Photographe, Région Île-de-France, service Patrimoines et Inventaire.
- inventaire topographique
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Mantes-la-Jolie
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Commune
Mantes-la-Jolie
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Adresse
1-25 rue Saint-Bonaventure
,
1-31 rue des Cordeliers
,
1-11 Allée Albert Dagnaux
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Cadastre
2014
AD
307
;
2014
AD
458
;
2014
AD
459
;
2014
AD
462
-
Dénominationslotissement concerté
Le lotissement, dit groupe des Cordeliers, s'inscrit dans la période de reconstruction urbaine qui suit les bombardements de 1944 à Mantes-la-Jolie. La parcelle unique et large le distingue du découpage en lanières caractéristique du quartier. La circulation, ouverte entre les groupes de pavillons, le parc central et les rues environnantes, illustrent le programme urbanistique moderniste de Raymond Lopez, qui participa aux premiers plans de ce lotissement.
En 1952-1953, La SA d'HBM "La maison des anciens combattants" achète à la ville un terrain d'un hectare, pris sur le domaine de l'ancien couvent des Cordeliers, afin d'y édifier quarante pavillons individuels de trois et quatre pièces en location simple. Elle obtient l'aide du Crédit Foncier de France avec le bénéfice d'une prime à la construction et sollicite la CAF de la région parisienne. Les premiers plans de ce lotissement sont dessinés par Gravereaux, Lopez, Boulenger et Bourdillat, architectes de la Reconstruction, qui exploitent ici une très grande et unique parcelle. La ville ouvre pour ce faire deux nouvelles voies, la rue Maximilien Luce et la rue des Cordeliers. Les plans définitifs sont réalisés en 1955 par J.-P. Oudin, auteur du rythme en dents de scie des façades des pavillons mitoyens de ce lotissement qui font son originalité.
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Période(s)
- Principale : 3e quart 20e siècle
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Dates
- 1953, daté par source
-
Auteur(s)
- Auteur : architecte attribution par source
Le programme qui prévoyait quarante puis trente-sept pavillons, en compte trente-cinq, disposés en retrait et formant un plan en triangle. Chaque pavillon est construit en béton sur un soubassement en calcaire. La toiture à deux pans est couverte de tuiles mécaniques. Un léger décrochement placé à chaque extrémité du mur goutterot permet d'accentuer le rythme décalé des pavillons. Sur la façade principale, un garage est intégré dans le soubassement du pavillon. Chaque porte d'entrée est surmontée d'un auvent en béton. Une sorte de claustra en bois est placée à droite de chacune des portes. Les volets d'origine des baies allongées du rez-de-chaussée surélevé et de l'étage sont en panneaux de bois coulissants sur une tringle métallique. A l'origine la circulation entre les groupes de pavillons et le parc central arboré se faisait plus librement.
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Murs
- calcaire moellon
- béton
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Toitstuile mécanique
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Étagesrez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré
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Couvertures
- toit à longs pans
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre
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Statut de la propriétépropriété privée
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
- (c) Archives municipales de Mantes-la-Jolie. Fonds Bertin
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
- (c) Philippe Ayrault, Région Ile-de-France
Documents d'archives
Bibliographie
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Souvenirs de Mantes Acte II : Trente ans d'aventure urbaine de 1945 à 1975
Stagiaire Institut national du patrimoine, juillet-décembre 2016.
Stagiaire Institut national du patrimoine, juillet-décembre 2016.