• enquête thématique régionale, lieux de spectacle 1910-1940
Théâtre national de Chaillot (Paris, 16e arrondissement)
Œuvre étudiée
Copyright
  • (c) Stéphane Asseline, Région Île-de-France

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Ile-de-France - Paris
  • Commune Paris 16e arrondissement
  • Adresse 1 place Trocadéro (du)
  • Cadastre 2022 DR 5  ; 2022 FR 57  ; 2022 FS 6
  • Dénominations
    théâtre
  • Appellations
    Théâtre national populaire (ancien)
  • Destinations
    salle de spectacle

Auteur du texte Bénédicte Meyer, attachée de conservation, Cité de l'Architecture et du Patrimoine.

C’est à l’occasion de l’Exposition internationale de 1937[1] que le palais de Chaillot voit le jour, à la place de l’ancien palais du Trocadéro datant de l’Exposition universelle de 1878. Dès 1932, plusieurs projets envisagent la reconstruction du palais en ouvrant largement la vue vers la Seine. L’idée fondatrice d’enterrer la salle de spectacle sous un vaste parvis-belvédère naît deux ans plus tard, sous la plume de l’architecte Jacques Carlu[2].

Il imagine une architecture moderne aux dimensions américaines, s’appuyant sur les fondations de l’ancien palais : deux ailes en hémicycle doublées d’une galerie monumentale surmontée d’un étage et encadrées de pavillons eux aussi doublés en hauteur et profondeur. Carlu creuse la colline pour le nouveau théâtre de 16 000 m2 sur 23 m de profondeur, à la pointe des techniques contemporaines. Il offre une vue spectaculaire depuis sa vaste galerie-foyer Art déco aux proportions toutes versaillaises.

Le tout est construit en un temps record – du 1er septembre 1935 au 25 mai 1937 – notamment grâce à la charpente métallique de très grande portée qui couvre la salle du théâtre et forme le squelette du parvis.

La réalisation du théâtre, « un tout-en-un polyvalent », est confiée aux frères Jean et Édouard Niermans. Il sera démantelé en 1973-1974. C’est un immense espace modulable d’environ 2 800 places avec une fosse d’orchestre mobile pouvant contenir jusqu’à 150 musiciens, placée en contrebas d’un vaste plateau de 35 m de large, 13 m de profondeur et 18 m de hauteur sous cintres[3]. À l’arrière de ce plateau, les grandes orgues de Cavaillé-Coll de la salle de 1878 sont rénovées, modernisées, et rendues mobiles grâce à un dispositif roulant[4].

Lors de manifestations de moindre ampleur, un système de portes coulissantes logées dans l’épaisseur des murs de la salle à l’aplomb du balcon permettrait de réduire les espaces de la salle des deux tiers. Ces cloisons mobiles ne verront pas le jour, faute de budget. L’ouverture de la scène peut également être adaptée, grâce à un cadre mobile allant de 8,50 m jusqu’à 19 m. Une machinerie perfectionnée ainsi qu’un système de climatisation complètent ces dispositifs.

De part et d’autre du parterre, de vastes chambres d’échos – 9 000 m3 – équipées de volets pneumatiques manœuvrables depuis le pupitre du chef d’orchestre permettent une polyvalence acoustique.

Le décor est pensé comme un panorama officiel des arts figuratifs des années 1930. Les arts vivants sont célébrés au travers d’un vaste ensemble de peintures et de sculptures : musique, art lyrique, danse, théâtre. L’art mural français atteint alors sa plénitude et le décor du théâtre témoigne de la richesse des « réalismes » dans les années 1930.

Les peintres y sont regroupés par affinités générationnelles afin de créer des ensembles homogènes : les anciens Nabis et anciens Fauves, les peintres de la Réalité poétique, les néo-réalistes, ceux de la jeune génération sortie des Beaux-Arts, constituant le plus vaste ensemble d’art mural de l’Exposition de 1937.

Vingt-deux peintres et onze sculpteurs sont choisis par Jacques Carlu et une « commission de répartition des commandes aux artistes » – qui veille à faire travailler le plus grand nombre en ces temps de crise économique[5]. Par exception, le décor du Grand Foyer est confié directement par la direction de l’Architecture au peintre Gustave-Louis Jaulmes et à son ami architecte Louis Süe. Jaulmes consacre une vaste composition aux Jardins antiques sur l’immense mur de fond du foyer ainsi que deux panneaux latéraux. Süe dessine le mobilier du foyer ainsi que les ferronneries et les luminaires du théâtre exécutés par Raymond Subes. Quatre statues en plâtre doré complètent cet espace : L’Hiver de Francis Renaud et Le Printemps de Paul Belmondo côté Paris, L’Été de Naoum Aronson et L’Automne de Pierre-Alfred Cazaubon côté Passy.

Aux trois Nabis Pierre Bonnard, Ker-Xavier Roussel et Édouard Vuillard est attribué l’espace d’honneur dans le vestibule de l’orchestre, directement accessible depuis les jardins : La Pastorale, La Danse et La Comédie. Maurice Denis réalise La Musique sacrée (côté Passy) et La Musique profane (côté Paris) dans les galeries latérales de l’orchestre.

Dans les vestibules des Quatre-Colonnes, de part et d’autre du vestibule central, côté Paris, les peintres « néo-réalistes » Charles Dufresne, Luc-Albert Moreau, Jean-Louis Bousingault et Edmond Céria célèbrent le théâtre. Côté Passy, quatre jeunes acteurs de la Réalité poétique – Roger Chapelain-Midy, Maurice Brianchon, André Planson et Roland Oudot – honorent la musique. Les frères Jan et Joël Martel réalisent les deux masques en bronze doré au-dessus des comptoirs des vestiaires.

Chacun des deux escaliers monumentaux menant au Grand Foyer depuis les entrées est orné de deux immenses peintures murales : La Comédie et La Tragédie par Eugène Narbonne et Louis Billotey côté Paris, La Musique et Apollon dieu des Arts, seules fresques du théâtre, par Jean Marchand et Jean Souverbie côté Passy.

Les paliers bas accueillent chacun une grande composition aux atmosphères diamétralement opposées : côté Passy Paul Charlemagne offre de vives et sereines Harmonies tandis que côté Paris, Henri de Waroquier livre une dramatique et tourmentée Tragédie antique.

De ce côté s’ouvrait, à gauche, le bar fumoir du théâtre (actuelle salle Firmin Gémier), aujourd’hui disparu. Deux grandes toiles de 3,5 m de haut par 11,70 m de long, placées dans des niches concaves, célébraient La Seine de ses sources à Paris et la Seine de Paris au Havre, œuvres des deux amis havrais Othon Friesz et Raoul Dufy[6].

Enfin la salle du théâtre[7] s’ornait de plusieurs bas-reliefs, réalisés par Évariste Jonchère, Henri Lagriffoul, Georges Muguet et Louis Muller, choisis hors commissions. Jonchère réalise le bas-relief du fronton de scène consacré à Apollon et les muses. Natacha Carlu, l’épouse de Jacques, se voit confier la réalisation de l’immense rideau de scène L’Inspiration de l’artiste[8].

[1] Elle se tient du 25 mai au 25 novembre 1937.

[2] Tout juste rentré des États-Unis, Jacques Carlu, associé à Louis-Hippolyte Boileau et Léon Azéma, remporte alors le premier concours avorté de camouflage du palais. En février 1935, Carlu et son équipe sont à nouveau sollicités pour présenter cette fois-ci un projet de transformation radicale de l’édifice.

[3] Jean-Marc Hofman, « Le palais de Chaillot », Palais de Chaillot – Palais Art Déco, Paris, Mare & Martin, 2018, p. 22-27.

[4] En 1975, l’orgue est donné au nouvel auditorium Maurice-Ravel de Lyon. Inauguré en 1977, il sera restauré en 2013.

[5] Pour la liste complète de ces artistes, voir « Les artistes et les œuvres du palais de Chaillot », Palais de Chaillot – Palais Art Déco, Paris, Mare & Martin, 2018, p. 172-173.

[6] La toile de Raoul Dufy est conservée au musée des Beaux-Arts de Lyon. Celle d’Othon Friesz a été réinstallée au théâtre après travaux.

[7] Cette salle n’est achevée qu’après l’inauguration de l’Exposition en mai 1937 et inaugurée le vendredi 10 mars 1939.

[8] Une esquisse de cette peinture est conservée dans les collections du musée des Années 30 (MA-30) à Boulogne-Billancourt.

Le remplacement de la salle du Trocadéro par le théâtre national consistait alors à « escamoter la salle afin de découvrir la vue[1] ». Seule une façade, donnant sur les jardins ouverts sur le pont d'Iéna, affirme le caractère tout à la fois solennel et vivant des lieux, avec des pilastres scandant les portes surmontées de reliefs animés.

La coupe prévue par les architectes exploite habilement les différences de niveaux : la disposition des balcons et parterre de la salle ménage aux emplacements pertinents des espaces de sociabilité tout en régulant les flux de spectateurs. Le parti-pris des circulations, monumental, propose une « architecture volontairement dépouillée [...] animée de vibrantes fresques [unifiés par l'] éclairage[2] ». Chaque lieu d'arrêt ou de rencontre offre un cadre à des compositions picturales scandant la progression vers le théâtre, formant un « domaine enchanté[3] » largement décrit par Edmond Pauty dans l'Architecture. Ces ensembles ont été d'ailleurs abondamment commentées dans la presse.

La salle de spectacle, aménagée par les frères Niermans, et vitrine du savoir-faire technique français moderne (fosse d'orchestre mobile, chambres d'échos conçues par Brillouin [4], dispositifs de modularité de la salle, climatisation...), poursuit le même parti-pris artistique, quoique son décor n'ait jamais été complètement achevé [5]. Ce dernier a été depuis supprimé.

[1] PAUTY, Edmond. « La salle de Chaillot et le problème de ses accès », L'Architecture. Août 1938, p. 263

[2] Op. cit., p. 265 et 267

[3] Op. cit., p. 264

[4] Voir SEE, Charles-Edouard, « Les aménagements du nouveau théâtre du Trocadéro. L'acoustique de la salle », Le Génie Civil. 21 mai 1938, p. 428-429

[5] Voir RIVOIRARD, Philippe, « Le théâtre de Chaillot, architecture », in DE ANDIA, Béatrice et RIDEAU, Géraldine. Paris et ses théâtres. Architecture et décor. Paris : Action artistique de la ville, 1998, p. 192-193

  • Murs
    • béton appareil en damier
    • pierre moyen appareil
  • Toits
    pierre en couverture
  • Plans
    plan carré symétrique
  • Étages
    1 étage carré, rez-de-chaussée, 2 étages de sous-sol
  • Couvrements
    • roche en couvrement
  • Élévations extérieures
    élévation ordonnancée, élévation à travées
  • Escaliers
    • escalier de distribution : escalier droit
  • Autres organes de circulation
    escalier mécanique
  • Typologies
    salle en éventail (1ère moitié 20e siècle)
  • État de conservation
    remanié, inégal suivant les parties
  • Techniques
    • peinture
    • sculpture
    • décor stuqué
  • Représentations
    • représentation figurative, sujet mythologique, scène mythologique symbole des arts,
    • représentation figurative, sujet profane, représentation dont le sujet principal n'est pas l'homme, figure allégorique profane, élément symbole des arts,
    • représentation figurative, sujet profane, personnage profane, nu symbole des saisons,
    • représentation figurative, représentation dont le sujet principal n'est pas l'homme, paysage, paysage d'architecture, vue de ville symbole régional,
    • ornement architectural, balustre, ordre colossal, pilastre
    • ornement géométrique, carré, cercle, volute
    • ornement végétal, arbre, olivier, arbuste, couronne végétale, feuillage, fougère, fleur, plante
    • ornement figuré, être humain, enfant, femme, homme, musicien, soldat
    • ornement figuré, figure fantastique humaine ou semi-humaine, figure fantastique, figure engainée, putto
    • ornement animal, animal, bélier, cheval, mouton
    • ornement en forme d'objet, arme, armure, épée, lance, barque, chapeau, corbeille, draperie, globe, guirlande, instrument de musique, lyre, mandoline, tambour, livre, masque de théâtre, miroir, trophée, voile
    • phylactère
  • Précision représentations

    Théâtre Antique de Jaulmes ornant le fond du grand foyer, complété de quatre statues en plâtre doré : l’Hiver de Renaud ; le Printemps de Belmondo ; l'Été de Aronson ; et l’Automne de Cazaubon.

    Vestibule de l’orchestre présentant des œuvres de Bonnard, Roussel et Vuillard, respectivement : la Pastorale, la Danse et la Comédie. Musique sacrée et Musique profane réalisés dans les galeries latérales de l’orchestre par Denis.

    Vestibule des Quatre-Colonnes avec compositions célébrant respectivement le théâtre par Dufresne, Moreau, Bousingault et Céria ; et la musique par Chapelain-Midy, Brianchon, Planson et Oudot.

    Masques en bronze doré au-dessus des comptoirs des vestiaires des frères Martel.

    Escaliers comprenant deux immenses peintures murales : La Comédie et La Tragédie par Narbonne et Billotey ; La Musique et Apollon dieu des Arts, seules fresques du théâtre, par Marchand et Souverbie.

    Peintures du bar fumoir du théâtre par Friesz et Dufy, La Seine de ses sources à Paris, et La Seine de Paris au Havre (depuis disparues).

    Bas-reliefs (depuis disparus) de la salle de spectacle par Jonchère (notamment bas-relief du fronton de scène illustrant Apollon et les muses), Lagriffoul, Muguet et Muller. Rideau de scène représentant l'Inspiration de l'artiste par N. Carlu (également disparu).

  • Mesures
    • nombre de places : 3 000 personnes ((environ, jauge initiale))
  • Statut de la propriété
    propriété d'un établissement public de l'Etat, théâtre national ou subventionné
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Éléments remarquables
    couloir, escalier, galerie, vestibule, élévation intérieure
  • Sites de protection
    site classé, site inscrit
  • Protections
    classé MH partiellement, 1980/12/24
  • Précisions sur la protection

    Façades et couvertures ; parvis et terrasse avec son escalier ; décors d'origine subsistants (sauf la salle de théâtre remaniée) : classement le 24 décembre 1980.

  • Référence MH

En cours de restauration.

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Bibliographie

  • BREON, Emmanuel, HOFMAN, Jean-Marc et MAYER, Bénédicte, Palais de Chaillot: palais art déco. Paris : Mare et Martin, 2018

    Bibliothèque nationale de France, Paris
  • « Théâtre national du palais de Chaillot. 1935-1938 », in ABE, Kuniko (FOUCART, Bruno, directeur de thèse). L’architecture théâtrale et son décor en France, 1910-1940. Du rêve antique à la modernité lumineuse. Paris : Université Paris IV Sorbonne, 2007, tome 2, p. 167-180 et tome 3, fig. 320-357

     « Théâtre national de Chaillot », in LATOUR, Geneviève et CLAVAL, Florence. Les théâtres de Paris. Paris : Action artistique de la ville de Paris, 1991, p. 79-83

    « Palais de Chaillot », in RAOULT, ?. Annuaire du théâtre. 1944-1945. Paris : Annuaires néo-techniques, 1945, p. 114-119

    RIVOIRARD, Philippe. « Le théâtre de Chaillot, architecture », in ANDIA (de), Béatrice et RIDEAU, Géraldine. Paris et ses théâtres, architecture et décor. Paris : Action artistique de la ville de Paris, 1998, p. 188-193

Périodiques

  • « Le théâtre du Palais de Chaillot », L'Architecture d’Aujourd’hui. Boulogne-Billancourt, septembre 1938, p. 14-20

    Cité de l'architecture et du patrimoine, Paris
  • « Constructions civiles – L’achèvement du Palais et du Théâtre de Chaillot, ancien palais du Trocadéro, à Paris », Le Génie Civil. Paris, 9 avril 1938, n°2904, p. 305-311

    Bibliothèque de l'Ecole nationale des ponts et chaussées, Marne-la-Vallée
  • BRUNSCHWIK, René, « Grâce à l’Exposition de 1937, la perspective de la place du Trocadéro va s’étendre, au-delà du Champ-de-Mars, jusqu’à l’Ecole militaire », Excelsior. Paris, 10 novembre 1935

    Bibliothèque nationale de France, Paris
  • BRUNON-GUARDIA, G., « Vingt peintres décorent les murs du Théâtre du Trocadéro », L’Intransigeant. Paris, 26 novembre 1937

    Bibliothèque nationale de France, Paris
  • CHARENSOL, G., « Le théâtre du Palais de Chaillot », Art et Décoration. Paris, 1938, p. 171-180

    Bibliothèque nationale de France, Paris
  • COGNIAT, Raymond, « Le nouveau théâtre du Trocadéro », Le Monde Illustré. Paris, 18 décembre 1937, p. 864-865

    Bibliothèque nationale de France, Paris
  • FAVIER, Jean, « Le théâtre du Trocadéro », La Construction Moderne. Paris, 20 mars 1938, p. 332-336

    Cité de l'architecture et du patrimoine, Paris
  • GILLES-DELAFON, Simone, « Le nouveau théâtre du Trocadéro », Beaux-Arts. Paris, 11 février 1938

    Bibliothèque nationale de France, Paris
  • PAUTY, Edmond, « La salle de Chaillot et le problème de ses accès », L’Architecture. Paris, août 1938, p. 263-284

    Cité de l'architecture et du patrimoine, Paris
  • RAMBOSSON, Yvanhoë, « Le palais de Chaillot l’a échappé belle et la scène française aussi », Comoedia. Paris, 21 août 1936

    Bibliothèque nationale de France, Paris
  • REBOUX, Paul, « Inauguration du théâtre de Chaillot », Le Petit Parisien. Paris, 11 mars 1939

    Bibliothèque nationale de France, Paris
  • SEE, Charles-Edouard, « Constructions civiles - Les aménagements du nouveau théâtre du Trocadéro », Le Génie Civil. Paris, 21 mai 1938, n°2910, p. 425-430

    Bibliothèque de l'Ecole nationale des ponts et chaussées, Marne-la-Vallée
Date(s) d'enquête : 2017; Date(s) de rédaction : 2022
(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel