Recherche
Besoin d'aide ? Retrouvez nos conseils pour la recherche sur cette page.
Rechercher dans :
- Tout
- Dossiers
- Illustrations
Affiner les résultats :
- Toutes les personnalités
- Lorillon Jules Paulin (1)
- Macé de Montoury (1)
- Titon d'Orgery Angélique (1)
- Toutes les périodes
- 2e moitié 18e siècle (2)
- 2e moitié 19e siècle (1)
- Toutes les œuvres
- hôtel (1)
- maison (1)
- Tous les départements
- Seine-et-Marne (1)
- Val-d'Oise (1)
- Toutes les communes
- Meaux (1)
- Écouen (1)
- Tous les types d'enquête
- inventaire topographique (2)
- Toutes les illustrations
- Tous les types
-
maison de plaisance, 22 rue Paul Lorillon, aujourd'hui restaurant "Il Maestro" Écouen - 22 rue Paul Lorillon - Cadastre : 2014 AH 372, 110, 111Titre courant :maison de plaisance, 22 rue Paul Lorillon, aujourd'hui restaurant "Il Maestro"Description :110-111) qui suit le pente du coteau. Le logis se situe en haut de la propriété, un peu en retrait de la rue Paul-Lorillon, et bénéficie donc de la vue sur le jardin. La maison est double en profondeur et possède sur les côtés deux ailes plus basses, sans étage de comble, couvertes par un toit en zinc trois niveaux : un rez-de-chaussée légèrement surélevé, reposant sur un soubassement en moellons de calcaire, un étage noble au premier, et un étage de comble éclairé par des lucarnes cintrées. La façade sur oculus et le linteau de la fenêtre du premier étage est sculpté d'un mascaron en stuc. Si l'on excepte ce sur un schéma de trois travées, avec un accent mis sur la travée centrale, en léger ressaut, encadrée de pilastres en fausse pierre. C'est sur cette travée centrale qu'est placée la porte, cintrée et étages de cette élévation. Un bâtiment de communs, qui sert de logement, s'élève au sud-ouest de la maison principale, en bordure de la rue Paul-Lorillon. Ces communs sont d'une architecture plus récenteÉtages :étage de comble rez-de-chaussée surélevéAnnexe :public de la commune d’Ecouen, la Grande rue du Gué et M. Tétart. Source : AD Val d'Oise, 2 E 4 / 432 Annexe 1 : donation de la propriété à Angélique Fougeroux, 7 septembre 1760. La donation est effectuée par Marie Ursule Monique de Chardon, demoiselle fille majeure, demeurant à Paris, quai d’Anjou , île Notre-Dame, paroisse Saint-Louis, en faveur d'Angélique Monique Fougeroux, fille mineure de défunts Pierre Jacques Fougeroux écuyer conseiller secrétaire du roi, maison et couronne de France et de ses finances, payeur des rentes sur les aides et gabelles et de dame Angélique Duhamel de , inspecteur général de la Marine et membre de l’académie des Sciences, demeurant à Paris quai d’Anjou. La côté le long de ladite rue, d’autre à ladite demoiselle Chardon, d’un bout donnant sur l’abreuvoir et de l’autre à ladite demoiselle Chardon et aux héritiers Béharche, avec les bâtiments qui en dépendent (notamment une grange couverte de chaume servant de bûcher, et la remise qui est devant ladite maisonTypologies :maison de peintre maison de campagneIllustration :La maison dans son parc. Vue prise depuis le nord-est, avant les travaux de 2019 et la création La façade sur le jardin. Vue prise avant les travaux de 2019 et la création d'une vérandaCopyrights :(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelHistorique :, dont les épitaphes se voyaient dans l'église Saint-Acceul au temps de l'abbé Lebeuf. Dans les années 1730, elle était la possession de Nicolas de Chardon, écuyer, capitaine du château d’Ecouen, et de son épouse Nicolle. André de Chardon, leur fils, en hérite en 1746. En 1760, Marie Ursule Monique de Chardon , conseiller au Parlement de Paris, mort en charge en 1768. C'est elle qui fait édifier la maison actuelle , pour servir de maison de campagne, à une date que nous n'avons malheureusement pas pu préciser. A sa Pierre Gilbert Pigneux, maître de la poste aux chevaux à Ecouen. En 1806, le domaine est acquis par Jean Gaudefroy de Secondat, baron de Roquefort-Montesquieu, officier supérieur de cavalerie, par l’intermédiaire de Jean Baptiste Girardin et Nicole Bulder, son épouse. En 1820, le bien passe à Charles Antoine , à l'emplacement d'un bâtiment plus anciens, déjà figuré sur le plan cadastral de 1827. En 1980, la maison est rachetée par le commune et reconvertie, d'abord en justice de paix puis en Maison desRéférence documentaire :AD Val d'Oise, 2 E 4 / 432. Achat de la maison par M. Jules Paulin Lorillon et son épouse, 14 août 1890. AD Val d'Oise, 2 E 4 / 432 (minutes de maitre Quériot, notaire à Ecouen, 5 août – 30 octobre p. 56-57. Ecouen. Un balcon sur la plaine de France. 2018 AUSSEUR-DOLLEANS, Chantal, CREPIN-LEBLOND , Thierry et FÖRSTEL, Judith (avec la collaboration de : Christian Dauchel, Fanny Gosselin, Rémy Guadagnin ). Ecouen. Un balcon sur la plaine de France. Collection Patrimoines d’Île-de-France. Lyon : éditions Lieux Dits, 2018. Photographies : Jean-Bernard Vialles, avec la collaboration de Laurent Kruszyk ; plan p. 83 L'Ecole d'Ecouen, une colonie de peintres au XIXe siècle. 2012 BADUEL Daniel, BERTRAND Aude et DAUCHEL Christian. L'Ecole d'Ecouen, une colonie de peintres au XIXe siècle. Ecouen : Office de p. 214. Le patrimoine des communes du Val d'Oise, Flohic éditions, 1999. Le patrimoine des communes du Val d'Oise, Paris : Flohic éditions, 1999.
-
hôtel Macé de Montoury Meaux - 36-38 rue Saint-Remy - - Cadastre : 2000 BT 0031Titre courant :hôtel Macé de MontouryDescription :Le parti de plan s'organise autour d'un logis à deux étages sous comble entre cour et jardin , complété par deux ailes de communs en retour sur la cour ; mais l'aile de gauche est une adjonction corps de logis et présente une belle rampe en ferronnerie avec les initiales du commanditaire (PAMÉtages :étage de combleAppellations :Macé de MontouryIllustration :Détail du heurtoir de la porte cochère. IVR11_20127700738NUC4A Détail de la serrure de la porte cochère. IVR11_20127700739NUC4A Le départ de l'escalier d'honneur. IVR11_20127700733NUC4A La rampe de l'escalier d'honneur. IVR11_20127700734NUC4A Détail de la rampe de l'escalier d'honneur : les initiales du commanditaire, au premier étage Pompe à eau dans l'angle sud-ouest de la cour. IVR11_20127700736NUC4A Pavé de la cour, portant la date "1772". IVR11_20127700737NUC4APrécisions sur la protection :Façades et toitures sur cour et sur jardin, cage de l'escalier avec sa rampe en fer forgé (cad. BTAuteur :[commanditaire] Macé de MontouryCopyrights :(c) Conseil général de Seine-et-Marne (c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturelReprésentations :La rampe en serrurie présente un décor de balustres pansus à rouleaux inférieurs reliés par desHistorique :au jardin des Arquebusiers pour M. Macé de Montoury, qui fut maire de Meaux en 1771. L'un des pavés de la cour porte la date "1772". L'aile qui ferme la cour sur le côté ouest est une adjonction de la
1