Dossier d’œuvre architecture IA75000465 | Réalisé par
Philippe Emmanuelle (Rédacteur)
Philippe Emmanuelle

Conservateur du patrimoine, Région Île-de-France, service Patrimoines et Inventaire.

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Mercier Marianne (Rédacteur)
Mercier Marianne

Chargée du recensement et de la protection au titre des Monuments historiques

Correspondante du label "Architecture contemporaine remarquable"

Conservation régionale des monuments historiques, DRAC Ile-de-France

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  • enquête thématique régionale
Lycée Hélène-Boucher
Œuvre étudiée
Auteur
Copyright
  • (c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Ile-de-France
  • Commune Paris
  • Adresse 75 cours de Vincennes
  • Cadastre 2020 EC 1
  • Dénominations
    lycée
  • Parties constituantes non étudiées
    cour, cantine, préau

"L'école des femmes" [1] : le lycée Hélène-Boucher

[1] Titre emprunté à l'ouvrage de Yaëlle Arasa, publié en 2013.

Historique et programme

 Au cours de l’année 1935, dans le cadre du plan national Marquet visant à résorber un fort taux de chômage tout en répondant au besoin en équipements scolaires d'enseignement secondaire, le ministère de l’Éducation Nationale confie à Lucien Sallez le projet de réaliser un lycée de jeunes filles situé Cours de Vincennes. Il est édifié entre la barrière du Trône, ancien octroi de l'enceinte des fermiers généraux et les fortifications de Thiers, en remplacement de l’usine à gaz dite «de Saint-Mandé», démolie en 1931. Par décision du Conseil municipal du 13 juillet 1933, la Ville de Paris, propriétaire du terrain, en autorise la cession à l’État. Le Conseil général des bâtiments civils approuve les plans soumis par l'architecte en mai 1935[1] et un décret du 3 octobre 1937 créé «un lycée national de jeunes filles sur le Cours de Vincennes»[2]. L'inauguration du lycée, pouvant accueillir de 1600 à 1800 élèves dont 350 demi-pensionnaires, a lieu à la rentrée d'octobre 1937.

 Premier lycée de filles destiné à accueillir, entre autres, les classes plus populaires de Belleville, Ménilmontant et Charonne (commerçants, artisans....), sa construction vient compléter les sept lycées de filles existants[3], en particulier le lycée Victor Hugo dont il dépend administrativement lors de son ouverture et dont la capacité d'accueil est devenue insuffisante. Alors que le baccalauréat est ouvert aux filles depuis 1924 et que l'enseignement secondaire est gratuit depuis 1930, entraînant un afflux de lycéennes, le plan national d'outillage prévoit donc, pour résorber le retard accumulé, la construction de trois nouveaux lycées à destination de la gent féminine : Camille Sée (Paris 15e, 1934), La Fontaine (Paris 16e, 1938), Hélène Boucher, ainsi que l'agrandissement du lycée Jules Ferry (Paris 9e, 1936). Cette construction permettra également le rééquilibrage de l'est parisien, sous-équipé en établissements scolaires du second degré (seul existe le lycée Voltaire depuis 1890).

 Baptisé du nom d'une pionnière de l'aviation décédée accidentellement en 1934, le lycée est le premier, dans Paris, à prendre, en 1944, le nom d'une femme, qui plus est contemporaine. Représentant la jeune fille exemplaire par sa «modestie, sa simplicité, sa vaillance»[4], cette dénomination avait été préférée à Chardin, La Bruyère, Alfred de Vigny, Fresnel ou encore Rosa Bonheur.

 La décision de construire un internat est prise, il ouvre en 1952 à Fontenay-sous-Bois. Accueillant toujours plus d'élèves, la saturation démographique des locaux amène à ajouter une annexe voisine en 1961, l'actuel lycée Ravel construit par les architectes Dondel et Dhuit. La parenté entre les deux lycées est soulignée par le choix d'un revêtement rosé. La mixité entre progressivement en vigueur à partir de 1972. Depuis la réforme Haby en 1977, le lycée Hélène Boucher est devenu une cité scolaire abritant un collège et un lycée.

 L'architecte

Lucien Sallez (1868-1963), élève de Vaudremer à l’École des Beaux-Arts, architecte du gouvernement, est désigné comme maître d'œuvre. Il poursuit une carrière essentiellement comme architecte en chef des monuments historiques de 1906 à 1937, puis inspecteur général des monuments historiques à partir de 1932.

 Programme

Fortement encadré par les règlements en matière d'architecture pour l'enseignement secondaire en vigueur depuis la fin du 19e siècle, le programme du lycée Hélène Boucher répond aux prescriptions telles que la cour de récréation unique et des espaces pour la gymnastique. Héritiers de la pensée rationaliste des membres de la Commission des bâtiments des lycées et collèges créée en 1880, les projets des années 1930 s'appuient sur une administration tournée vers le pragmatisme, l'économie et l'efficacité, qui rejette la vétusté des établissements existants. Si la conjugaison de la surveillance, de l'hygiène et du confort constitue le critère essentiel, les aménagements doivent briser l'image austère du lycée apparenté à une caserne ou un couvent, pire un hôpital ou une prison. Le mobilier doit évoluer vers plus de confort, le décor vers plus de gaité. Une attention particulière est accordée au mode de chauffage et d'éclairage des locaux. Enfin, de manière générale, une nouvelle corrélation entre programme pédagogique et programme architectural est recherchée.

 

[1]L'auteur du rapport n'est autre que Gabriel Héraud, architecte du lycée La Fontaine (Paris 16e, 1938), Archives de Paris VO12/626

[2]Brochure historique éditée par le lycée, 1987

[3]Les lycées de filles construits à Paris : Fénelon en 1883, Racine en 1887, Molière en 1888, Lamartine en 1893, Victor Hugo en 1895, Jules Ferry et Victor Duruy en 1913.

[4]Inscription figurant sur la plaque apposée dans le vestibule du lycée en 1964.

DESCRIPTION

Implantation dans le tissu urbain

Le terrain est situé dans un quartier de faubourg, éloigné du centre de la capitale. Proche de la ceinture en pleine mutation à la suite de la démolition des fortifications de Thiers et à la loi Cornudet qui impose depuis 1919 l'établissement d'un projet d'aménagement, d'embellissement et d'extension, le lycée fait partie des équipements qui vont profondément modifier le paysage de la périphérie parisienne, comme ses confrères Claude Bernard et La Fontaine (Paris 16e).

 A la même époque, à la faveur de l'Exposition coloniale internationale de 1931, le traitement de la Porte dorée voisine bouleverse le quartier : un square doté d'une fontaine et de la statue d'Athéna réalisée par Léon-Ernest Drivier viennent marquer l'entrée est de Paris. Simultanément sont entrepris le prolongement des lignes 8 et 1 du métro ainsi que l'aménagement d'un parc zoologique, qui deviendra bientôt le zoo de Vincennes, fameux pour son rocher aux singes conçu par Charles Letrosne en 1934. Autour de la Porte dorée sont également construits plusieurs ensembles d'habitations à bon marché, un dépôt de tramways de la Compagnie des Omnibus de Paris, ainsi que l'église Saint-Gabriel (Louis Murcier, 1935).

Contraint par l'exiguïté de la parcelle quadrangulaire disponible (8500 m2) bordée par trois rues et par le Cours de Vincennes, l'architecte retient le principe du lycée-îlot. Cette forme urbaine est déterminante pour l'élaboration du plan mais entraîne aussi un gabarit monumental par sa hauteur, qui fait du lycée un repère un repère symbolique de l'instruction républicaine dans la ville. Cette architecture scolaire facilement identifiable dans le paysage urbain, où la forme et la fonction se répondent, tire son origine de la Commission des bâtiments des lycées et collèges. Jusqu'à la seconde guerre mondiale, celle-ci influença considérablement les décisions de nouvelles constructions à Paris.

 Le plan

 La contrainte d'une faible surface impose un développement en hauteur, qui superpose les étages autour d'un espace central vide, la cour plantée, ouverte sur un côté, au sud, afin de laisser pénétrer largement le soleil. Le lycée s'étend sur une longueur de 120 mètres, avec une pente accusant une différence de niveau entre les façades antérieure (sur le Cours de Vincennes) et postérieure (sur la rue de Lagny). Le périmètre de ce quadrilatère mesure environ 360 mètres, les ailes est, nord et ouest, se montant à même hauteur. Les circulations verticales se situent aux quatre angles, ainsi qu'au centre des deux ailes les plus longues. Deux ascenseurs réservés au personnel complètent les escaliers. Outre d'amples paliers, de larges couloirs distribuent les classes. Par leurs dimensions, l'ensemble des circulations témoigne du souci d''efficacité en terme d'évacuation des élèves. Leur revêtement de carreaux de grès cérame et leurs angles arrondis, empêchant l'accumulation de poussière, facilitent l'entretien général.

Répondant ainsi aux préceptes hygiénistes de l'aération et de l'ensoleillement exigés par les règlements urbain et scolaire, cette composition simple et rationnelle, en fer à cheval, s'adapte à la densité urbaine de la capitale. Avec ses contemporains parisiens et sur le modèle du lycée Camille Sée (François Le Coeur, 1934), le lycée Hélène Boucher dessine la typologie des lycées-îlots si caractéristique de l'entre-deux-guerres : si l'on observe une continuité avec la période précédente par ce rapport de fermeture sur la ville, tel un monde clos, l'abandon du principe des cours multiples au profit d'une vaste cour unique, construite sur son périmètre, est toutefois notable. Un aménagement paysager de cet espace est par ailleurs prévu dans le programme, quelques plantations d'origine ayant été conservées.

 Répartition des espaces

 L'entrée principale accède au vestibule, surélevé afin de permettre l'éclairage du gymnase situé au niveau inférieur. Une couverture en terrasse dispense la lumière naturelle, au-delà du vestibule. Ne disposant pas de grande surface disponible pour l'emplacement des espaces de gymnastique, l'architecte a privilégié la solution semi-enterrée, favorisée par la différence de niveau entre les deux extrémités du terrain. De part et d'autre du vestibule prennent place les bureaux de l'administration et à l'étage unique, les appartements de la directrice. Une large galerie donne accès aux escaliers, situés au niveau des deux angles sur le Cours de Vincennes, ainsi qu'à la cour en empruntant la terrasse recouvrant le gymnase semi-enterré. Dans l'aile située en face et au niveau inférieur, se trouvent les cuisines. Elles sont surmontées du réfectoire avec lequel elles communiquent grâce à des monte-charges. Quatre grands préaux occupaient à l'origine les rez-de-chaussée des ailes longues, ils ont subi depuis des changements d'usage et des cloisonnements multiples.

 Une cinquantaine de classes et salles de réunion se répartissent sur quatre niveaux au sein des trois ailes hautes. Elles sont disposées côté cour pour échapper aux bruits de la ville et sont desservies par un couloir latéral placé côté rue. Percés par des baies en bandeau permettant un éclairage en second jour, les murs séparant les couloirs des classes participent à la luminosité de ces dernières, dont les dimensions inhabituellement vastes ont été remarquées par l'architecte-voyer[1]. À l'origine, le quatrième étage était consacré aux salles de sciences naturelles, physique-chimie, histoire et géographie. Un cabinet réunissant des collections scientifiques y est associé. Chaque étage est équipé de lavabos et sanitaires. Le cinquième étage est occupé par des logements du personnel, des terrasses et les salles de dessin, dont le vitrage Thermo-lux[2] a été remarqué par la presse spécialisée en 1937. Enfin, la chaufferie a été installée sous le niveau de la cour.

 Mode constructif

 La construction est entièrement en béton armé, permettant l'augmentation de la superficie des classes et l'ouverture des murs par de larges baies grâce à la diminution du nombre de points porteurs.

  La nature du sol a rendu complexes les travaux de terrassement et de fondation : la présence de deux gazomètres, partiellement couverts par des remblais, et d'eau, empêchant de fonder en profondeur, ont imposé d'élargir les piliers de fondation par rapport aux prévisions. Un ciment métallurgique sursulfaté, habituellement employé pour les travaux maritimes, a été privilégié.         

 Afin de donner une teinte rosée au revêtement, un mélange de béton et fragments de marbre et porphyre concassés a été coulé dans les coffrages, sur cinq centimètres d'épaisseur et en même temps que la structure. Au moment du coffrage, des plaques de tôle ont permis de différencier le revêtement de l'ossature. L'allure conférée par ces agrégats de petite taille souligne sa ressemblance avec son modèle antérieur de quelques années seulement, le lycée Camille Sée (Paris, 15e, 1934).

 Traitement des façades

 La façade antérieure, composée d'un bâtiment bas mais surélevé en sa partie centrale marquée par le pavillon d'entrée, est tournée vers le Cours de Vincennes. Deux ailes se prolongent perpendiculairement sur la rue des maraîchers et la rue des Pyrénées, une troisième aile fermant la composition sur la rue de Lagny.

  Sur toute la surface des façades, le béton est laissé apparent, à l'exception du pavillon d'entrée recouvert de travertin, plus noble. Aucune modénature ne vient troubler l'unité qui s'en dégage. L'animation des façades est donnée par les jeux des masses, des décrochements, des saillies, retraits et pans coupés, accentués dans les niveaux supérieurs.

   Malgré l'emploi d'un vocabulaire classique et d'une parfaite symétrie, les lignes et volumes géométriques confèrent à l'ensemble une silhouette résolument moderne qui s'apparente aisément à l'image familière du grand paquebot, fréquemment invoquée pour caractériser les réalisations de l'Art Déco.  La hauteur définitive dépasse les gabarits autorisés mais a toutefois été approuvée par les services municipaux, compte-tenu de la fonction de l'édifice et de sa nécessité pour l'intérêt général. Par cette expression monumentale, les façades manifestent particulièrement l'image institutionnelle du lycée.

 Décors

 Pour des raisons d'économie, l'ornementation est réduite, concentrée sur les espaces d'accueil, entrée et vestibule, abrités par le pavillon d'entrée surélevé que souligne la teinte claire du travertin, distinct du béton. Bâtiment semi-circulaire légèrement hors-œuvre, il est éclairé par une coupole plate de pavés de verre et de hauts lambris de pierre polie orangée, qui mettent en valeur un programme peint et verrier d'une grande richesse.

 La direction du programme décoratif et iconographique est confiée à Edmond Sigrist (1882-1947), secrétaire du salon d'Automne élu en 1919. La composition peinte au stic B[3] se développe sur trois faces :

- la fresque centrale, du peintre Edmond Sigrist, représente Les jeunes filles en visite au zoo de Vincennes, devant le rocher aux singes et les flamands roses,

- les fresques latérales, de Frédéric Deshayes (1897-1980) et Pierre Clairin (1883-1970), se partagent la décoration des murs latéraux, scénographiant des jeunes filles à la baignade dans le lac de Saint-Mandé et un pique-nique avec un jeu de colin-maillard, des cerceaux et une balançoire devant le château de Vincennes.

Enfin, dans le réfectoire se trouve une fresque de Charles Picart le Doux qui représente le Lac Daumesnil et son temple d'amour.

 L'emploi d'une gamme de couleurs vives et franches, en adéquation avec l'atmosphère joyeuse des sujets dédiés à la vie quotidienne des jeunes filles dans leurs activités de loisirs sportifs, contraste avec les programmes iconographiques plus convenus que l'on connaît traditionnellement dans les établissements scolaires : représentations des humanités (souvent symboliques ou allégoriques) ou figures historiques exemplaires. Cette mise en scène des élèves ancre le lieu d'instruction dans la vie contemporaine et participe à la modernité de nombreux bâtiments publics, souvent édilitaires, des années 1930 (écoles, hôtels de ville, etc.).

 L’atelier de Louis Barillet (1880-1947), sur le dessin du maître-verrier et illustrateur Jacques Le Chevallier (1896-1987), réalise une grande baie tripartite pour éclairer le vestibule, dans un mur courbe couronné par une corniche saillante : la déesse grecque Athéna, coiffée d’un bonnet phrygien, de la sagesse et de la guerre, entourée des Arts et des Sciences. Conformément au style Art Déco, Barillet use de plusieurs types de verres et glaces, alternant les verres incolores transparents, les verres colorés opaques bleus et noirs ainsi que les luisances des miroirs. Plus classique que celle des fresques, cette iconographie s'appuie sur les enseignements dispensés aux jeunes filles : la littérature (les rouleaux de parchemin), la musique (la flûte de Pan), le théâtre (les masques de la comédie et la tragédie), la poésie (la lyre), l’architecture (la colonne ionique), l’astronomie (le globe), la chimie (l’alambic), le compas (les mathématiques)… La modernité réside toutefois en la figuration des enseignements scientifiques à part égale avec le reste, illustrant ainsi de manière progressiste le récent alignement des programmes du secondaire féminin sur ceux du secondaire masculin pour aboutir à un baccalauréat identique (1924).

 Les ferronneries sont issues de l’entreprise Borderel et Robert, dirigée par Raymond Subes (1891-1970), pour la porte d’entrée monumentale et l’escalier principal, répétant un motif abstrait de boucles et de pointes.

 Enfin, sur les façades, au couronnement des deux pavillons d'angle qui dominent le Cours de Vincennes, deux hauts reliefs dus au ciseau du sculpteur Rondest représentent des jeunes filles regroupées autour de leur professeur.

 Transformations ultérieures

 - En 1956, est construit un second réfectoire au sous-sol Lagny, à cause du nombre grandissant de demi-pensionnaires. Le premier réfectoire a été totalement remanié et modernisé, avec une extension sur la cour.

- En 1964, une salle de cinéma ouvre ses portes dans le lycée, elle sera désaffectée après vingt ans d’usage.

- À partir de 1979, sont conduits d’importants travaux de rénovation par l’architecte André Aubert : mise en conformité des installations électriques, chauffage et gaz, installation en 1980 d’une nouvelle salle de sport et d’un Centre de documentation et d'information dans l'aile de la rue de Lagny.

 

[1]Archives de Paris, VO12/626

[2]Soie de verre prise entre deux glaces. Cf articles cités en bibliographie.

[3]Procédé originaire de la peinture en bâtiment, promu par Maurice Denis en substitution à la fresque : pigments en suspension dans de l'huile de lin cuite, à laquelle on ajoute de la gomme dure et des oxydes de zinc et de titane. Cette technique de peinture laquée mate conserve particulièrement bien l'éclat des couleurs.

  • Murs
    • béton béton armé
  • Toits
    béton en couverture
  • Étages
    4 étages carrés
  • Couvrements
    • dalle de béton
  • Couvertures
    • terrasse
  • Escaliers
    • escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour en maçonnerie
  • Énergies
  • Typologies
    ;
  • Techniques
    • sculpture
    • peinture
  • Statut de la propriété
    propriété de la région, Propriété du Conseil régional d'Île-de-France.
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler
  • Protections

  • Précisions sur la protection

    Label Architecture contemporaine remarquable (ACR) décerné en 2020.

Annexes

  • SOURCES
Date(s) d'enquête : 2016; Date(s) de rédaction : 2022
(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel
Philippe Emmanuelle
Philippe Emmanuelle

Conservateur du patrimoine, Région Île-de-France, service Patrimoines et Inventaire.

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Mercier Marianne

Chargée du recensement et de la protection au titre des Monuments historiques

Correspondante du label "Architecture contemporaine remarquable"

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