Une grande maison fut achetée par François-Alphonse Hénault de Cantobre en 1702. En 1703, il passa marché avec Edme Fourier architecte et entrepreneur pour la construction d'un hôtel. La construction était achevée le 12 mars 1707 et fit l'objet d'une quittance devant notaire. L'hôtel fut vendu par la famille en 1746 à Augustin Gayet, conseiller, secrétaire du roi au parlement de Pau. Puis il entra en 1793 dans la famille Delaborne qui le garda et le loua jusqu'au milieu du 20e siècle. Acheté par la ville de Paris, il abrite depuis 1995 la maison Européenne de la photographie.
rampe d'appui, escalier de l' hôtel de Hénault de Cantobre (non étudié)
Dossier IM75000126 réalisé en 2009Sommaire
Dénominations | escalier, rampe d'appui |
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Vue du départ de l'escalier.
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Vue du vestibule et du départ de l'escalier.
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Vue du premier virage.
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Détail d'un motif.
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Détail d'un entrelacs.
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Détail d'une palmette.
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Vue d'ensemble de la deuxième volée.
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Vue d'ensemble du palier du premier étage et de la troisième volée.
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Vue d'un panneau droit.
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Vue de la cour et de la porte ouvrant sur l'escalier.
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Vue d'ensemble de la façade sur rue.
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Détail des consoles du balcon.
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Détail du garde-corps du balcon.
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Vue d'un panneau droit. Photographie, 1972. Tiré de : Un exemple de l'architecture dans le Marais à la fin du règne de Louis XIV : l'hôtel Hénault de Cantobre / Michel Le Moël, In Revue de l'Art, n°18, 1972.
Aire d'étude et canton | Paris - Paris |
Adresse | Commune : Paris 4e arrondissement Adresse : 82 rue François-Miron |
Période(s) | Principale :
1er quart 18e siècle
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Dates | 1706
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Situé sur une parcelle étirée à l'angle de la rue Saint-Antoine (actuellement François-Miron) et de la rue de Fourcy, l'hôtel présente une distribution inhabituelle : le corps de logis est sur la rue tandis que la cour et le jardin sont dans le prolongement l'un de l'autre. L'escalier est placé dans l'aile droite de la cour. Il est à vide central avec une première volée de pierre. Le limon est droit dans la partie tournante. Le garde-corps est à motif continu sauf sur le palier du premier qui comporte un panneau symétrique à médaillon. Tous deux sont conformes à la gravure qui a été publiée par Nicolas Guérard. Ils ont été lègèrement restauré (fleuron restitués) et la console de départ a disparu. Les garde-corps extérieurs reprennent le motif du panneau. A partir du 2e étage le garde-corps est composé de barreaux cylindriques qui penètrent dans le limon. La main courante en bois est une adjonction ultérieure.
Catégories | maçonnerie, menuiserie, ferronnerie |
Matériaux | pierre,
taillé
bois, forgé fer, forgé |
Statut de la propriété | propriété publique
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Protections | classé au titre immeuble,
1966/05/18
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Conservateur du patrimoine, Région Île-de-France, service Patrimoines et Inventaire.
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Historien de l'Art.
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