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monument commémoratif de la première course de côte automobile Chanteloup-les-Vignes - Hautil - isolé - Cadastre : 1983 A 22Titre courant :monument commémoratif de la première course de côte automobileDescription :d'Île-de-France, de la commune de Chanteloup et de la société Dunlop, le 14 avril 1929, à l'emplacement Meyan, directeur de la France automobile. Le monument a été érigé à l'initiative de l'automobile club Le 27 novembre 1898 eut lieu la première course automobile de côte du monde organisée par paul de l'arrivée de la course.Appellations :première course de côte automobileCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelReprésentations :Le monument est orné d'une roue, d'un élément de moteur et d'une branche de laurier et d'une palme.
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quartier de Fin d'Oise Andrésy - Fin d'OiseTitre courant :quartier de Fin d'OiseIllustration :Barques de pêche sur la Seine. Carte postale. (Musée de l'Ile-de-France). IVR11_20027800550XB Le pont suspendu de Fin d' Oise et le Vieux Moulin. Carte postale. (Musée de l'Ile-de-France Le pont suspendu à Fin d'Oise. Carte postale. (Musée de l'Ile-de-France). IVR11_20027800568XB Vue générale de l'Oise en amont. Carte postale. (Musée de l'Ile-de-France). IVR11_20027800565XB Le petit pont de la Mare aux grenouilles à Fin d' Oise. Carte postale. (Musée de l'Ile-de-France de l'Ile-de-France). IVR11_20027800596XB Panorama sur la vallée : le confluent de l'Oise et de la Seine. Carte postale. (Musée de l'Ile-de Carte de localisation des chemins de halage et des chaînes de touage. IVR11_20097800029NUDA -France). IVR11_20027800576XB Fin d'Oise pendant les inondations de 1910. Carte postale. (AD Yvelines, 3 F1 ConflansCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelTexte libre :La totalité du dossier (incluant aussi la synthèse et/ou la bibliographie) est disponible en bas deHistorique :Le véritable essor du quartier de Fin d'Oise date de la seconde moitié du 19e siècle et non de la cadastre napoléonien qui ne comporte aucun bâtiment au delà de la ferme du Moussel. Le pont suspendu sur . Mais selon le recensement de 1851, le quartier n'est habité que par une seule famille : celle du marchand de vin Nicolas Pervillé. Il est vrai que le pont ne desservait pas un axe routier important (à la l'installation de la Société de Remorquage et de Touage en 1882. Le quartier commence alors à s'urbaniser et on voit se multiplier les pavillons à rez-de-chaussée surélevé et les maisons mitoyennes destinées à abriter des familles travaillant pour les compagnies de remorquage ou de mariniers à la retraite. Ces oblongue n'est pas sans rappeler celle de la péniche. le quartier de Fin d'Oise est leur terrain de emplacement que le précédent. En revanche le pont construit en 1947 a été implanté une soixantaine de mètres
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maison de notable, localisation inconnue Enghien-les-Bains - localisation inconnue - en villeTitre courant :maison de notable, localisation inconnueGenre :de maîtreDescription :elle est de plus est enrichie par deux ailes en rez de chaussée de part et d'autre du pavillon principal. Le rez de chaussée est ouvert par des baies cintrées et présente un travail de bossage . Conformément à ce type d'architecture les façades sont encadrées de pilastres et les baies des étages l'ensemble donnant un accès privilégié sur le paysage de la station.Étages :rez-de-chausséeIllustration :de l'Ile-de-France) IVR11_20069500057NUCA Elévation de la maison dans son jardin et l'ensemble du paysage. Gravure, milieu 19e siècle. (MuséeCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel
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distillerie Garnier Enghien-les-Bains - 16 rue de la Libération - en ville - Cadastre : 1995 AC 465Description :charretière de l'entrée vers les ateliers. L'ensemble était couronné par des balustres de pierre masquant le toit et un fronton cintré central au dessus du panneau sur lequel figurait la raison sociale deÉtages :en rez-de-chausséeAnnexe :activités. In BMO Enghien-les-Bains. 1977, n°39, p.39. (Centre de documentation du musée de l'Ile-de-FranceIllustration :. Affiche, 2e quart 20e siècle. (Musée de l'Ile-de-France) IVR11_20069500073NUCA Vue de la rue du Casino, actuelle rue de la Libération avec à gauche la façade de la distillerie Affiche publicitaire de l'Abricotine, production la plus célèbre de la distillerie d'EnghienCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :L'histoire de la distillerie des liqueurs Garnier débute à Noyon en 1859. Pour des raisons de stratégie commerciale l'entreprise décide de se rapprocher de la capitale et s'installe à Enghien les Bains en 1902 au 16 de la rue du Casino, actuelle rue de la Libération. Le bâtiment se composait desLocalisation :Enghien-les-Bains - 16 rue de la Libération - en ville - Cadastre : 1995 AC 465
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château des Mousseaux Draveil - bords de Seine - avenue Sully - en ville - Cadastre : 1983 AB 23, 24Description :Château formé d'un corps central couvert d'un toit à quatre pans flanqué de deux ailes basses en terrasse. Une plateforme en briques (ancien soubassement) en marque l'emplacement. Le parc est entouré deAnnexe :. Essonne, 2 Fi : cartes postales . Archives de la Région Ile-de-France : dossier de pré-inventaire présent. Cercle littéraire et historique de Draveil, avril 2001, p. 184-185.Illustration :La façade principale. Cliché Pré-inventaire, 1974. (Région Ile-de-France, service patrimoines et Un pavillon à gauche du château. Cliché Pré-inventaire, 1974. (Région Ile-de-France, service Vue de l'allée reliant la grille du château à la route (actuelle avenue Sully). Elle a été aménagée par le comte de Polignac, propriétaire du château entre 1810 et 1830. IVR11_20079100410XA Vue du portail (vers l'extérieur de la propriété). IVR11_20079100441XA Petit pont au-dessus de la rivière artificielle qui entoure le château. IVR11_20079100443XA Plateforme constituant le soubassement de l'ancien château arasé en 1975. IVR11_20079100446XA Le plan d'eau des Mousseaux derrière la plateforme marquant l'emprise de l'ancien château Vue des communs situés à l'entrée de la propriété (aujourd'hui salle ""Grange"" de la base deCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :Le domaine des Mousseaux est acquis en 1739 par le fermier général Martin de la Haye qui le rattache au château de Draveil. Vendu en 1799 à Maximilien de Béthune, duc de Sully, il appartient entre 1810 et 1830 au comte de Polignac, qui donne au château son aspect définitif et aménage une avenue de la grille d'entrée à la route (actuelle rue Sully). Vers la fin du XIXe siècle le parc, agrandi de prés appartenant à la ferme de Beaumont, s'étend jusqu'à la Seine. Le château est occupé jusqu'en 1960 de la Région parisienne en vue de l'aménagement de la Base régionale de loisirs du Port aux CerisesLocalisation :Draveil - bords de Seine - avenue Sully - en ville - Cadastre : 1983 AB 23, 24
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hôtel de voyageurs dit grand hôtel Ozeray Andrésy - 26 boulevard Noël-Marc - en ville - Cadastre : 1983 AT 136Titre courant :hôtel de voyageurs dit grand hôtel OzerayDescription :La particularité de cet hôtel est d'offrir à ses visiteurs des pavillons exotiques dans son jardinÉtages :étage de combleIllustration :Façade de l' hotel sur rue. Carte postale. (Musée de l'Ile-de-France). IVR11_20027800557XBDénominations :hôtel de voyageursCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :de la commission des antiquités et des arts, lors de leur excursion à Andrésy, le 6 août 1890 (comme l'attestent les photographies du repas dans les jardins de l'hôtel).Parties constituantes non étudiées :fabrique de jardin
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maison de villégiature de monsieur Lopinot, localisation inconnue Enghien-les-Bains - localisation inconnue - en villeTitre courant :maison de villégiature de monsieur Lopinot, localisation inconnueSite, secteur ou zone de protection :zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysagerDescription :Maison de type chaumière, caractéristique des premiers édifices construits au bord du lac d'Enghien autour des années 1840 et qui reprend les modèles de fabriques des parcs du 18e siècle autant que les cottages anglais dont les modèles sont diffusés à l'époque. La maison se situait sur ce qui semble une île ou presqu'île à en juger par les lithographies conservées. Un petit pont de pierre conduit dans le jardin qui possède une fabrique avec une toiture de chaume reposant sur des colonnes.Étages :rez-de-chaussée étage de combleAppellations :de monsieur LopinotMurs :pan de boisIllustration :. (Musée de l'Ile-de-France, Inv. 65. 23. 6. E 3184) IVR11_20069500070NUCA Propriété de M. Lopinot, vue depuis le lac en 1860. Gravure. (AD Val d'Oise, BIB 4/1242 Vue d'une maison en bord du lac, qui semble située sur une île. Son architecture est celle des chaumières de type cottage anglais. Lithographie, 1847. (BNF, Département des estampes, Topo Va, Fol. Tome Détail de la planche de quatre maisons de villégiature. Chromolithographie, 2e quart du 19e siècleCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :fait l'objet d'un grand intérêt pour ces contemporains. Elle a fait en effet l'objet de plusieursParties constituantes non étudiées :fabrique de jardinPrécision dénomination :maison de villégiature
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maison de villégiature (localisation inconnue) Enghien-les-Bains - localisation inconnue - en villeTitre courant :maison de villégiature (localisation inconnue)Description :Maison à pans de bois placés en croix de saint André de tailles différentes. La référence néo . l'ensemble est couvert par un toit largement débordant soutenu par de grands aisseliers.Étages :rez-de-chaussée étage de combleMurs :pan de boisIllustration :. Chromolithographie, 2e quart du 19e siècle. (Musée de l'Ile-de-France, Inv. 65. 23. 6 E. 3184) IVR11_20069500069NUCA Détail de l'une des quatre maisons de villégiature. Vue de la maison depuis la rueCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelPrécision dénomination :maison de villégiature
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maison de villégiature, localisation inconnue Enghien-les-Bains - localisation inconnue - en villeTitre courant :maison de villégiature, localisation inconnueDescription :Maison de type chaumière et chalet, dont le toit à longs pans largement débordants est soutenu par de grands aisseliers de bois. La façade pignon est ornée à l'étage de comble par un balcon aux balustres de bois découpé, occupant toute la largeur. La présence d'une porte de bois sur la façade latérale réseau de verre mousseline losangé, forme une travée avec le balcon situé au dessus.Étages :rez-de-chaussée étage de combleIllustration :route. Chromolithographie, 2e quart du 19e siècle. (Musée de l'Ile-de-France, Inv. 65. 23. 5 Détail de l'une des quatre maisons figurant sur une chromolithographie. Vue de la maison depuis la Vue en perspective de la maison dans son jardin. Lithographie, 1847. (BNF, Département des estampesCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelEscaliers :escalier de distribution extérieurPrécision dénomination :maison de villégiature
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maison de campagne, 31 rue du Général-Leclerc Andrésy - 31 rue du Général-Leclerc - en ville - Cadastre : 1983 AS 298, 299, 415-418, 420, 596-599, 602-604Titre courant :maison de campagne, 31 rue du Général-LeclercDescription :Le plan terrier de 1731 montre que la maison avait le même plan masse qu'aujourd'hui : un corps de mais de moindre profondeur. Description de la maison en 1766 : un rez-de-chaussée composé d'un vestibule, deux salles de part et d'autre, une cuisine, un office, un escalier en fer à cheval, à l'étage un , le cellier sous la terrasse et les caves de part et d'autre. Dans les annexes se trouvaient des espalier et de plein champ et était terminé par une terrasse donnant sur la Seine, à chaque bout de laquelle se trouvait un berceau. Les communs (pas visités) de la fin du 19e siècle sont en brique. Ils devaient comporter un logement de gardien, des remises et peut-être une orangerie.Étages :étage de soubassement étage de combleIllustration :Prolongement de la perspective dans l'île du devant. Dessin plume aquarellé. (AN, N III Seine-et La façade sur rue. Photographie réalisée lors du Pré-inventaire [circa 1970-1980]. (Région Ile-de -de-France, Service Patrimoines et inventaire, Cote Pré-Inventaire). IVR11_20067800123NUCB Détail du plan de la seigneurie d'Andrésy de 1731. Dessin plume. (AN, N IV Seine-et-Oise 19 -France, Service Patrimoines et inventaire, Cote Pré-Inventaire). IVR11_20067800122NUCB La façade sur jardin. Photographie réalisée lors du Pré-inventaire [circa 1970-1980]. (Région Ile La volée droite et le garde-corps de la volée en fer à cheval. IVR11_20067800126XACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelTexte libre :La totalité du dossier (incluant aussi la synthèse et/ou la bibliographie) est disponible en bas deReprésentations :La rampe de l'escalier en fer forgé comporte des panneaux avec des volutes.Historique :La maison existe dans son ampleur actuelle sur le plan terrier de 1731. Elle appartenait alors à M . Reynard. Selon le terrier de 1766-67, elle appartient comme maison de campagne à Nicolas Deligny, chef de , l'histoire de la propriété est complexe au 19e siècle. En 1821, elle appartient à Louis Ami, menuisier à Andrésy (parcelle 2237-115), et pour le reste à Pierre Pasquier, marchand de vin en gros à Andrésy puis aménagée la porte de service et l'escalier qu'elle dessert. Dans le 4e quart du 19e siècle sont construits des communs en brique. Après plusieurs changements de mains, les trois propriétés sont réunies à acheté par Gaëtan de Knyff. Il a appartenu à la famille Delamare.Précision dénomination :maison de campagne
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maison de villégiature, localisation inconnue Enghien-les-Bains - localisation inconnue - en villeTitre courant :maison de villégiature, localisation inconnueDescription :Maison de type chalet caractérisée par la présence d'un toit largement débordant ourlé de lambrequins de bois découpés et soutenu par des aisseliers de bois. La façade alignée sur la rue présente un bow window. L'élévation est en enduit sur un soubassement de meulière.Étages :rez-de-chaussée étage de combleIllustration :. Chromolithographie, 2e quart du 19e siècle. (Musée de l'Ile-de-France, Inv. 65. 23. 6. E 3184) IVR11_20069500071NUCA Détail de l'une des quatre maisons de villégiature. Vue de la maison depuis la rue Détail d'une planche de quatre maisons de villégiature. Vue de la maison depuis la rueCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelPrécision dénomination :maison de villégiature
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maison de villégiature dite propriété de M. Mourier, 8, 13ter-15 boulevard Henri-Barbuss Draveil - Champrosay - 8, 13ter-15 boulevard Henri-Barbusse - en ville - Cadastre : 1983 AV 10, 21 2011 AV 10, 447Titre courant :maison de villégiature dite propriété de M. Mourier, 8, 13ter-15 boulevard Henri-BarbussDescription :Edifice à corps central d'un étage carré et étage de comble encadré par deux pavillons en légère saillie à deux étages carrés et étage de comble. La laiterie est une construction en pan de bois sur rez -de-chaussée en brique, revêtue d'un toit en tuiles plates.Étages :étage de combleAppellations :propriété de M. MourierMurs :pan de boisIllustration :pré-inventaire. (Région Ile-de-France, service patrimoines et inventaire, Cliché Pré-inventaire Vue générale vers 1910 : la maison et sa laiterie de l'autre côté de la route de Corbeil. Cliché Vue d'ensemble de la laiterie située en face de la maison principale. IVR11_20089100498XACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :Paris. En face, de l'autre côté de la route, s'élève une dépendance à usage de laiterie.Précision dénomination :maison de villégiature
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maison de campagne dite château de la Princesse, mairie-école de garçons, actuellement bibliothèque Saint-Exupéry Andrésy - 40 boulevard Noël-Marc - en ville - Cadastre : 1983 AS 205 1983 AT 144, 258 1983 AI 1-28Genre :de garçonsDestinations :usine d'articles de parisAppellations :château de la PrincesseIllustration :imprimé. (Musée de l'Ile-de-France). IVR11_20027800571XB . (Musée de l'Ile-de-France). IVR11_20027800555XB dans l'île de Devant et de la perspective sur l'île Pergrand. Dessin plume aquarellé. (AN, N III Seine Détail du plan de la seigneurie d'Andrésy de 1731. Dessin plume. (AN, N IV Seine-et-Oise 19 Plan des îles et îlots faisant partie de la seigneurie d'Andrésy (partie centrale) - Plan du jardin Plan du jardin dans l'île. Dessin plume aquarellé. (AN, F 13 1400 B dossier 23 pl.1 Plan du jardin dans l'île : détail avec le kiosque. Dessin plume aquarellé. (AN, F 13 1400 B Vue du jardin dans l'île, gouache peinte par Louis Nicolas van Blarenberghe en 1774. Document Papier à en-tête de la manufacture de jouets. (AD Yvelines, 7 M 105). IVR11_20087800657NUC2A Plan d'ensemble en 1850 alors qu'une manufacture de capsules en papier et d'articles pour fumeurs yAuteur :[propriétaire] Marsan, comtesse deCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelPrécision dénomination :maison de campagneTitre courant :maison de campagne dite château de la Princesse, mairie-école de garçons, actuellement bibliothèqueDescription :, une orangerie et une serre chaude. Le jardin régulier dans l'île et se composait de quatre parterres Le château du 18e siècle est connu par un inventaire de 1783 : au rez-de-chaussée (en réalité étage de soubassement), il avait chapelle, cuisine, office, conciergerie et sept chambres. Au premier étage , deux appartements d'apparat, une bibliothèque, une salle à manger, un salon tendu de toile de Jouy, une antichambre et des chambres de domestiques en entresol, quatre petits appartements, un appartement des bains de gazon dans l'axe du château, et des bosquets de part et d'autre. L'inventaire signale la présence d'un cabinet avec panneaux de bois ornés de papiers de la Chine. Le château est remanié au 19e siècle , en fonction de ses divers usages. Une cheminée d'usine y est ajoutée lorsque le château devient manufacture de jouets en 1846. Puis, suite au rachat du bâtiment par la municipalité et à sa transformation enJardins :parterre de gazonStatut :propriété de la communeTexte libre :L'ensemble du dossier (incluant aussi la synthèse et/ou la bibliographie) est disponible en bas deHistorique :, gouvernante des Enfants de France. Elle l'a donnée en 1781 à sa nièce, la princesse Louise-Adélaïde de Bourbon Cette maison de campagne, qui n'est pas l'ancien château de la famille de l'Isle, appartenait en sans doute lui qui a aménagé le jardin régulier, aujourd'hui disparu, qui se trouvait sur l'Île Nancy a été achetée en 1748 au marquis de Matignon par Marie-Louise de Rohan-Soubise, comtesse de Marsan -Condé, abbesse de Remiremont. La propriété est acquise en 1788 par Claude Sébastien Tariel Duplessis l'an II, il est vendu à François Joseph Mouchy. En 1817, la veuve de Monsieur Mouchy le vend à Pierre , manufacturier qui y installe une manufacture de jouets qu'il vend en 1866 à Armand Blanchon. C'est ce dernier qui vend le château à la municipalité d'Andrésy en 1875 pour y transférer la mairie, l'école de
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maison de villégiature, localisation inconnue Enghien-les-Bains - localisation inconnue - en villeTitre courant :maison de villégiature, localisation inconnueDescription :Maison de type chalet, implantée perpendiculairement à la rue en bordure de parcelle. Le toit , largement débordant, est ourlé de lambrequins de bois découpé soutenu par des aisseliers de bois. Deux balcons de bois confortent cette typologie du chalet. Les baies du rez de chaussée sont cintrées, et sur la rue est disposé un triplet de baies. Deux éléments particuliers sont à signaler : le fait qu'un fossé sépare la propriété de la rue et le soin apporté à la clôture de la parcelle constituée d'un mur maçonné surmonté d'un treillage de bois formant un motif d'entrelacs d'ogives, rythmé par des vases deÉtages :rez-de-chaussée étage de combleIllustration :depuis la route. Chromolithographie, 2e quart du 19e siècle. (Musée de l'Ile-de-France, inv. 65. 23. 5 Détail d'une planche de chromolithographie avec quatre maisons de villégiature. Vue de la maison Vue d'un ensemble de deux maisons : celle du premier plan est de type chalet avec toit débordant orné de lambrequins de bois découpés. Lithographie du 2e quart du 19e siècle. (BNF, Département desCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelPrécision dénomination :maison de villégiature
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maison Castel Dora, 89 bis rue Général de Gaulle Enghien-les-Bains - 89 bis rue Général de Gaulle - en ville - Cadastre : 1995 AE 332Titre courant :maison Castel Dora, 89 bis rue Général de GaulleSite, secteur ou zone de protection :zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysagerDescription :Cette maison de plan massé, se distingue par la présence d'une tour carrée située à l'angle de de même forme. Toute la conception de la façade sur le lac était orientée vers la vue : balconsÉtages :rez-de-chaussée surélevé étage de combleIllustration :seconde position, figure le Castel Dora. Carte postale, 1er quart du 20e siècle. (Musée de l'Ile-de-France Vue d'ensemble de la maison prise lors de la campagne de pré-inventaire en 1985, aujourd'hui Vue d'un ensemble de maisons situées en bord de lac et donnant sur la jetée. Sur la droite, en Vue d'ensemble de la jetée depuis le lac avec la maison Castel Dora. Carte postale, premier quartCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :lac, sur l'actuelle rue du Général de Gaulle. Elle a été détruite lors de la mise en place de la ZACLocalisation :Enghien-les-Bains - 89 bis rue Général de Gaulle - en ville - Cadastre : 1995 AE 332
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maison de villégiature, 77 avenue de Ceinture Enghien-les-Bains - 77 avenue de Ceinture - en ville - Cadastre : 1995 AH 169Titre courant :maison de villégiature, 77 avenue de CeintureSite, secteur ou zone de protection :zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysagerDescription :Maison présentant sur ses deux façades une composition symétrique mais avec de grandes différences : vers le lac, la façade est encadrée par deux tours demi hors uvre marquées sur les côtés par de fausses baies en arc brisé. Ces deux tours sont reliées par une galerie faisant toute la longueur de l'édifice pour jouir de la vue. Le balcon, situé dans l'étage de comble, fait office de belvédère. La façade sur rue est constituée de trois travées dont la centrale fait l'objet d'un développement particulier avec la présence d'un grand balcon au niveau de la lucarne. L'édifice, outre son caractère néogothique (toits largement débordant supportés par des aisseliers ouvragés, lambrequins de bois découpé et balustres de bois des balcons). Le traitement de la meulière, en enduit rocaillé, est également un trait marquant de la chronologie de l'édifice.Étages :étage de combleIllustration :l'Ile-de-France) IVR11_20069500059NUCA l'Ile-de-France, Inv. 65. 23. 5) IVR11_20069500064NUCA à Enghien, qui y figurent. Vue de la façade depuis le lac, avec, à gauche, une petite île et son Elévation de la façade donnant sur le lac et plans du rez-de-chaussée et du premier étage. Gravure Façade de la maison depuis le lac par Victor Petit. Lithographie, milieu du 19e siècle. (Musée de Vue de la maison depuis le lac. Le petit kiosque, toujours existant était alors situé sur une petite île reliée au jardin par un pont rustique. Lithographie, 1847. (BNF, Département des estampes Détail d'une planche de chromolithographie. Elle présente l'une des quatre maisons de villégiature kiosque à laquelle on accède par un pont rustique. Chromolithographie, 2e quart du 19e siècle. (Musée de Vue de la façade antérieure prise depuis la rue. IVR11_20089500600NUC4ACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelReprésentations :Sur les baies des façades latérales, celles de l'étage présentent une composition en triplet avec un gable central dont les rampants sont ornés de crochets et deux baies latérales encadrées deHistorique :Maison construite autour de 1830-1835, car elle figure dans le corpus de Muller des premières villas édifiées au bord du lac comme maisons de villégiature. Elle a fait l'objet de plusieurs gravures et lithographies, démontrant ainsi l'importance de l'édifice aux yeux de ses contemporains. Elle a également fait l'objet d'une publication dans l'ouvrage de Normand où les différents commentaires permettent d'en apprécier l'analyse du 19e siècle : elle y est qualifiée de gothique et de Renaissance pour la présence de baies en anse de panier, de vitres en verre mousseline, de tourelles, de dessin des balustres [...] des motifs des pilastres de l'attique, du motif de losange sous les baies du rez de chaussée . L'édifice, très bien conservé, présente seulement de très légères altérations comme les baies du rez deLocalisation :Enghien-les-Bains - 77 avenue de Ceinture - en ville - Cadastre : 1995 AH 169Précision dénomination :maison de villégiature
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voie ferrée de la ligne Argenteuil-Mantes Andrésy ; MaurecourtTitre courant :voie ferrée de la ligne Argenteuil-MantesDescription :La gare d'Andrésy est conçue sur le même modèle que celle de Conflans-Sainte-Honorine : pavillon central à un étage, trois travées et deux ailes de deux travées. C'est une gare de première classe. Le pont qui franchit la rue du Maréchal-de-Lattre de Tassigny à Maurecourt comporte trois arches voûtées en plein cintre avec contreforts. Il est en pierre de taille de petit appareil. La halte de Maurecourt est plus petite elle comporte un pavillon central au toit en pavillon et une seule aile en rez-deAppellations :de la ligne Argenteuil-MantesIllustration :La gare d'Andrésy : vue extérieure. Carte postale. (Musée de l'Ile-de-France). IVR11_20027800558XB Vue générale. Carte postale. (Musée de l'Ile-de-France). IVR11_20027800595XB La halte de Maurecourt : vue du site. Carte postale. (Collection particulière La halte de Maurecourt : façade sur le quai. Carte postale. (Collection particulière La halte de Maurecourt : la voie ferrée. Carte postale. (Collection particulière La halte de Maurecourt : la voie ferrée. Carte postale. (Collection particulière La halte de Maurecourt : façade sur le quai. Carte postale. (Collection particulière La halte de Maurecourt et le quartier de la gare. Carte postale. (Collection particulière La halte de Maurecourt et les jardins de Fin d'Oise. Carte postale. (Collection particulière La halte de Maurecourt et le remblai de la voie ferrée vers Fin d'Oise. Carte postale. (CollectionCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelTexte libre :La totalité du dossier (incluant aussi la synthèse et/ou la bibliographie) est disponible en bas deHistorique :La ligne Argenteuil-Mantes dont la concession fut confiée à la Compagnie des Chemins de fer de l'Ouest a été ouverte en 1892 en prolongement de la ligne de Paris à Argenteuil. la gare d'Andrésy a été ouverte en 1892 et la halte de Maurecourt (sur le territoire d'Andrésy) a été ouverte en 1894. La réalisation de la ligne a entraîné de gros travaux de tranchée ; c'est au cours de ces travaux qu'eut lieu la
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établissement administratif d'entreprise, atelier de réparation de la Société Générale de Touage et de Remorquage dit bureau des Guêpes Andrésy - Fin d'Oise - 8 avenue de Fin-d'Oise - en ville - Cadastre : 1983 AH 369Titre courant :établissement administratif d'entreprise, atelier de réparation de la Société Générale de Touage et de Remorquage dit bureau des GuêpesDescription :. Sur l'Oise se trouvaient une grue et un portique de levage pour la réparation des remorqueurs. LesÉtages :étage de combleAppellations :Société Générale de Touage et de Remorquage dit bureau des GuêpesIllustration :Le port des "Guêpes" à Andrésy-Fin d' Oise. Carte postale. (Musée de l'Ile-de-France Les "Guêpes" à quai. Carte postale. (Musée de l'Ile-de-France). IVR11_20027800566XB Vue générale de l'atelier. IVR11_19977800011X Vue générale de l'atelier. IVR11_19977800010X Vue générale de l'atelier. IVR11_19977800014X Coupe fer, poinçonneuse : vue générale de la machine. IVR11_19977800013X Grand tour avec moteur annexe et courroie de transmission pour fabrication d'arbres d'hélices : vue Moteur annexe et couroie de transmission du grand tour. IVR11_19977800007X Grand tour avec moteur annexe et courroie de transmission pour fabrication d'arbres d'hélices : vue Vue générale du dispositif de réparation avec la grue et le portique. IVR11_19977800166XDénominations :atelier de réparationCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelTexte libre :La totalité du dossier (incluant aussi la synthèse et/ou la bibliographie) est disponible en bas deHistorique :En 1885 est fondée la Société anonyme de touage et de remorquage de l'Oise (S. T.R. O.) par les frères Williams qui avaient déjà exploité un service régulier de remorqueurs sur la Seine puis sur l'Oise . Les remorqueurs sont de petite taille pour être adaptés au trafic sur l'Oise d'où leur surnom de Guêpes. Rapidement une dizaine de petits remorqueurs travaillent sur l'Oise puis trois plus gros sur la Seine. En 1899 la S. T.R. O. fusionne avec la Compagnie de Touage de la Basse-Seine qui avait été fondée en 1854 et cette fusion donne naissance à la Société Générale de Touage et de Remorquage (S. T.G.R .) qui fait construire les bureaux et ateliers d'Andrésy où travaillent alors une soixantaine de personnes. A la veille de la première guerre mondiale, la S.G. T.R. domine avec une cinquantaine de guêpes . Dans l'entre-deux-guerres l'appartition du moteur Diesel permet de réduire le parc à une quarantaine de du remorquage : la S.G. T.R. n'a plus qu'une trentaine de guêpes. Elle diversifie ses activités versLocalisation :Andrésy - Fin d'Oise - 8 avenue de Fin-d'Oise - en ville - Cadastre : 1983 AH 369
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gare Enghien-les-Bains - rue du Départ place Alexandre 1er - en ville - Cadastre : non cadastréDescription :les quais, une galerie couverte abritant les voyageurs, supportée par des colonnes de fonte. Un bâtiment lui faisait face, de l'autre côté du quai, avec la même galerie. Le second bâtiment, sensiblement de la même taille pour le corps de bâtiment central, possédait des ailes latérales. Le décor était premier étage, et au niveau du toit, au dessus de la corniche, des balustres de pierre masquant une partieÉtages :rez-de-chaussée étage de combleAnnexe :musée de l'Ile-de-France Sceaux). Enghien, gare. Sources et bibliographie Revue Le Figaro. 28-sept-56. (Centre de documentation duIllustration :Vue d'ensemble de la façade antérieure. Carte postale, 1er quart du 20e siècle. (Musée de l'Ile-de Vue de la station d'Enghien. Gravure, 1846. (BNF, Département des estampes, Topo Va, Fol. Tome III -France) IVR11_20069500009NUCB Vue d'ensemble de la façade antérieure. Carte postale, 1ère moitié 20e siècle. (AD Val d'Oise Vue d'ensemble de la façade de la gare sur les quais, avant la reconstruction de la passerelle Vue de la première passerelle en bois érigée en 1866. Carte postale, 1er quart 20e siècle. (AD Val Vue d'ensemble de la façade sur les quais. IVR11_20089500185NUC4A Vue d'ensemble de la passerelle construite en 1932, depuis la rue de l'Arrivée Détail du départ de l'escalier de la passerelle construite en 1932, côté rue du Départ Vue d'ensemble de l'ancienne gare du Refoulons, actuelle gare routière. IVR11_20089500181NUC4ACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :. Elle a été réhabilitée entre 1996 et 1998 dans le cadre d'une opération pilote en Ile-de-France de la compagnie de chemin de fer du Nord dont dépend la ligne. Elle est reconstruite en 1866. A cette occasion, avec le doublement des voies, une passerelle de bois est installée pour permettre aux voyageurs de franchir les voies et se rendre de part et d'autre de la voie ferrée dans la ville. C'est également en 1866 qu'une nouvelle gare est construite, la gare du Refoulons dont il subsiste sur le côté de la gare actuelle une halle supportée par des colonnes de fonte. En 1932, la première passerelle étant : aménagement du hall, de la zone de vente, du souterrain, des accès aux quais directs et du parvis d'entrée . Dans un article du 24 décembre de la Vie du rail, Un siècle et demi de gares françaises, elle est qualifiée de style anglais pour la présence de sa passerelle et de ses quais hauts.
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maison de notable Le château écossais, 3 avenue du Château-écossais Enghien-les-Bains - 3 avenue du Château-écossais - en ville - Cadastre : 1995 AH 199Titre courant :maison de notable Le château écossais, 3 avenue du Château-écossaisSite, secteur ou zone de protection :zone de protection du patrimoine architectural urbain et paysagerGenre :de maîtreDescription :L'édifice se caractérise par la présence de tours et de façades soulignées d'un haut crênelage, de fenêtres à meneaux, d'un haut pignon et de tout un vocabulaire ornemental qui rattache le bâtiment auÉtages :étage de combleIllustration :. Carte postale, 1ère moitié 20e siècle. (Musée de l'Ile-de-France) IVR11_20069500053NUCAB Vue de la maison depuis le lac. Lithographie, 1869. Tiré de : L'Illustration, 15 mai 1869. (BNF Vue de la façade latérale depuis le jardin : l'enduit rocaillé de meulière est encore en place Vue d'ensemble de la maison. Carte postale, 1er quart 20e siècle. (AD Val d'Oise Vue d'ensemble des communs situés au 9 de l'avenue du Château écossais. IVR11_20089500118NUC4ACopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelEscaliers :escalier de distribution extérieurHistorique :de Girardin qui en fait l'acquisition en 1860. Il devient par la suite la propriété de la famille Bocquet d'où parfois le nom de donjon de M. Bocquet. Le château écossais figure fréquemment dans les polychrome d'origine. Un enduit rocaillé de meulière et de la pierre soulignaient les effets d'architecture