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rampe d'appui, escalier secondaire de l'Ecole militaire Paris 7e arrondissement - place JoffreDescription :hautes et basses et d'une frise haute à postes. Au premier étage une élégante galerie avec la même rampeIllustration :Vue de la rampe à arcades haut et bas. IVR11_20097500176NUC4AHistorique :En janvier 1751 parut l'édit créant l'Ecole militaire, projet soutenu par madame de Pompadour et le financier Pâris-Duverney. Le programme était de loger convenablement cinq cents jeunes gentilshommes, un l'infirmerie, au total plus de sept cent personnes. Le site choisi était la plaine de Grenelle. Jacques-Ange Gabriel proposa un projet somptueux qu'il dut aussitôt revoir à la baisse en le simplifiant. Les travaux traînèrent en longueur, ralentis par la Guerre de sept Ans. Le projet final ne fut adopté par Choiseul qu'en
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rampe d'appui, grand escalier de l'hôtel du garde meuble, actuellement Etat-Major de la Marine nationale Paris 8e arrondissement - 2 rue RoyaleDescription :Le grand escalier de très vastes dimensions a été construit pour desservir les salles d'exposition traversante. Il est donc éclairé par six grandes baies. La rampe réalisée par le maître serrurier Claude Roche est d'un dessin riche et puissant ; composée d'une frise de postes encadrée en haut et en bas d'une frise d'entrelacs, la rampe est interrompue par deux panneaux, le premier situé dans l'axe de la grande volée et le second dans l'axe du grand palier. Ces panneaux abritaient deux fleurs de lys, quatre branches de laurier et quatre L, le tout en bronze doré. Supprimés en 1793, ils furent remplacés par le symbole de la Marine au début du 19e siècle lorsque le décor de l'escalier fut repris. La console deAnnexe :Documentation - IM75000087 SOURCES ET BIBLIOGRAPHIE Bibliographie CASTELLUCCIO, Stéphane, Le Garde Editions de l’amateur, 2002, p.198-203 VERLET, Pierre, Le mobilier royal français, Paris, Picard, 1990-Historique :d'aménagement intérieur et le projet définitif fut arrêté en 1768, à la suite de nombreux échanges avec Pierre -Elisabeth de Fontanieu, intendant et contrôleur général des meubles de la Couronne. Le bâtiment comporte
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