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gare Enghien-les-Bains - rue du Départ place Alexandre 1er - en ville - Cadastre : non cadastréDescription :les quais, une galerie couverte abritant les voyageurs, supportée par des colonnes de fonte. Un bâtiment lui faisait face, de l'autre côté du quai, avec la même galerie. Le second bâtiment, sensiblement de la même taille pour le corps de bâtiment central, possédait des ailes latérales. Le décor était premier étage, et au niveau du toit, au dessus de la corniche, des balustres de pierre masquant une partieÉtages :rez-de-chaussée étage de combleAnnexe :musée de l'Ile-de-France Sceaux). Enghien, gare. Sources et bibliographie Revue Le Figaro. 28-sept-56. (Centre de documentation duIllustration :Vue d'ensemble de la façade antérieure. Carte postale, 1er quart du 20e siècle. (Musée de l'Ile-de Vue de la station d'Enghien. Gravure, 1846. (BNF, Département des estampes, Topo Va, Fol. Tome III -France) IVR11_20069500009NUCB Vue d'ensemble de la façade antérieure. Carte postale, 1ère moitié 20e siècle. (AD Val d'Oise Vue d'ensemble de la façade de la gare sur les quais, avant la reconstruction de la passerelle Vue de la première passerelle en bois érigée en 1866. Carte postale, 1er quart 20e siècle. (AD Val Vue d'ensemble de la façade sur les quais. IVR11_20089500185NUC4A Vue d'ensemble de la passerelle construite en 1932, depuis la rue de l'Arrivée Détail du départ de l'escalier de la passerelle construite en 1932, côté rue du Départ Vue d'ensemble de l'ancienne gare du Refoulons, actuelle gare routière. IVR11_20089500181NUC4ACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :. Elle a été réhabilitée entre 1996 et 1998 dans le cadre d'une opération pilote en Ile-de-France de la compagnie de chemin de fer du Nord dont dépend la ligne. Elle est reconstruite en 1866. A cette occasion, avec le doublement des voies, une passerelle de bois est installée pour permettre aux voyageurs de franchir les voies et se rendre de part et d'autre de la voie ferrée dans la ville. C'est également en 1866 qu'une nouvelle gare est construite, la gare du Refoulons dont il subsiste sur le côté de la gare actuelle une halle supportée par des colonnes de fonte. En 1932, la première passerelle étant : aménagement du hall, de la zone de vente, du souterrain, des accès aux quais directs et du parvis d'entrée . Dans un article du 24 décembre de la Vie du rail, Un siècle et demi de gares françaises, elle est qualifiée de style anglais pour la présence de sa passerelle et de ses quais hauts.
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établissement thermal Enghien-les-Bains - 87 rue du Général de Gaulle rue de Malleville - en ville - Cadastre : 1995 AE 335, 364Description :Le premier bâtiment, face au lac, alors en pleine campagne, présentait un plan en U cantonné de trois grands corps de bâtiments d'un étage avec, dans l'axe central, un bâtiment perpendiculaire. La façade principale, symétrique, d'une composition ternaire, était largement ouverte par de grandes baies . Sur la cour, l'étage, réservé aux femmes, était desservi par des galeries de circulation couvertes dernières techniques industrielles de mise en uvre, telles les charpentes métalliques et le béton selon le procédé Coignet. La distribution des lieux de soins et d'accueil est symétrique, à gauche réservée aux hommes et à droite aux femmes. L'entrée à pans coupés est surmontée de la tour-réservoir. À l'arrière se , le cabinet du médecin inspecteur, les salons de consultation pour les médecins de Paris et les qualité architecturale est la grande salle de respiration. Couverte d'une verrière supportée par des colonnes de fonte, elle était décorée dans un style égyptien par le peintre Meuse. Ce parti décoratif, sansÉtages :rez-de-chausséeAnnexe :d'Enghien, guide du baigneur. Paris: Impr. de Wiesener. In p.61. (Bibliothèque Historique de la Ville deIllustration :, 2ème quart 19e siècle. (Musée de l'Ile-de-France) IVR11_20069500077XE l'Ile-de-France) IVR11_20069500050NUCB Vue du pavillon de la source du Roi. Carte postale, 1er quart 20e siècle. (Musée de l'Ile-de-France boulevard du Général de Gaulle. Carte postale, 1er quart 20e siècle. (Musée de l'Ile-de-France postale, 1er quart 20e siècle. (Musée de l'Ile-de-France) IVR11_20069500021NUCB ""champignon de l'Île"" sur ""l'Ile des chênes"", la salle d'inhalation, la remise des canots dans l'île et le Vue d'ensemble de l'établissement thermal. Carte postale, 1er quart du 20e siècle. (Musée de l'Ile -de-France) IVR11_20069500022NUCB Vue d'ensemble du bâtiment depuis la rue. Carte postale, 1er quart du 20e siècle. (Musée de l'Ile -de-France) IVR11_20069500028NUCBAuteur :[architecte] Rohault de FleuryCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :Bouillon et Muller en accord avec Jean Jules François, inspecteur des eaux minérales de France de Mme Gautier vers 1811, puis modifiés et agrandi sen 1821 pour Péligot par l'architecte Rohaut de Fleury qui dessine également un nouveau parc. Une description dans l'ouvrage De la Vallée (1856) vante blanc donnant à l'établissement quelque chose de l'aspect d'un coquet couvent de nonnes. Cette architecture simple, dont la référence est celle de Durand, professeur de l'École polytechnique, est à l'image des bâtiments thermaux et balnéaires de la période. La partie médicale comprenait 36 baignoires pour particulier pour les bains d'eau naturelle. Les guides signalent également 60 lits de maître dans des murs, ce qui laisse supposer le caractère assez léger de la construction. Les sources se situaient dans des pavillons rustiques couverts de chaume. L'établissement possédait une chapelle qui, en raison du caractère saisonnier de l'établissement, faisait chaque année l'objet d'une nouvelle bénédiction. En 1849Localisation :Enghien-les-Bains - 87 rue du Général de Gaulle rue de Malleville - en ville - Cadastre : 1995 AE
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église paroissiale Saint-Joseph Enghien-les-Bains - place du Cardinal Mercier - en ville - Cadastre : 1995 AD 79Description :L'originalité de l'église d'Enghien réside dans son élévation intérieure. En 1858-1860 le parti pris adopté par les architectes est d'établir une simple nef de quatre travées, toujours en place, dont les supports de la voûte sont des colonnettes de fonte. Ce principe est maintenu lors de l'agrandissement de 1927. Toutefois si les voûtes du premier édifice sont en pierre, pour les deux agrandissements (celui de 1868 et de 1927) les arcs de voutes sont en brique creuse. la dernière partie agrandie est élevée en pierre de Brauvilliers pour la façade et pour le reste en pierre de taille de Savonnières . L'édifice présente un chevet plat encadré par la sacristie et une chapelle et l'ensemble de la nef est flanquée de bas-côtés formant chapelles. L'ensemble est couvert en ardoise sauf les bas-côtés couverts deMurs :pierre de tailleIllustration :Vue d'ensemble de la façade occidentale. Carte postale, vers 1910. (Musée de l'Ile-de-France Plan de l'église initiale. La nef, simple vaisseau, possède alors quatre travées. Une légende accompagnant le document parle de ""l'état primitif"" de l'édifice. (AM Enghien-les-Bains, M48 Plan de l'église après le premier agrandissement de 1868 La nef est flanquée de deux bas côtés Projet d'agrandissement daté de 1866 : coupe longitudinale et coupe transversale. Approuvé par le Projet d'agrandissement par des bas-côtés, 1867. Façade occidentale. L'édifice est alors de style néogothique, surmonté de la haute flèche du clocher couverte en pierre. Calque aquarellé, 1867. (AM Enghien Projet d'agrandissement de l'église par l'architecte Guérinot en 1866. Calque aquarellé. (AM Vue de l'un des projet d'agrandissement de l'église en 1866 : proposition dite n°3 avec la Projet d'agrandissement de l'église en 1866, par la construction d'un nouveau choeur finalement nonAuteur :[entrepreneur de maçonnerie] Franco Pascal [entrepreneur de maçonnerie] Feiss Robert [entrepreneur de maçonnerie] Peignin J.Copyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelReprésentations :Le décor intérieur architectural est constitué par les colonnes de fonte et leurs chapiteaux composites (moulés) , par le motif de rose sculpté et peint en bleu sur les panneaux reliant l'ensemble des supports de fonte aux murs gouttereaux ainsi que par l'ensemble des chapiteaux sculptés et culs de lampe différentes corniches avec tout particulièrement les décor porté dans les petites arcatures et culs de lampe expressions variées sur les culots. Sur les lanternaux sont disposés de nombreuses colonnettes aux chapiteaux composites. Enfin, le décor sculpté se déploie également au niveau de la série d'arcades ornées de peinturesHistorique :nouvelle rue est tracée dans son axe, l'actuelle rue de Mora. Le principal donataire pour sa construction est la veuve de Joseph Moreno de Mora qui habite la commune voisine de Montmorency. Elle offre 50 000 francs pour ce projet et demande que le vocable Saint-Joseph soit choisi en hommage à son époux défunt . L'église fut construite entre 1858 et 1860 sur les plans de l'architecte Auguste Delaporte qui, partant à l'étranger, laisse le chantier à Antoine-Gaëtan Guérinot (1830-1891), élève de Viollet-le-Duc. Si l'on ne construit, dans un premier temps, qu'une nef à quatre travées, l'agrandissement de l'édifice par des bas . Plusieurs solutions sont proposées, dont la construction d'un transept de deux travées orientales avec un nouveau chur. Finalement, c'est l'orientation initiale qui est retenue avec la réalisation de bas-côtés et la modification de la base du clocher pour lui assurer à la fois une plus grande solidité et offrir une façade plus harmonieuse. L'entreprise de travaux publics Pascal Franco (localisée à Nurcourt
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maison de notable dite Château d'Ormesson, puis orphelinat Sainte Jeanne, actuellement Agence de l'aide sociale à l'enfance de la préfecture de Paris Enghien-les-Bains - place Edmond Taupin - en ville - Cadastre : 1995 AE 229Titre courant :maison de notable dite Château d'Ormesson, puis orphelinat Sainte Jeanne, actuellement Agence de l'aide sociale à l'enfance de la préfecture de ParisSite, secteur ou zone de protection :zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysagerGenre :de maîtreDescription :de bâtiment central est encadré par deux pavillons formant un léger avant corps avec au centre le ont deux niveaux de comble dont le premier est composé de lucarnes aux frontons alternativement les trumeaux, donnent un ensemble au dessin classique. Le soubassement, ouvert de baies pour éclairer le niveau de sous sol, est en meulière rocaillée. Le bâtiment des communs, vers le potager, est en rez de chaussée surélevé.Étages :rez-de-chaussée surélevé 2 étages de combleDestinations :Agence de l'aide sociale à l'enfance de la préfecture de ParisMurs :pierre de tailleIllustration :Plan cadastral 1850, détail de la section E sur le hameau d'Ormesson : on remarque le grand canal de la propriété, au dessus du ""ruisseau de la bonde de l'étang neuf"". (AM Enghien-les-Bains Plan cadastral de 1892, détail de la section E. Le nouvel édifice a été construit et le jardin transformé : le canal encore visible en pointillés sur le plan a été remplacé par un lac avec une île Vue d'ensemble de l'entrée de la propriété : portail encadré de deux portes piétonnes. Les piliers Vue d'ensemble de la façade antérieure. IVR11_20089500154NUC4A Détail de la lucarne centrale sur la façade antérieure : accostée par deux volutes, encadrée de l'inscription ste Anne, nom de l'orphelinat qui a occupé les lieux. IVR11_20089500156NUC4A Détail de l'un des garde-corps en ferronnerie de la façade latérale. IVR11_20089500151NUC4A Vue d'ensemble de la façade sur jardin. IVR11_20089500150NUC4ACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :d'inventaire le kiosque de l'ïle. L'intérieur de l'édifice a également été réaménagé pour s'adapter à ces Cette maison de notable parfois dénommée le Château d'Ormesson a été construite durant les années 1870 au sein d'une vaste propriété de 24 700 m² à la place d'une dépendance du château d'Ormesson dont on connait l'implantation par le plan cadastral de la ville de 1850. Petit pavillon carré, il dominait un vaste jardin orné dans sa partie inférieur d'un grand bassin formant une sorte de canal. La et canal est inclus dans un vaste lac au milieu duquel se trouvait une île et une fabrique. Le 17 avril 1885, l'ensemble fût légué par sa propriétaire, Félicité Wassous, à la ville de Paris à condition d'y fonder un orphelinat de jeunes filles pauvres sous la dénomination Asile Sainte Jeanne. Le vaste plan d'eau alors sans doute jugé dangereux est comblé, mais il subsistait lors de l'enquête personnel est érigé. Aujourd'hui, la maison abrite l'Agence de l'aide sociale à l'enfance de la préfectureParties constituantes non étudiées :fabrique de jardin
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maison de villégiature, 23 avenue de Ceinture Enghien-les-Bains - 23 avenue de Ceinture - en ville - Cadastre : 1995 AC 283Titre courant :maison de villégiature, 23 avenue de CeintureSite, secteur ou zone de protection :zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysagerDescription :frontons maniéristes, chaînages harpés de pierre. Cette maison est l'un des exemples les plus intéressantsÉtages :rez-de-chaussée étage de combleAnnexe :d'Enghien, comment on modernise une villa. In Plaisir de France, nov. 1939, n° 62 ; pp. 20-21. Enghien - Maison de villégiature, 23 av. de la Ceinture - Sources et bibliographie Au bord du lacIllustration :Vue de la façade antérieure et de la façade latérale. IVR11_20089500573NUC4A Vue de la façade sur jardin, donnant sur le lac. IVR11_20089500574NUC4ACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelReprésentations :Les deux épis de faîtage sont en forme de vases posés sur des piédestaux.Historique :ans plus tard, une résidence permanente. En témoigne la publication en 1948 dans Maisons de France de Construite durant les années 1870-1880 comme une maison de villégiature, elle devient, soixante-dixLocalisation :Enghien-les-Bains - 23 avenue de Ceinture - en ville - Cadastre : 1995 AC 283Précision dénomination :maison de villégiature
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maison de villégiature dite maison italienne, localisation inconnue Enghien-les-Bains - localisation inconnue - en villeTitre courant :maison de villégiature dite maison italienne, localisation inconnueDescription :Le caractère italien donné à l'édifice réside vraisemblablement dans la présence de deux grandes terrasses à l'étage couvertes de pergolas. Le rez de chaussée légèrement surélevé sur un soubassement de meulière présente une élévation du rez de chaussée en pans de bois hourdis de briques alors qu'à l'étage prévaut le décor végétal sur les pergolas, de part et d'autre d'un pavillon central enduit et encadré de brique comme la totalité de l'étage.Étages :rez-de-chausséeAnnexe :Enghien - Maison italienne - Sources et bibliographie DESCOURBES, H. Nouvelles maisons de campagneMurs :pan de boisIllustration :Elévation de la façade antérieure. Au fond, un paysage de lac, idéalisé évoque le lac d'Enghien . Lithographie. Tiré de : Nouvelles maisons de campagne. Paris et ses environs. (BHVP) IVR11_19887500155XACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelReprésentations :Un épi de faîtage en forme de vase et de végétaux orne le haut du toit du pavillon centralEscaliers :escalier de distribution extérieurPrécision dénomination :maison de villégiature
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chapelle funéraire P.G. Enghien-les-Bains - rue Louis Delamarre - en ville - Cadastre : 1995 AB non cadastré domaine publicCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel
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mairie-école Enghien-les-Bains - 1, 5 rue de Mora - en ville - Cadastre : 1995 AC 210, 211Étages :rez-de-chausséeIllustration :Plans du rez-de-chaussée et du premier étage par l'architecte départemental Blondel, 1863. Dessin Elévation de la façade rue de Mora, exécutée à l'occasion de l'agrandissement du groupe scolaire lors du départ des services de la mairie dans de nouveaux locaux, 1894. Dessin aquarellé. (AM Enghien Vue de la mairie école, avant la transformation de la façade de l'église. L'édifice sert alors de poste et de salle municipale. Photographie, vers 1910. (AD Val d'Oise, BIB 4/1432Copyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :En 1863 les premiers projets de mairie-école sont dessinés par l'architecte départemental de Seine l'entrepreneur de travaux publics à Enghien les Bains, Auguste Lordonné. Dès 1894, sous le mandat du maire abriter tous les services de la vie municipale. Le bâtiment est alors modifié, la même année, par construction de la poste.Localisation :Enghien-les-Bains - 1, 5 rue de Mora - en ville - Cadastre : 1995 AC 210, 211
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tombeau du lieutenant prussien Léonard Freiherr von Eyloffstein Enghien-les-Bains - rue Louis Delamarre - en ville - Cadastre : 1995 AB non cadastré domaine publicDescription :tombeau entièrement constitué de métal : la dalle posée sur le dessus du caveau et les balustresCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelReprésentations :Les pots à feu, de petite taille, sont placés aux quatre angles des balustres ; les étoiles sont disposées sur les cercles marquant le centre du motif en croix de saint André. Les branches de chêne figurent en dessous de la date de 1870 et la croix de guerre est placée dans une couronne funéraire.Historique :la sépulture de son frère. L'inscription portée sur la dalle de métal révèle son identité militaire
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maison-chalet, 19 avenue de Ceinture Enghien-les-Bains - 19 avenue de Ceinture - en ville - Cadastre : 1995 AC 25Titre courant :maison-chalet, 19 avenue de CeintureSite, secteur ou zone de protection :zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysagerDescription :véritable élément de décor. Selon le schéma traditionnel des chalets, la rive du toit est ourlée de lambrequins de bois découpé.Étages :rez-de-chaussée étage de combleMurs :faux pan de boisIllustration :Vue d'ensemble de la façade donnant sur le lac. IVR11_20089500570NUC4A Vue d'ensemble de la façade donnant sur le lac. IVR11_20089500569NUC4A Détail de l'angle du toit. IVR11_20089500571NUC4ACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :La date de 1863 est portée sur un moellon de pierre à l'intérieur de l'édifice, dans l'escalierLocalisation :Enghien-les-Bains - 19 avenue de Ceinture - en ville - Cadastre : 1995 AC 25
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maison châlet, 7 boulevard Cotte Enghien-les-Bains - 7 boulevard Cotte - en ville - Cadastre : 1995 AD 989Site, secteur ou zone de protection :zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysagerDescription :largement débordant ourlé de lambrequins de bois découpés et une organisation des ouvertures en travées régulières. L'ensemble est ici souligné de corniches à la modénature soignée marquant les différents niveaux.Étages :étage de combleCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel
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maison, 75 avenue de Ceinture Enghien-les-Bains - 75 avenue de Ceinture - en ville - Cadastre : 1995 AH 170Titre courant :maison, 75 avenue de CeintureDescription :Maison composée d'un corps de bâtiment principal et d'un pavillon carré formant belvédère dans sa partie supérieure qui domine la maison d'un étage de plus. Ce belvédère au toit en pavillon largement débordant est entouré d'une terrasse permettant d'avoir tous les points de vue, vers le lac mais aussi versÉtages :étage de combleMurs :pan de boisCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelLocalisation :Enghien-les-Bains - 75 avenue de Ceinture - en ville - Cadastre : 1995 AH 170
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maison de ville, 151 avenue de la Division Leclerc Enghien-les-Bains - 151 avenue de la Division Leclerc - en ville - Cadastre : 1995 AB 235Titre courant :maison de ville, 151 avenue de la Division LeclercSite, secteur ou zone de protection :zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysagerDescription :d'avoir conservé les devantures de la boutique du rez de chaussée : deux grandes ouvertures en arc surbaissée accostées de pilastres forment les devantures, encadrées de deux portes dont celle de gauche est formée, dans la partie supérieure, par une fenêtre géminée. Les documents anciens permettent de remarquer que les tables situées au niveau des pleins de travée au dessus des vitrines étaient destinées àIllustration :Vue d'ensemble de l'édifice depuis la rue, avec la boutique occupée par une librairie. Carte Vue d'ensemble de la maison. les arcades en anse de panier, le décor de pilastres cannelésCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :librairie papeterie. L'épiderme de l'édifice a subi quelques altérations, les tables qui ornaient les pleins de travée ont aujourd'hui disparu.Localisation :Enghien-les-Bains - 151 avenue de la Division Leclerc - en ville - Cadastre : 1995 AB 235Précision dénomination :maison de ville
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maison de notable, 1 rue du Docteur Leray Enghien-les-Bains - 1 rue du Docteur Leray - en ville - Cadastre : 1995 AC 167Titre courant :maison de notable, 1 rue du Docteur LeraySite, secteur ou zone de protection :zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysagerGenre :de maîtreDescription :Cette maison de notable, de plan complexe, présente une avancée avec porche surmonté d'un étage carré vers la rue. La façade antérieure, ordonnancée, est accompagnée par deux ailes en léger ressaut de part et d'autre du corps de bâtiment d'entrée. Les façades sur le jardin, aujourd'hui public, sont animées d'un pavillon polygonal demi hors uvre et d'un pavillon de trois travées disposé en avant du corps de bâtiment principal. On distingue au centre du bâtiment un toit polygonal laissant supposer un aménagement intérieur particulier mais les conditions de l'enquête n'ont pas permis l'accès à l'intérieur de l'édifice. Le traitement de l'élévation avec des assises alternées de brique et de pierre à l'étage et de motifs de brique losangés pour l'attique, ainsi que la forme des lucarnes aux frontons triangulaires marqués d'une importante clef dénotent le caractère historicisant de l'édifice.Étages :étage de combleIllustration :Vue de la façade d'entrée. IVR11_20089500427NUC4A Vue de la façade donnant sur le jardin public. IVR11_20089500428NUC4ACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :Cette maison de notable a été construite vers les années 1880 pour le docteur Leray.
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casino dit kursaal Enghien-les-Bains - rue Général de Gaulle rue de Malleville - en ville - Cadastre : 1995 AEDescription :principales se composent de plus d'une vingtaine de travées avec au centre et sur les extrémités trois pavillons qui se distinguent par un étage de plus.Étages :rez-de-chaussée étage de combleIllustration :Vue du Kursaal inachevé depuis le lac, durant les années 1870. Photographie de la collection TibleCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :A la fin des années 1860, plusieurs projets voient le jour dans la ville pour la construction de deux kursaal. Ce type d'édifice est issu de la production germanique et austro-hongroise avant 1870 et correspondent en fait au cercles ou aux assembly rooms britanniques, lieu de réunion et de sociabilité avec des espaces de lecture et de concert et parfois de jeux. L'un des projets est lancé par Alègre et sa nouvelle société thermale avec la construction, vers 1868, d'un immense kursaal sur une parcelle allant de la rue de Malleville à la Grande rue, actuelle rue du Général de Gaulle. Alors que l'ensemble du gros uvre acquis par l'entrepreneur Lesueur qui, autour de 1875, en récupère les matériaux, puis la rue des ThermesLocalisation :Enghien-les-Bains - rue Général de Gaulle rue de Malleville - en ville - Cadastre : 1995 AE
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casino dit kursaal Enghien-les-Bains - rue Général de Gaulle esplanade Patenôtre Desnoyer - en ville - Cadastre : 1995 AH non cadastréDescription :conduit à un grand vestibule. De plan oblong, il est occupé au centre par la salle de spectacle dont l'élévation domine l'ensemble. Un ensemble de salle de billard, salle de jeu, de salons et de boudoirs sont disposés autour et ouvrent sur de grandes galeries et terrasses entourant l'édifice. Deux escaliers demi circulaires distribuent les gradins de la salle de spectacle. L'élévation de la façade d'entrée est résolument orientalisante : porte monumentale avec arc outrepassé encadré de deux motifs de minarets. Le tout est couvert en terrasse et dominé par le toit couvrant la salle de spectacle surmonté d'un bulbe sur la partie centrale . Un décor de stuc et de bois ajourés contribuent à l'aspect exotique du bâtiment. Les façades latérales s'ouvrent par de grandes baies géminées sur le lac, et sont surmontées d'une haute corniche ajourée ponctuée de petits bulbes. La même corniche souligne le toit de la partie centrale ornée de deux sortes de nacelles où s'ancrent les portes fanions.Étages :en rez-de-chausséeIllustration :Plan de situation d'ensemble pour le projet de Kursaal. Plan, 1866. (BNF, Département des estampes Plan du projet de Kursaal. Plan, 1866. (BNF, Département des estampes, Topo Va, Fol. Tome III, Val Projet de Kursaal, façade d'entrée sur le quai. Plan, 1866. (BNF, Département des estampes, Topo Va Façade latérale nord du projet de Kursaal. Plan, 1866. (BNF, Département des estampes, Topo Va, FolCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelEscaliers :escalier de distribution extérieur escalier droitHistorique :A la fin des années 1860, plusieurs projets voient le jour dans la ville pour la construction de deux kursaal. Ce type d'édifice est issu de la production germanique et austro-hongroise avant 1870 et correspondent en fait au cercles ou aux assembly rooms britanniques, lieu de réunion et de sociabilité avec des espaces de lecture et de concert et parfois de jeux. L'un des projets, conçu par l'architecte A. Ponsin en 1866 est de lancer une jetée promenade sur le lac et d'y édifier un édifice de style exotique (couronnement en bulbe, arcs outrepassés et répertoire de formes propres à la tradition architecturale islamique thermales). Une société est créée pour réunir les fonds nécessaires et les plans sont dessinés. Ce type de d'Enghien, qui devait être inauguré en 1867 pour accueillir les visiteurs de l'Exposition universelle, neLocalisation :Enghien-les-Bains - rue Général de Gaulle esplanade Patenôtre Desnoyer - en ville - CadastreParties constituantes non étudiées :salle de spectacle
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maison de villégiature, 8, 8bis rue Gaston Israël Enghien-les-Bains - 8, 8bis rue Gaston Israël - en ville - Cadastre : 1995 AB 276Titre courant :maison de villégiature, 8, 8bis rue Gaston IsraëlSite, secteur ou zone de protection :zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysagerDescription :La façade symétrique, sur trois niveaux, présente un pavillon central accosté de deux ailes en touche médiévale. Le traitement des angles est particulièrement soigné : chaînage d'angle harpé au rez de chaussée, bossage en pointe de diamant au premier et pilastres à chapiteau composite au dernier niveau. Les clefs des baies sont ornées de motifs reprenant un répertoire de style rocaille.Étages :rez-de-chaussée étage de combleIllustration :Vue d'ensemble de la façade antérieure. IVR11_20089500290NUC4ACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelReprésentations :pointe de diamantPrécision dénomination :maison de villégiature
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maison Regnault, 3 avenue de Ceinture Enghien-les-Bains - 3 avenue de Ceinture - en ville - Cadastre : 1995 AC 32Titre courant :maison Regnault, 3 avenue de CeintureSite, secteur ou zone de protection :zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysagerDescription :Les façades sont en briques de couleurs différentes, beige et rouge, disposées en lits alternés et constituant en certains endroits des motifs que certains qualifient de tapisserie de brique. Le toit brisé forme une sorte d'auvent autour de l'édifice. La façade la plus ornée est celle donnant sur le lac : elle s'ouvre sur le paysage par une grande terrasse couverte d'une marquise de verre qui forme une avancée en rotonde au centre, sorte de petit belvédère. Les éléments pour profiter de la vue sont également présents à l'étage avec deux balcons. L'axe de la composition est renforcé par la présence d'uneÉtages :étage de soubassement rez-de-chaussée surélevé étage de combleIllustration :Vue d'ensemble de la façade donnant sur le lac. IVR11_20099500618NUC4A Façade sur le lac : détail de l'un des médaillons de céramique orné d'une tête de faune de profil Façade sur le lac : détail de l'un des médaillons, orné d'une tête de femme de profil Façade sur le lac : détail de la niche centrale, au second niveau, ornée d'une sculpture deCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelReprésentations :Disposés sur la façade sur le lac deux grands médaillons de terre cuite émaillée figurent l'un un faune couronné de lierre, l'autre un profil féminin. Non signés, il sont de provenance à ce jour inconnue de même que la fgure en terre cuite d'une baigneuse en ronde bosse figurant dans la niche.Historique :Maison donnant sur le lac, construite durant les années 1880 pour monsieur Regnault, notable de la ville et donateur d'un terrain voisin pour la construction de la salle des fêtes de la ville. Elle estLocalisation :Enghien-les-Bains - 3 avenue de Ceinture - en ville - Cadastre : 1995 AC 32
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établissement thermal le petit établissement, les petits bains ou les Bains Coquil Enghien-les-Bains - rue du Général de Gaulle - en ville - Cadastre : 1995 AE 331 ?Description :Bâtiment marqué au centre par une travée ouverte au rez de chaussée par des baies cintrées et à l'étage par une grande baie surmontée d'un fronton triangulaire et d'une sculpture en couronnement. De part et d'autre, deux corps de bâtiment de sept travées chacun se déploient avec régularité. Le toutÉtages :rez-de-chausséeIllustration :Vue de la façade des bains Coquils. Gravure. (AD Val d'Oise) IVR11_20099500385NUC4ACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :Ces bains ont été construits en 1863 pour le pharmacien parisien Coquil à l'angle de l'avenue de Ceinture et de la rue du Général de Gaulle. Ce dernier voulait alors exploiter une nouvelle source qu'ilLocalisation :Enghien-les-Bains - rue du Général de Gaulle - en ville - Cadastre : 1995 AE 331 ?
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maison actuellement Hôtel Marie-Louise, 49 rue de Malleville Enghien-les-Bains - 49 rue de Malleville - en ville - Cadastre : 1995 AD 633Titre courant :maison actuellement Hôtel Marie-Louise, 49 rue de MallevilleSite, secteur ou zone de protection :zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysagerDescription :Cette maison est une variation sur le thème de la maison cubique à trois travées à façadeÉtages :rez-de-chaussée étage de combleIllustration :petit corps de bâtiment. IVR11_20099500624NUC4ACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelReprésentations :Le décor se situe sur le bow window où la baie est encadrée de pilastre d'ordre composite, et dans les parties hautes de l'édifice : baies du premier étage ornées de tympan avec des cartouches et des coquilles, grands cartouches de style rocaille aux angles du pavillon gauche, volutes en assise du fronton , petites sphères surmontant les baies génminées du pignon, épi de faîtage de zingEscaliers :escalier de distribution extérieurLocalisation :Enghien-les-Bains - 49 rue de Malleville - en ville - Cadastre : 1995 AD 633
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