Conservateur du patrimoine, Région Île-de-France, service Patrimoines et Inventaire.
- patrimoine de la villégiature, villégiature en Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
Dossier non géolocalisé
-
Aire d'étude et canton
Ile-de-France
-
Commune
Franconville
-
Adresse
rue d'Ermont
-
Cadastre
1832
c
357
;
2014
AH
408
-
Précisions
-
Dénominationsmaison
-
Précision dénominationmaison de villégiature
-
AppellationsChâteau Cadet de Vaux
-
Destinationsmaison
-
Parties constituantes non étudiéesglacière, jardin, pièce d'eau, jardin botanique, jardin régulier
La famille Becquet fait construire cette maison de campagne vers 1759. Selon Henri Mataigne, le terrain est acheté en décembre 1758 aux héritiers de François René Coüet de Montbayeux (1680-1756) [1], échevin de la ville de Paris, avocat au Parlement et Conseil du roi. L’acquéreur, Jacques Philippe François Becquet (1692-1773), seigneur de Quiéry-la-Motte et de Layens[2], est échevin, lui aussi, de la ville de Douai, et docteur en droit, avocat, puis conseiller pensionnaire de Douai. Les Becquet de Mégeville sont l’une des grandes et opulentes familles de Douai, implantée dans cette ville depuis le milieu du XVIe [3] et lui ayant donné près d’une trentaine d’échevins, conseillers, procureurs ou greffiers, personnages éminents dans une ville aussi autonome que pouvait l’être Douai. Les échevins, au nombre de douze, jugeaient, administraient et légiféraient au nom de la commune. Les Becquet descendraient de Thomas Becket de Canterbury, légende validée et consacrée aussi bien par Jacques II puis Jacques III d’Angleterre en 1696 et 1703, et par les rois de France Louis XIV en 1704 et Louis XV en 1718. Leurs fonctions auraient pu amener à se rencontrer Coüet de Montbayeux et Becquet.
Les Becquet occupent-ils leur maison de campagne ? Elle est en tout cas louée au comte de Tressan, physicien et écrivain, collaborateur de l’Encyclopédie, au moins à partir de 1778 ou 1782[4] et jusqu’à sa mort en 1783. Il se plaît à Franconville, qu’il cite dans plusieurs de ses poèmes, notamment en 1782 :
Sur mon ermitage de Franconville
Vallon délicieux, ô mon cher Franconville,
Ta culture, tes fruits, ton air pur, ta fraîcheur
Raniment ma vieillesse et consolent mon cœur[5].
Franconville rencontre en effet un grand succès auprès des villégiateurs. Ainsi « situé sur la pente d’une colline et sur la route même de Paris à Rouen, il était facile d’accès. Aussi de nombreuses maisons de campagne y avaient été construites, agrémentées de jolis jardins ». M. de la Crosnière, comme M. d’Albon, avait un jardin qui « rivalisait, pour les fleurs, avec celui de M. de Tressan »[6].
Après la mort du comte de Tressan, un nouveau locataire s’installe dans la maison, Monseigneur Gaspard de Tresmanne, ancien évêque de Glandève qui, « sur la fin de sa vie, venait y passer l’été ». Il y meurt le 5 septembre 1784 à 63 ans et est enterré dans le chœur de l’église[7].
La maison est vendue peu après au célèbre savant touche-à-tout Antoine Alexis Cadet de Vaux (1743-1828) pour la somme de 28 000 livres. Cette vente, survenue en 1788, donne l’occasion de la première description du domaine[8]. Les intérieurs ne sont malheureusement pas décrits mais la physionomie générale de la maison correspond à l’actuelle : le « principal corps de bâtiment de ladite maison [est] élevé d’un rez-de-chaussée, un étage carré et un second étage en mansarde couverts en ardoise à deux égouts ». La propriété est entièrement close, en partie de murs, en partie de haies vives, et une grille de fer sur la rue d’Ermont sert d’entrée. Une basse-cour est mentionnée, ainsi qu’un terrain servant de melonnière, lui-même enclos et ayant entrée sur la basse-cour, un « petit édifice composé d’une serre, grenier au-dessus, une chambre à côté, le tout couvert en tuile. Ensuite desdits bâtiments et cour, un jardin distribué en parterre, bosquet, potager, verger et allée de tilleuls en promenade. »
En 1800, Cadet de Vaux, qui consacre toutes ses ressources à ses expériences, est contraint de vendre la basse-cour et la melonnière, tandis que sa maison est chargée de cinq hypothèques. Il a beau avoir des locataires, il finit par vendre la maison, en 1820, pour 30 000 F, au modiste Louis Hippolyte Leroy, puis en 1821 tout le reste à Jean André Henri Lucas (1780-1825), beau-fils de Leroy, et surtout gardien des galeries du Museum d’histoire naturelle, minéralogiste et auteur de plusieurs ouvrages scientifiques. Il est probable que Cadet de Vaux et Lucas se connaissaient.
En 1822, le libraire parisien Guillaume Debure, qui avait acheté la melonnière et la basse-cour à Cadet de Vaux en 1800, les revend à son tour à Leroy. Ainsi à partir de 1822 la famille Leroy-Lucas possède le domaine dans sa totalité. Avec eux, elle retrouve sa vocation de villégiature et une société brillante. Leroy avait en effet été un couturier important, favori de l’impératrice Joséphine ; Adelaïde, la fille de sa femme, est décrite comme aimable et mondaine, et le peintre Garnerey réalise son portrait[9].
La maison change de propriétaire en 1832, année du décès de Mme Leroy. Joseph Ulrich Hindenlang, industriel d’origine suisse connu pour avoir mis au point le filage mécanique du cachemire en France[10], officier de la Légion d’honneur, possède le domaine jusqu’en 1839 et vend la maison, pour 45 000 F, à Adelaïde Geneviève Deroche (1786-1862), parisienne elle aussi et veuve d’un marchand faïencier[11]. Ses descendants conservent la maison au moins jusqu’au début du XXe s.[12].
Rien ne permet d'étayer les évolutions de la maison proprement dite, l'ajout d'une travée à chaque extrémité du bâtiment, ou encore l'extension de la terrasse, qui était nettement plus petite dans les années 1830[13]. La construction d'une « maison bibliothèque » en 1866 (disparue) est cependant avérée sur la parcelle attenante à la maison, côté ouest[14], là où se trouvait la basse-cour. On doit cette intéressante construction à Jean-Baptiste Pochet (1794-1881), neveu et gendre de Mme Deroche. Sa femme, Estelle Adélaïde Deroche, hérite de la maison de Franconville à la mort de sa mère, en 1862. Pochet, fondateur d’une importante entreprise de porcelaine et verrerie à Paris[15], est surtout un amateur et collectionneur d’art, bibliophile passionné, doublé d’un jardinier émérite pris de passion pour son jardin de Franconville. C’est ainsi qu’il y rassemble, dans un bâtiment ad hoc, une vaste bibliothèque, comprenant, entre autres, de nombreux ouvrages d’horticulture. L’ensemble est dispersé en vente publique dès 1882[16].
Le parc de Franconville et ses nombreux arbres remarquables, sa pièce d’eau et son île, lui sont peut-être imputables, au moins en partie. Le parc a connu plusieurs étapes dans son évolution, dont les plans, très peu précis, donnent une vague idée. Le plan d'intendance (1785)[17] présente un jardin comprenant des allées et des plantations régulières, et une partie boisée au nord. La carte d'état major des environs de Paris (1818-1824) montre une, voire deux pièces d'eau près de la maison, et pratiquement rien du reste du parc. En 1900, le jardin paysager, son allée circulaire et ses allées transversales sont bien en place. La carte topographique de 1900 de Paris et ses environs[18] montre deux pièces d'eau à l'emplacement de l'actuelle, qui ont peut-être été réunies postérieurement. La glacière ne figure sur aucun plan.
En 1966 la commune acquiert la maison et un musée est inauguré en 1975. La partie nord du parc fait l'objet d'un important projet immobilier et deux grands immeubles d'habitation viennent l'enserrer. A la fermeture du musée, c’est le conservatoire de musique qui s’installe. Aujourd’hui la maison est animée par des associations. Un projet de musée Cadet de Vaux est à l’étude.
[1] Henri Mataigne, Histoire de la paroisse et commune de Franconville-la-Garenne : depuis le IXe siècle, collection Monographies des villes et villages de France, Paris, Le livre d'histoire, impr. 2005, fac-similé de l'édition de 1927, p. 220.
[2] Quiéry, à l’ouest de Douai, Layens à Lewarde, à l’est de Douai. Amédée Le Boucq de Ternas, Généalogie de la famille Becquet de Mégille, fixée à Douai en 1532, dressée sur titres par le chevalier A. Le Boucq de Ternas, publiée avec une préface par Félix Brassart, Douai, Impr. de L. Dechristé père, 1884, p. 57.
[3] Ibidem.
[4] Bien que la date de 1776 soit souvent avancée, ses lettres laissent entendre qu’il ne s’y installa pas avant 1778 et qu’il y était bien en 1782.Henri Antoine Gérard de Lavergne de Tressan, Souvenirs du comte de Tressan, Louis-Elisabeth de La Vergne, d’après des documents inédits réunis par son arrière-petit-neveu, le marquis de Tressan, Versailles, Henri Lebon, 1897.
[5] Ibidem, p. 231.
[6] Ibidem, p. 238.
[7] Monographie communale de Franconville, 1899, AD 95, 1 T 145, p. 13.
[8] André Vaquier, Un philanthrope méconnu, Cadet de Vaux, 1743-1828, Paris, 1958, p. 402. La vente est passée devant Me Drugeon, notaire à Paris, le 22 août 1788, MC/RE/XLVI/8.
[9] Hippolyte Auger, Mémoires d’Auger (1810-1859), publiés pour la première fis par Paul Cottin, Paris, Revue rétrospective, 1891, p. 170 et suiv.
[10] Edouard Foucaud, Les artisans illustres, sous la dir. de MM. le baron Ch. Dupin et Blanqui aîné, Paris, Gaudin, 1841, p. 526 et suiv.
[11] Annonces légales (hypothèques). Affiches, annonces et avis divers de l'arrondissement de Pontoise, numéro 75, 17 octobre 1837, p. 7.
[12] Matrices cadastrales, AD 95, 3P 310, p. 73/240.
[13] Plan cadastral de 1832, AD 95, 3 P2415, Section C, le village : première feuille.
[14] Parcelle C355, limitrophe à la maison. Matrices cadastrales, AD 95, 3P 309, p. 309.
[15] « Société anonyme Verreries Pochet et du Courval, installée quai de Valmy et disparue en 2011 », Biographie de Pochet, Bibliothèques patrimoniales de la Ville de Paris, fonds Pochet (famille), MS-2393 à MS-24-32.
[16] Le fonds Pochet de la Bibliothèque de la Ville de Paris ne contient pas d’ouvrages mais des papiers personnels et professionnels relatifs à Pochet et à sa famille.
[17] AD 95, C 1/29.
[18] Pour la carte d’état-major et la carte topographique, voir Géoportail.
-
Période(s)
- Principale : 3e quart 18e siècle , daté par source
- Principale
Le logis de plan barlong, construit vers 1759, se présente dans la simplicité d’une élégante maison de villégiature néo-classique, enduite en blanc, érigée sur deux niveaux et un étage de comble, et couverte d'une toiture à la Mansart en ardoise, percée de cinq lucarnes. Initialement la maison n'était constituée que de cinq travées. Les trois centrales, couronnées d'une lucarne unique, étaient encadrées de part et d'autre d'une travée simple surmontée d'une lucarne. Les conduits de cheminée se trouvaient alors pratiquement à l'aplomb des petits côtés du bâtiment.
Toutefois l'ajout d'une travée de chaque côté n'a pas brisé sa cohérence. La modénature est restée homogène et les nouveaux angles du bâtiment ont été traités avec un second jeu de pilastres à refends, identique au premier. Un appendice d'un seul niveau a été ajouté à l'extrémité ouest du corps dans la deuxième moitié du XXe s.
Côté parc, la façade ne se distingue de son pendant que par la présence de cinq porte-fenêtres donnant accès à une terrasse. A balustres et large escalier de six marches, celle-ci a été agrandie depuis les années 1830 ; le plan cadastral la montre en effet réduite à un escalier de taille moyenne.
La distribution d’origine a été conservée à l’intérieur et témoigne elle aussi de la simplicité qui prévalait à la campagne. Nul besoin d’escalier d’apparat, le seul de la maison d'origine est très simple, en bois, avec une rampe d'appui à barreaux de fer de section carrée. Il conduit aux chambres à coucher de l’étage, petites et nombreuses pour accueillir les amis en vacances. Au rez-de-chaussée, le vestibule traversant, où se trouve l'escalier, mène directement au jardin et dessert, à droite, le salon, qui a conservé tous ses décors de stucs et miroirs, et à gauche la salle à manger, munie de sa niche. A l'extrémité est, un salon a été ajouté tandis qu'à l'ouest la pièce supplémentaire a été pourvue d'un nouvel escalier. Le sous-sol est occupé par des caves sur toute la surface de la maison d'origine et un puits existe encore, côté rue.
Une maison des champs ne serait rien sans son parc et la maison est tout entière tournée vers lui. Le parc paysager comprend des arbres remarquables (séquoia, cyprès chauve, ginko biloba...), une glacière, une grande pièce d’eau, munie d'une petite île. La glacière a été aménagée, à une date inconnue, à l'est de la parcelle, le long de la rue d'Ermont. Elle est entièrement recouverte de terre mais son accès, formant une grotte voûtée en pierre brute, est ménagé par d'importants murs de soutènement en gros moellons. La glacière proprement dite est creusée dans le sol et son double accès, très ouvert, est fermé par des grilles. Cette glacière devait former, avec l'extrémité rocaillée de la pièce d'eau qui la jouxte, l'une des parties les plus pittoresques du parc. Les vestiges de la glacière ont été retrouvés en 1965 lors des travaux de construction des immeubles de la résidence Cadet de Vaux, qui longent toute la partie nord du domaine, autrefois boisée.
-
Murs
- enduit
-
Toitsardoise
-
Plansplan rectangulaire régulier
-
Étagessous-sol, rez-de-chaussée, 1 étage carré, comble à surcroît
-
Couvrements
-
Élévations extérieuresélévation ordonnancée
-
Couvertures
- toit à longs pans croupe brisée
-
Escaliers
- escalier dans-oeuvre : escalier tournant à retours avec jour
-
Typologies
-
État de conservationbon état
-
Techniques
- décor stuqué
-
Représentations
- fleur, panier, trompette, fruit, chêne, rinceau, ove, miroir
-
Précision représentations
Le salon est décoré de boiseries décorées de feuillages, fleurs et instruments de musique. La cheminée est surmontée d'un miroir en trumeau inclus dans les boiseries.
-
Statut de la propriétépropriété de la commune
-
Intérêt de l'œuvreà signaler, intérêt botanique, maison d'homme célèbre
-
Éléments remarquablesjardin botanique, glacière, pièce d'eau, jardin régulier
-
Précisions sur la protection
Labellisé Patrimoine d'intérêt régional par la Région Île-de-France le 5 juillet 2023
Ce site labellisé Patrimoine d'intérêt régional comprend une maison de campagne du milieu du XVIIIe parfaitement conservée dans ses dispositions, au sein d'un parc comprenant nombre d'arbres remarquables.
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
- (c) Laurent Kruszyk, Région Île-de-France
Documents d'archives
-
Acte de vente passé entre les Cadet de Vaux et héritiers Becquet, étude de Me Drugeon, notaire à Paris, le 22 août 1788.
-
Annonces légales (hypothèques). Affiches, annonces et avis divers de l'arrondissement de Pontoise, numéro 75, 17 octobre 1837.
Archives départementales du Val-d'Oise, PER 484 3, p. 7/8
p. 7 -
Archives départementales du Val d'Oise, Matrices cadastrales 3P 310, p. 73/240
p. 73/240 -
Monographie communale de Franconville, 1899, Archives départementales du Val-d'Oise, 1T 145
p. 13 -
Henri Mataigne, "Franconville-la-Garenne depuis le IXe siècle", L'Echo pontoisien, numéro 44, 3 novembre 1927, p.3
Archives départementales du Val d'Oise, PER 135 24
Bibliographie
-
Edouard Foucaud, Les artisans illustres, sous la dir. de MM. le baron Ch. Dupin et Blanqui aîné, Paris, Gaudin, 1841
p. 526 et suiv. -
Amédée Le Boucq de Ternas, Généalogie de la famille Becquet de Mégille, fixée à Douai en 1532, dressée sur titres par le chevalier A. Le Boucq de Ternas, publiée avec une préface par Félix Brassart, Douai, Impr. de L. Dechristé père, 1884
-
Hippolyte Auger, Mémoires d’Auger (1810-1859), publiés pour la première fois par Paul Cottin, Paris, Revue rétrospective, 1891
p. 170 -
Henri Antoine Gérard de Lavergne de Tressan, Souvenirs du comte de Tressan, Louis-Elisabeth de La Vergne, d’après des documents inédits réunis par son arrière-petit-neveu, le marquis de Tressan, Versailles, Henri Lebon, 1897.
-
André Vaquier, Un philanthrope méconnu, Cadet de Vaux, 1743-1828, Paris, 1958
p. 402 -
Henri Mataigne, Histoire de la paroisse et commune de Franconville-la-Garenne : depuis le IXe siècle, collection Monographies des villes et villages de France, Paris, Le livre d'histoire, impr. 2005, fac-similé de l'édition de 1927
Conservatrice au service Patrimoines et inventaire d'Ile-de-France
Conservateur du patrimoine, Région Île-de-France, service Patrimoines et Inventaire.
Conservatrice au service Patrimoines et inventaire d'Ile-de-France