de Seine-et-MarneReprésentations :L'évêque Jean de Pierrepont est représenté en vêtements pontificaux, avec la mitre et la crosse. IlHistorique :Cette dalle est celle de Jean de Pierrepont, évêque de Meaux de 1500 à sa mort en 1510. Elle se trouvait à l'origine dans le sanctuaire de la cathédrale, au nord du maître-autel. Lors du réaménagement du nord du déambulatoire. Elle fut à nouveau enlevée à l'occasion des travaux de restauration du chevet de Musée Bossuet, comme la dalle de Guillaume de Saint-Remy (IM77000395). Le tombier qui a réalisé cette tombe était probablement un artiste parisien. On peut en effet rapprocher la dalle de Jean de Pierrepont d'un contrat passé en mai 1518 par Martial Gallicier, archidiacre de Brie, avec les tombiers parisiens Contesse, veuve de Philippot Prisé, et son fils André, pour la fourniture d'une "tombe de liais de 8 pieds Saint-Etienne de Meaux (Coyecque, "Recueil d'actes notariés"..., tome I, 1905, n° 127) ; ce contrat doit se rapporter à la dalle funéraire (perdue) de Louis Pinelle, mort en 1516 et inhumé lui aussi dans la cathédrale, plutôt qu'à celle de Jean de Pierrepont comme le proposait Françoise Baron.Déplacement :lieu de dépôt Ile-de-France,77,Meaux,salle basse du Musée Bossuet
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statue : Christ glorieux MaurecourtStatut :propriété de la communeCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :La statue est signalée sur l'inventaire de 1905 un Christ grandeur 2/3 mais on ignore sa provenance.
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ensemble de deux retables flamboyants Melun - rue Saint-Aspais - en villeTitre courant :ensemble de deux retables flamboyantsDescription :pierre de style flamboyant, couvrant presque toute la paroi. Chaque retable est composé de trois dais architecturés flanqués de deux niches plus basses.Statut :propriété de la communeIllustration :Vue intérieure : bas-côté et chapelles nord. (Médiathèque de l'architecture et du patrimoine Le retable de la 2e chapelle nord (chapelle Saint-Loup et Saint-Gilles) : vue d'ensemble. Vue Détail : la frise de putti sculptée sur la base du retable. IVR11_20047700080XA Retable de la 3e chapelle nord (chapelle Saint-Antoine) : vue d'ensemble. Vue d'ensembleCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :Ces retables, sculptés dans le calcaire, sont probablement contemporains de la reconstruction de l'église sous la direction de l'architecte Jean de Felin, dans le 1er quart du 16e siècle. Ils ont perdu
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ensemble de 5 culs-de-lampe Chanteloup-les-VignesTitre courant :ensemble de 5 culs-de-lampeDescription :Dans la nef les ogives retombent sur 8 culs de lampe dont 5 sont sculptés.Statut :propriété de la communeIllustration :Décor stylisé d'oves et de palmettes. IVR11_20087800038NUC4A Cul-de-lampe représentant un ange. IVR11_20087800039NUC4A Cul-de-lampe représentant un vigneron au travail. IVR11_20087800040NUC4A Cul-de-lampe représentant un ange tenant un phylactère. IVR11_20087800041NUC4A Vue latérale du cul-de-lampe représentant un vigneron. IVR11_20087800042NUC4ADénominations :cul-de-lampeCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelReprésentations :ove, palmette ; vigneron ; ange ; animal ; Un cul-de-lampe est orné d'oves et de palmettesHistorique :La datation donnée est celle de la nef.
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verrière : saint Sébastien et saint Adrien Chanteloup-les-VignesStatut :propriété de la communeCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelTexte libre :La totalité du dossier (incluant aussi la synthèse et/ou la bibliographie) est disponible en bas deDimension :h = 60 ; la = 25 (dimension de panneaux anciens)Historique :Les panneaux datent probablement de la première phase de construction (vers 1520). Ils ont été remontés dans une verrière décorative probablement vers 1865-69 lors de la réfection des autres vitraux.
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Sculptures architecturales de la chapelle sud Les Alluets-le-Roi - en villageTitre courant :Sculptures architecturales de la chapelle sudDescription :A l'occasion de la réalisation de la voûte de la chapelle sud, dans le premier quart du XVIe siècle oriental ont été resculptés ; du côté ouest, on a installé deux culots pour recevoir la retombée de l'ogive ; et la clé de voûte a également reçu un décor figuratif. Cet ensemble de sculptures a par la suite été recouvert par un badigeon (visible sur les photos prises en 1991), ôté lors de la restauration récente de l'église. Les armes qui étaient probablement figurées sur le chapiteau sud-est ont été bûchées de l'abside). Elle représente un lion, reconnaissable à sa crinière et à ses pattes griffues vent. Il s'agit vraisemblablement de l'épisode biblique de Samson tuant le lion (Livre des Juges, 14:6 ), un thème dont la popularité, au début du XVIe siècle, a sans doute été attisée par une estampe de Dürer (consultable dans la rubrique "liens web"). Enfin, à la clé de voûte, apparaît une Vierge à l'Enfant qui évoque la Femme de l'Apocalypse, debout sur un croissant de lune et entourée de rayonsIllustration :Chapiteau à l'angle nord-est de la chapelle : Samson chevauchant le lion. IVR11_20207800216NUC4A Clef de voûte de la chapelle : Vierge à l'Enfant sur une nef (Notre-Dame de Boulogne Chapiteau à l'angle nord-est de la chapelle : Samson chevauchant le lion (état en 1991 Chapiteau à l'angle sud-est de la chapelle : écu bûché, surmonté d'une couronne et d'un motif Culot à l'angle sud-ouest de la chapelle : anges portant un phylactère (?) (état en 1991 Culot (en partie refait) à l'angle nord-ouest de la chapelle : écu avec coeur et motif décoratif La clé de voûte de la chapelle sud (état en 1991). IVR11_19917800585XDénominations :clef de voûteCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelTexte libre :modification architecturale s'est accompagnée de l'exécution d'un décor sculpté, tout comme dans le choeur (voir le dossier IM78001421). Ce décor est concentré sur cinq points : la clef de voûte, et les deux
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abbaye Saint-Faron Meaux - rue Saint-Faron - - Cadastre : 2000 BW 464-472, BX 439Genre :de bénédictinsDescription :L'église abbatiale, dont les fondations ont été retrouvées en fouille, s'élevait en retrait de la sur lequel ouvraient, dans le dernier état de l'édifice, trois chapelles rayonnantes situées sur le côté sud. La vue cavalière publiée dans le "Monasticon gallicanum" montre qu'à l'angle sud-ouest de l'église s'élevait un fort clocher carré, à quatre étages de baies en plein cintre, qui paraît remonter à l'époque romane. Au sud de l'église abbatiale s'étendait le cloître, flanqué à l'est d'un dortoir et au sud d'un réfectoire de style rayonnant. Plus au sud encore, se trouvait le logis abbatial précédé d'uneIllustration :Plan du jardin de l'abbaye Saint Faron (milieu du XVIIIe). (AD Seine-et-Marne. H 192 Place notables estant à l'abaie de St Faron à Meaux en Brie" : gravure du début du XVIIe siècle représentant le cloître de l'abbaye, avec le logis abbatial à l'arrière-plan à droite. Gravure. (BNF du 17e siècle. Tiré de : "Fastes et annales des évêques de Meaux", tome I /P. Janvier. (Médiathèque Jubé de l'églize de St-Faron, du dessein du sieur d'Orbay le Jeune en 1702". Dessin, 18e s. (BNF Dessin d'un autel entouré de boiseries. Dessin, 18e s. (BNF. Département des estampes, TopoVa Seine Dessein d'un autel de marbre fait pour l'église de St Faron lès Meaux par frère Guillaume de la Tremblaie, par les soins de D. Jacques Houdart, prieur du même monastère, en janvier 1703." Dessin, 18e s Plan d'un petit autel de marbre pour l'église de St Faron par M. d'Orbay le Jeune en 1702." Dessin Projet d'autel avec dais d'exposition pour la châsse de saint Faron. Dessin, 18e s. (BNFAuteur :[commanditaire] Bullion, de PierreCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel (c) Conseil général de Seine-et-MarneTexte libre :L'abbaye Saint-Faron, dans le faubourg nord de la ville, constituait l'un des plus importants établissements monastiques de Meaux. Mais elle est aujourd'hui complètement effacée du paysage urbain, et c'estHistorique :L'abbaye fut fondée au VIIe siècle par saint Faron, évêque de Meaux, qui s'y fit inhumer et dont elle prit plus tard le nom. A la fin du XIe siècle, elle fut choisie comme lieu de sépulture par la comtesse de Champagne Adèle, épouse de Thibaut III, à qui l'on attribuait la reconstruction du sanctuaire . D'importants travaux furent menés au XIIe siècle, peut-être en lien avec la translation des reliques de saint Faron en 1140. Le tombeau dit d'Ogier le Danois, dont subsiste la tête (conservée au musée Bossuet de campagne de construction, dont témoignent les fondations des chapelles rayonnantes retrouvées en fouilles gravure publiée par Chastillon montre l'existence d'un cloître et d'un réfectoire de grande dimension , construits en style rayonnant. Mais la guerre de Cent Ans causa de nombreux dommages à l'abbaye, qui ne se congrégation de Saint-Maur. Cette réforme fut aussitôt suivie de travaux en 1622. Sous l'abbatiat de Pierre de Bullion (1632-1659), le cloître et le logis abbatial firent l'objet de réaméagements. En 1702-1703, le
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chapelle Jean Rose Meaux - 65 rue Saint-Remy - - Cadastre : BP 122Description :La chapelle s'élève le long de la rue Saint-Remy. C'est un édifice de plan très simple : un vaisseau unique de cinq travées, couvert d'un toit à longs pans, et une abside, couverte d'une croupe à trois pans. La partie orientale de l'édifice présente un décor flamboyant qui se déploie sur les baiesStatut :propriété de la communeIllustration :Plan dressé par Charles Genuys, en 1913. (Médiathèque de l'architecture et du patrimoine. 0082/077 Relevés de P. Barniaud, en 1943 : plan d'ensemble, plan des toitures, coupe axiale, coupes longitudinale et transversale. (Médiathèque de l'architecture et du patrimoine. 0082/077/2019, document n°81975 Vue intérieure de la chapelle de l'hôpital Jean-Rose, alors chapelle du Grand Séminaire : le Photographie ancienne du portail nord, vers la rue Saint-Remy, avec la statue de l'Ecce homo Vue intérieure de la chapelle de l'hôpital Jean-Rose, alors chapelle du Grand Séminaire Vue intérieure de la chapelle de l'hôpital Jean-Rose, alors chapelle du Grand Séminaire ; retirage Détail du pan coupé nord de l'abside. IVR11_20127700976NUC4A Détail de la clé de voûte de l'abside : la Flagellation du Christ (XVIe siècle Détail d'une clé de voûte : les instruments de la Passion (XVIe siècle). IVR11_20127700980NUC4AAuteur :[] Belleau, de Jean [commanditaire] Marleu, de AntoineCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel (c) Conseil général de Seine-et-MarneReprésentations :Le décor des clés de voûte du choeur rappelle la titulature de l'hôpital par la représentation des instruments de la Passion et de la Flagellation du Christ.Historique :1356 au lieu-dit "le Donjon" un hôtel-Dieu placé sous le vocable de la Passion, pour accueillir 25 aveugles, 12 pauvres passants et 10 enfants. De cet établissement hospitalier subsiste la chapelle, dont le choeur est reconstruit à partir de 1515, en style gothique flamboyant, sur les ordres de l'administrateur de l'hôpital Rémy du Bocquet. Les quatre travées occidentales de cette chapelle datent de 1636 . Elles furent élevées sous l'épiscopat de Jean de Belleau, dont les armes figurent sur une clé de voûte . Deux autres clés portent le chiffre des administrateurs alors en charge de l'hôpital : Antoine de
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dalle funéraire de Jehan de Marcilly Meaux -Titre courant :dalle funéraire de Jehan de MarcillyStatut :propriété de l'EtatAppellations :de Jehan de MarcillyIllustration :Vue générale, depuis la chaire des Trinitaires (qui recouvre la partie inférieure de la dalleInscriptions & marques :Epitaphe gravée en lettres gothiques sur les côtés de la dalle, en partie cachée par le lambris du mur ouest et par la chaire dite "des Trinitaires" (restitution du texte complet d'après les travaux de marcilly pbre et ch]anoi(n)e et ca(n)tre de l'egl(is)e de meaulx natif de Varedes lequel [a fondé une chapelle en ladite egl(is)e en l'oneur de (l'annonciation) nostre dame et (...). Et trespassa le dimenche XXe] jour de octobre l'an mil cinq cens et six. Priez Dieu pour luy et pour tous trespass(és)." Les armoiries du défunt, placées au milieu de la date de son décès, sont effacées et peu lisibles (on distingueCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel (c) Conseil général de Seine-et-MarneDimension :h = 260 (environ) ; la = 129. Le haut de la dalle est caché par le lambris de la chapelle, laEmplacement dans l'édifice :dans la chapelle de l'Annonciation (1ere chapelle nord de la nef)Historique :Jehan de Marcilly, chantre de la cathédrale, fut inhumé en 1506 dans la chapelle de l'Annonciation qu'il avait fondée quelques mois avant sa mort. Il était également représenté sur le vitrail de cette
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portail de gauche de la façade occidentale : vie de saint Jean-Baptiste Meaux -Titre courant :portail de gauche de la façade occidentale : vie de saint Jean-BaptisteStatut :propriété de l'EtatÉtat de conservation :nombre de pertes : têtes ou membres disparus, et vide au niveau des 2e claveaux (gauche et droit) de laIllustration :restauration de la base de la tour nord (2008) : le tympan. IVR11_20087700349XA restauration de la base de la tour nord (2008) : les registres supérieurs du tympan. IVR11_20087700350XA restauration de la base de la tour nord (2008) : les registres inférieurs du tympan (scènes de la vie de saint Partie supérieure du tympan et de la première voussure. IVR11_20097700215NUC4A Détail du tympan (partie gauche du registre médian) : la naissance de saint Jean-Baptiste restauration de la base de la tour nord (2008) : détail des voussures (à gauche du portail restauration de la base de la tour nord (2008) : les voussures et l'extrémité gauche du tympan restauration de la base de la tour nord (2008) : détail d'une sainte lisant, au départ de la voussure centrale Détail de la voussure médiane : 1er claveau gauche, sainte assise lisant le livre ouvert sur ses Détail de la voussure médiane : 2e claveau gauche, sainte Marie l'EgyptienneCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel (c) Conseil général de Seine-et-MarneTexte libre :Le portail gauche de la façade occidentale de la cathédrale de Meaux est consacré à saint Jean -Baptiste, comme à la cathédrale de Sens. Alors que les deux autres portails de la façade meldoise datent duReprésentations :naissance de saint Jean-Baptiste prédication de saint Jean-Baptiste mort de saint Jean-Baptiste Salomé portant la tête de saint Jean-Baptiste Agneau de Dieu, ange thuriféraire Les deux registres inférieurs du tympan sont consacrés à la vie de saint Jean-Baptiste. La lecture , contrairement à l'habitude, s'effectue de haut en bas. Au registre médian sont représentées la naissance du . Dans la scène de la naissance, Zacharie écrit le nom de l'enfant tandis qu'Elisabeth est allongée , entourée par trois sages-femmes. Dans la scène de la prédication, saint Jean-Baptiste, debout, s'adresse à un public d'hommes et de femmes répartis autour de lui (la plupart sont debout, deux sont assis). LeHistorique :D'après l'historien mauriste de Meaux, Dom Toussaints du Plessis, "le chantre Jean de Marcilly , mort en 1506, fit faire le portail de dessous la tour" ; ce chantre est également le fondateur de la chapelle de l'Annonciation (1ere chapelle nord de la nef), où se trouve toujours sa dalle funéraire (voir dossier IM77000259). Le style confirme cette datation : on peut notamment comparer le tympan au relief de la Dormition de la Vierge de l'église Saint-Jacques de la Boucherie à Paris, daté de 1510 (aujourd'hui conservé au musée du Louvre). Toutefois, au cours des travaux de restauration menés en 2007 sur la tour nord, ont été retrouvés des fragments de dais et de voussure qui attestent de l'existence d'un portail plus ancien, contemporain des deux autres portails de la façade (milieu du XIVe siècle). Sans doute en mauvais état, il a été remplacé par le portail actuel au moment de la construction de la tour
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