Dossier d’œuvre architecture IA75000247 | Réalisé par ;
  • enquête thématique régionale, lieux de spectacle 1910-1940
Champs-Élysées (Paris, 8e arrondissement), théâtre des
Œuvre monographiée
Copyright
  • (c) Stéphane Asseline, Région Ile-de-France

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Ile-de-France - Paris
  • Commune Paris 8e arrondissement
  • Adresse 15 avenue Montaigne
  • Cadastre 2022 AO 46
  • Précisions
  • Dénominations
    théâtre, salle de concert
  • Genre
    d'entrepreneur
  • Destinations
    salle de spectacle

Le théâtre des Champs-Élysées n’aurait jamais vu le jour sans l’obstination de Gabriel Astruc, grand organisateur de concerts dans le cadre de la Société musicale qu’il avait fondée en 1904. Soutenu par des compositeurs de renom, parmi lesquels Claude Debussy, Camille Saint-Saëns, Gabriel Fauré, Paul Dukas et Pierre Lalo, ce mélomane passionné proposa en 1906 de construire à Paris un palais philharmonique combinant plusieurs salles de gabarits différents[1]. Il s’agissait de doter la capitale d’un équipement moderne à la hauteur de ce qui se faisait dans les autres métropoles européennes. Il obtint une promesse de concession de la Ville de Paris pour un terrain situé sur l’esplanade des Champs-Élysées[2]. Les premières études furent conduites par l’architecte suisse Henri Fivaz[3], bientôt associé à un jeune confrère parisien du nom de Roger Bouvard. En 1909, à la suite d’une violente campagne contre le projet, la municipalité rompit ses engagements.

À la recherche d’un nouvel emplacement, Astruc jeta son dévolu sur une grande parcelle de l’avenue Montaigne. Bouvard reprit intégralement le projet afin de l’insérer dans le bâti existant, tout en réorganisant sa distribution intérieure. Mais l’esthétique passéiste de l’édifice projeté semblait en désaccord avec la modernité de sa destination culturelle. Gabriel Thomas, qui présidait la société immobilière créée pour construire le nouvel équipement, fit part de ses inquiétudes à son ami Maurice Denis[4]. Le peintre lui suggéra de faire appel à Henry Van de Velde, directeur de l’École des arts décoratifs de Weimar, ville pour laquelle il avait conçu peu auparavant un théâtre[5]. Invité, en juin 1910, comme architecte-conseil, Van de Velde améliora le projet de Bouvard, dont il modernisa l’expression. Mais, au moment de construire, plutôt que d’adopter l’ossature métallique préconisée par Eugène Milon (ingénieur proche de Gustave Eiffel recruté, dès 1908, par Gabriel Thomas), il voulut explorer une solution technique alternative. C’est par l’intermédiaire de son compatriote, le peintre belge Théo Van Rysselberghe, qu’il entra en contact avec les frères Perret.

Le recours au béton armé

Auteurs de l’immeuble de la rue Franklin (1903) et du garage de la rue Ponthieu (1906), Auguste et Gustave Perret ne bénéficiaient en 1910 que d’une notoriété toute relative, limitée à un petit cercle d’architectes et d’artistes admiratifs de leur engagement rationaliste en faveur du béton armé, dont ils semblaient vouloir s’emparer pour redonner vie au classicisme. Consultés en tant qu’entrepreneurs spécialistes du nouveau matériau, ils ne purent se résoudre à l’employer comme un simple moyen de substitution. Il leur fallait inventer un mode de structure adapté non seulement à l’organisation spatiale du projet, mais aussi à la logique monolithique du béton armé et à sa mise en œuvre.

Posant leurs compas et leurs équerres sur les plans de Bouvard et de Van de Velde, ils mirent au point un tracé performant qui unissait tous les espaces du théâtre en un système composé d’une trame orthogonale et de deux cercles concentriques, l’un déterminant le volume de la salle, l’autre ses accès[6]. Ils dérivèrent de cette géométrie rigoureuse l’ossature primaire du futur édifice : quatre « pylônes » supportant deux grandes poutres en forme d’arc agissant comme des « ponts ». La réduction drastique des coûts induite par cette stratégie structurelle (digne d’un ouvrage industriel) emporta l’adhésion du commanditaire.

Le chantier, mené en l’espace de deux ans, fut spectaculaire. En raison de la nature argileuse des sols et de la proximité de la nappe phréatique, on réalisa un radier (100 m x 40 m) dont on releva les bords afin d’en assurer la totale étanchéité[7]. Sur les deux poutres basses rigidifiant cet immense vaisseau, on éleva les pylônes et les ponts supportant le plancher-haut de la salle de concert, ses galeries de desserte et ses balcons en porte-à-faux. On suspendit ensuite la « coupole » (un vaste lustre couvrant toute la salle) aux poutraisons de cette dalle supérieure. Tous les remplissages furent exécutés en brique. Ceux de la façade de l’avenue Montaigne furent revêtus de marbre d’Auvergne et ornés de puissants bas-reliefs sculptés par Bourdelle[8]. Ceux de la rue de service furent laissés apparents, témoignant ainsi du caractère pragmatique de cette construction que les frères Perret comparaient volontiers à « une usine américaine[9] ».

Une œuvre collective

Le théâtre des Champs-Élysées est une œuvre classique, où peinture, sculpture et architecture s’ordonnent selon un schéma confirmé par la tradition. Bien que conventionnel dans sa forme, son décor entretient une relation inédite avec la structure constructive. Composé d’un atrium et d’une galerie en mezzanine, le péristyle est défini par la sobriété de ses colonnes (sans base ni chapiteau) et par la rigueur quadrangulaire des poutres de son plafond. Au sol, un dallage de marbre reprend la même géométrie. Deux escaliers droits, disposés symétriquement, mènent à la galerie haute où se déploie un ensemble de fresques, Les Thèmes éternels[10], réalisé par Bourdelle sur des panneaux de béton livrés à son atelier par l’entreprise Perret.

La grande salle (27 m de diamètre) offre un espace fluide animé par les lignes courbes des balcons en porte-à-faux et par le grand disque translucide qui forme son plafond (15 m de diamètre). Composé d’une structure rayonnante en fer forgé (garnie de dalles de verre coloré) et d’un anneau léger de section torique, ce lustre présente en un cycle harmonieux les peintures allégoriques de Maurice Denis : la Danse, la Symphonie, l’Opéra, le Drame lyrique, l’Orchestre, le Chœur, l’Orgue et la Sonate[11]. Inauguré au printemps 1913, le théâtre des Champs-Élysées fait l’objet de critiques diverses, parfois hostiles, dans les journaux nationaux[12]. Ce sont les musiciens eux-mêmes qui, séduits par son acoustique et par ses espaces confortables, en ont fait la renommée. Stravinsky, Debussy, Fauré, d’Indy, Satie, Milhaud, Messiaen, Varèse ont attaché leurs noms à cet édifice qui semblait rejoindre, avec ses moyens propres, leur volonté d’inscrire leur art dans les temps nouveaux.

Marqué par l’originalité du programme des trois salles (Grand théâtre, Comédie et Studio) imaginé par Gabriel Astruc et par la cohérence du groupe d’artistes invités par Gabriel Thomas à en réaliser le décor, le théâtre des Champs-Élysées apparaît aujourd’hui, en dépit de la multiplicité des interventions qui l’ont façonné, comme une œuvre remarquablement unitaire. Bouvard en a conçu le volume et la distribution[13], Bourdelle en a dessiné la façade[14], Van de Velde l’a voulu en béton armé. Quant aux frères Perret, ils ont créé le dispositif structurel et expressif qui a transformé cette aventure chaotique en un événement artistique unique, qui a profondément marqué son époque. En réinterprétant les plans qui leur furent confiés, ces architectes-constructeurs ont tiré l’édifice tout entier dans la marge étroite d’une théorie rationaliste en cours de formulation, offrant ainsi aux artistes (Antoine Bourdelle, Maurice Denis, Édouard Vuillard, Jacqueline Marval, Ker-Xavier Roussel, Henri Lebasque) un écrin radical dans lequel leurs œuvres peintes et sculptées ont pu rayonner collectivement. Premier édifice moderne classé au titre des monuments historiques (1957), longtemps négligé et menacé de destruction, le théâtre des Champs-Élysées a été racheté en 1970 par la Caisse des dépôts et consignations, qui engage, au milieu des années 1980, sa restauration. Ayant retrouvé son éclat d’origine, il est considéré aujourd’hui comme l’une des meilleures salles parisiennes. Doté d’un restaurant panoramique, il est devenu, dans la logique du complexe rêvé par Gabriel Astruc, l’un des pôles culturels les plus prestigieux de la capitale…

[1] Gabriel Astruc (1864-1938) avait prévu un complexe de trois salles : 2000 / 1200 / 800 places.

[2] Le terrain proposé se situait à proximité du rond-point des Champs-Élysées, à l’emplacement du cirque d’Été que l’on venait de démolir.

[3] Henri Fivaz (1856-1933) avait déjà réalisé deux théâtres, l’un pour le casino du Tréport, l’autre pour les thermes de Forges-les-Eaux.

[4] Amateur d’art, Gabriel Thomas (1854-1932) collectionnait les œuvres de Manet, Morisot, Gauguin, Denis, Vuillard, Roussel, Bourdelle...

[5] Ce projet conçu en 1904 par Henry Van de Velde (1863-1957) n’a pas été réalisé.

[6] Voir le plan des frères Perret intitulé « minutes de l’ossature », 14 février-4 mars 1911, Fonds Perret, 535 AP / AN-IFA.

[7] La crue de la Seine de 1910 invitait à la prudence. On réalisa des fondations étanches jusqu’au niveau de la chaussée.

[8] Antoine Bourdelle (1861-1929) a réalisé la frise centrale (Apollon et les Muses) et les panneaux latéraux (La Musique, L’Architecture, etc.).

[9] Le théâtre des Champs-Élysées a suscité des articles élogieux dans la presse spécialisée : GELLUSEAU, L. « Le théâtre des Champs-Élysées à Paris », Le Génie Civil, n° 23, 5 avril 1913, p. 441-446 ; GUILLEMOT, Maurice ; VAUDOYER, Jean-Louis et BRUSSEL, R., « Le théâtre des Champs-Élysées », Art et décoration, avril 1913, p. 101-136 ; JAMOT, Paul, « Le théâtre des Champs-Élysées », Gazette des Beaux-Arts, n° 670, avril 1913, p. 261-294 ; GUADET, Paul, « Le théâtre des Champs-Élysées », L’Architecte, octobre 1913, p. 73-80, et n° 11, novembre 1913, p. 81-87.

[10] Ces fresques représentent des scènes mythologiques : Léda et le Cygne, Psyché emportée par Éros, Pan poursuivant Syrinx...

[11] Maurice Denis (1870-1943) a peint ces toiles dans l’atelier construit par les frères Perret dans le jardin de sa villa à Saint-Germain-en-Laye.

[12] On dénonçait son prétendu style « allemand » dans un climat politique d’avant-guerre.

[13] Roger Bouvard (1875-1961) est l’auteur de l’emboîtement des trois salles réalisées : 1900 / 600 / 200 places. Ker-Xavier Roussel (1867-1944) a peint le rideau de scène de la salle de 600 places. Édouard Vuillard (1868-1940) en a décoré le foyer.

[14] Cette façade a fait l’objet de nombreuses études menées parallèlement par Bouvard, Van de Velde, Bourdelle et les frères Perret.

Auteur du texte Joseph Abram, architecte, historien.

Sur un radier de 100 m x 40 m, des pylônes et des ponts supportent le plancher de la salle de concert, ses galeries de desserte et ses balcons en porte-à-faux, ainsi que la coupole suspendue aux poutraisons de la dalle supérieure. L’ensemble de cette ossature est tout en béton armé. Tandis que les remplissages furent réalisés en brique, la célèbre façade de l’avenue Montaigne est revêtue de marbre d’Auvergne et ornée des bas-reliefs sculptés par Antoine Bourdelle. Œuvre rationaliste mais classique dans son rapport au décor, elle propose l’originalité d’un programme décoratif confié à un groupe cohérent d’artistes (Antoine Bourdelle, Maurice Denis, Édouard Vuillard, Jacqueline Marval, Ker-Xavier Roussel, Henri Lebasque). L’édifice forme ainsi une œuvre collective unitaire particulièrement remarquable.

L’organisation intérieure offre un atrium, une galerie en mezzanine, et un péristyle de colonnes sans chapiteau ni base. Le sol est orné d'un dallage de marbre. La galerie est accessible par deux escaliers droits symétriques. Un ensemble de fresques de Bourdelle orne cette partie haute : les Thèmes éternels, réalisé sur des panneaux de béton. La grande salle (27 m de diamètre) est animée par les courbes des balcons en porte-à-faux. Un grand disque de verre et de fer forgé forme un plafond de 15 m de diamètre agrémenté d’un motif floral stylisé. Sur la voussure se déroule un cycle peint allégorique de Maurice Denis : la Danse, la Symphonie, l’Opéra, le Drame lyrique, l’Orchestre, le Chœur, l’Orgue et la Sonate.

  • Murs
    • béton béton armé
    • brique appareil mixte
    • pierre brique et pierre en damier
  • Toits
    béton en couverture
  • Plans
    plan rectangulaire symétrique
  • Étages
    sous-sol, rez-de-chaussée, 4 étages carrés
  • Couvrements
    • dalle de béton
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée
  • Couvertures
    • terrasse
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier droit
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours sans jour
  • Typologies
    salle à l'italienne (salle de concert)
  • État de conservation
    bon état
  • Techniques
    • peinture
    • sculpture
    • ferronnerie
  • Représentations
    • représentation figurative, sujet mythologique, figure mythologique, déesse, Muse symbole des arts,
    • représentation figurative, sujet mythologique, scène mythologique symbole des arts,
    • représentation non figurative symbole des arts,
    • représentation figurative, sujet profane, scène profane, scène de genre, scène de la vie sociale, scène galante
    • ornement architectural, colonne, ordre colossal, pilastre
    • ornement géométrique, carré, cercle, enroulement, entrelacs
    • ornement végétal, arbre, arbuste, couronne végétale, feuillage, fleur, plante
    • ornement figuré, enfant, femme, homme, figure fantastique humaine ou semi-humaine, figure engainée, putto
    • ornement animal, animal
    • ornement en forme d'objet, amphore, bouquet, corbeille, cruche, draperie, guirlande, instrument de musique, lyre, mandoline, jarre, masque de théâtre, miroir, trophée, urne, voile
    • ornement a chiffre, chronogramme
  • Précision représentations

    Au sommet de la façade principale, Antoine Bourdelle a réalisé les trois bas-reliefs représentant Apollon et les Neuf Muses.

    Au pied des escaliers menant du hall d'entrée au foyer, deux bas-reliefs de Bourdelle : l’Âme passionnée et l’Âme héroïque, qui surmontent chacun un Génie au Masque.

    Un ensemble de fresques de Bourdelle orne la partie haute du foyer : Les Thèmes éternels, réalisé sur des panneaux de béton.

    Sur la voussure du plafond de la salle se déroule un cycle peint allégorique de Maurice Denis : la Danse, la Symphonie, l’Opéra, le Drame lyrique, l’Orchestre, le Chœur, l’Orgue et la Sonate.

  • Mesures
    • nombre de places : 2 000 personnes ((environ, jauge initiale))
  • Précision dimensions

    S'y ajoute le théâtre de Comédie, d'une jauge initiale de 600 places.

  • Statut de la propriété
    propriété d'une société privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    élévation, salle de concert, élévation intérieure, escalier, galerie ouverte, voussure, verrière en couverture, théâtre, élévation intérieure, escalier, vestibule
  • Sites de protection
    site inscrit
  • Protections
    classé MH partiellement, 1957/12/11
  • Précisions sur la protection

    Façade sur l'avenue Montaigne avec le retour à droite ; hall d'entrée ; foyer ; salle de spectacle du grand théâtre et Comédie des Champs-Elysées : classement le 11 décembre 1957

  • Référence MH

Bibliographie

  • ABRAM, Joseph, A. et G. Perret, le Théâtre des Champs-Elysées : la magie du béton armé. Paris : Jean-Michel Place, 2004

    Cité de l'architecture et du patrimoine, Paris
  • ABRAM, Joseph, Le roman du théâtre ou Le rêve d'un palais philharmonique. Paris : Verlhac, 2018

    Bibliothèque nationale de France, Paris
  • BASDEVANT, Denise, Bourdelle et le Théâtre des Champs-Elysées. Paris : Chêne-Hachette, 1982

    Bibliothèque nationale de France, Paris
  • LOUPIAC, Claude (MONNIER, Gérard directeur de thèse), L'architecture théâtrale en France à la Belle Epoque et le cas du Théâtre des Champs-Elysées. Paris : Sorbonne, 1993

    Université Paris Sorbonne
  • MARREY, Bernard, Revers d'un chef-d'œuvre : la naissance du théâtre des Champs-Elysées, 1910-1922. Paris : Picard, 2007

    Cité de l'architecture et du patrimoine, Paris
  • VAUXCELLES, Louis, Le Théâtre des Champs-Elysées. Paris : J. Aragno (imprimeur), 1912

    Bibliothèque nationale de France, Paris
  • « Théâtre des Champs-Elysées. 1911-1913 », in ABE, Kuniko (FOUCART, Bruno, directeur de thèse). L’architecture théâtrale et son décor en France, 1910-1940. Du rêve antique à la modernité lumineuse. Paris : Université Paris IV Sorbonne, 2007, tome 2, p. 5-13 et tome 3, fig. 22-42

     « Le Grand théâtre des Champs-Elysées » ; « Le théâtre de la Comédie des Champs-Elysées » et  « Le théâtre du Studio des Champs-Elysées » , in LATOUR, Geneviève et CLAVAL, Florence. Les théâtres de Paris. Paris : Action artistique de la ville de Paris, 1991, p. 198-207

    « Champs-Elysées », in RAOULT, ?. Annuaire du théâtre. 1944-1945. Paris : Annuaires néo-techniques, 1945, p. 172-179

    LOUPIAC, Claude. « Le théâtre des Champs-Elysées », in ANDIA (de), Béatrice et RIDEAU, Géraldine. Paris et ses théâtres, architecture et décor. Paris : Action artistique de la ville de Paris, 1998, p. 175-181

Périodiques

  • BERTIN, Pierre, « Le seul théâtre vraiment moderne que nous ayons en France. Description technique ». La Science et la Vie. Paris, avril 1913, p. 125-135

    Bibliothèque nationale de France, Paris
  • BRINCOURT, M., « Le nouveau théâtre des Champs-Elysées », L’Architecture. Paris, 17 mai 1913, p. 157-164

    Cité de l'architecture et du patrimoine, Paris
  • COUTURAUD, P., « Le théâtre des Champs-Elysées », La Construction Moderne. Paris, 16, 23 et 30 novembre 1913, p. 75-80 ; 87-92 et 99-102 ; pl. 16-20

    Cité de l'architecture et du patrimoine, Paris
  • GELLUSSEAU, Louis, « Constructions civiles – Le théâtre des Champs-Elysées, à Paris », Le Génie Civil. Paris, 5 avril 1913, n°1608, p. 441-446 

    Bibliothèque de l'Ecole nationale des ponts et chaussées, Marne-la-Vallée
  • GUADET, Paul, « Le théâtre des Champs-Elysées », L’Architecte. Paris, octobre et novembre 1913, p. 73-80 et 81-87 ; pl. 55-63

    Cité de l'architecture et du patrimoine, Paris
  • JAMOT, Paul, « Le théâtre des Champs-Elysées », Gazette des Beaux-Arts. Paris, avril et mai 1913, p. 261-294 et 391-422

    Bibliothèque nationale de France, Paris
  • VIGATO, Jean-Claude, « Moderne, encore moderne, toujours moderne ! Les tribulations du Théâtre des Champs-Elysées », Cahiers de la Recherche Architecturale. Paris, novembre 1982, p. 24-39

    Cité de l'architecture et du patrimoine, Paris
Date(s) d'enquête : 2017; Date(s) de rédaction : 2022
(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel