Dossier d’aire d’étude IA94000550 | Réalisé par
Damm Paul (Rédacteur)
Damm Paul

Conservateur en chef du patrimoine, service Patrimoines et Inventaire, Région Île-de-France.

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Gardé Juliette (Contributeur)
Gardé Juliette

Stagiaire dans le service Patrimoines et Inventaire de Région Île-de-France en 2013.

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Ariot Chloé (Contributeur)
Ariot Chloé

Stagiaire dans le service Patrimoines et Inventaire de la Région Île-de-France en 2012.

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Bouard Sylvain (Contributeur)
Bouard Sylvain

Stagiaire dans le service Patrimoines et Inventaire de la Région Île-de-France en 2013.

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Vidal Manon (Contributeur)
Vidal Manon

Stagiaire dans le service Patrimoines et Inventaire de la Région Île-de-France en 2015.

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Noyelle Thibaut (Contributeur)
Noyelle Thibaut

Stagiaire dans le service Patrimoines et Inventaire de la Région Île-de-France en 2015.

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Imatte Sarah (Contributeur)
Imatte Sarah

Stagiaire dans le service Patrimoines et Inventaire de la Région Île-de-France en 2016.

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Miroudot Delphine (Contributeur)
Miroudot Delphine

Stagiaire dans le service Patrimoines et Inventaire de la Région Île-de-France en 2018.

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Muller Henry (Contributeur)
Muller Henry

Stagiaire dans le service Patrimoines et Inventaire de la Région Île-de-France en 2019.

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Aéroport d'Orly
Copyright
  • (c) Stéphane Asseline, Région Île-de-France

Dossier non géolocalisé

  • Aires d'études
    Orly, Ile-de-France
  • Adresse
    • Commune : Orly
      Lieu-dit :
    • Commune : Paray-Vieille-Poste
    • Commune : Athis-Mons
    • Commune : Wissous
    • Commune : Morangis
    • Commune : Villeneuve-le-Roi
    • Commune : Chilly-Mazarin

L’étude de l’aéroport d’Orly constitue le deuxième volet du diagnostic patrimonial du territoire de l’opération d’intérêt national Orly-Rungis Seine-Amont, lancé en 2011 par le Conseil Général du Val-de-Marne et la Région Île-de-France, dont la première étape a été achevée en 2013. Le diagnostic a fait ressortir sur ce territoire une série de bâtiments remarquables, parmi lesquels l’aéroport d’Orly s’est vite imposé en tant qu’objet d’une étude approfondie. Avec le Bourget et Roissy-en-France, il constitue l'un des trois grands aéroports parisiens et représente un équipement de première importance dans le système des réseaux franciliens et nationaux.

L'histoire de l'aéroport d'Orly se confond avec celle de l'aviation civile en France. C'est aussi celle d'une domaine foncier, constitué à l'issue de la Première Guerre mondial agrandi à deux reprises:

-Le domaine foncier d'Orly est fondé par la déclaration d’utilité publique du 12 janvier 1920, qui donne lieu à l'ordonnance d’expropriation du 15 avril 1920 prise par le président du tribunal civil de la Seine. La superficie du terrain est en 1920 de 400 ha.

-La déclaration d’utilité publique et d’urgence du 24 octobre 1946, qui donne lieu à l'ordonnance d’expropriation du 31 décembre 1946 prise par le président du tribunal civil de la Seine permet de doubler la superficie de l'aéroport en intégrant les extensions réalisées pas la Luftwaffe et de porter celle-ci à 800 ha.

-La déclaration d’utilité publique le 6 mai 1954 qui donne lieu à l'ordonnance d’expropriation du 26 juillet 1954 prise par le président du tribunal civil de Corbeil permet de mettre en œuvre le projet du Grand Orly et de porter la superficie de la plateforme à 1200 ha.

1918 la naissance du terrain d'aviation

L’histoire de l’aéroport d’Orly débute lors de la Première Guerre mondiale. Le corps expéditionnaire américain se voit attribuer par la France un terrain de 286 ha sur le territoire de la commune d’Orly pour y installer son aviation. Les Américains y construisent une de leurs principales bases logistiques: l’Air Service Acceptance Park no 1. À Orly, les avions, construits dans les usines de la région parisienne, sont armés pour le front. Les installations américaines fondent le noyau sur lequel va se développer l’aéroport d’Orly.

De 1920 à 1940: le port aérien de Villeneuve-Orly

En 1919, lors de la remise des installations à la France, le site compte soixante-dix baraquements et hangars. L’État régularise la situation foncière en 1920, et étend la superficie du terrain vers le sud. Le plan de cet ensemble, appelé dès lors port aérien de Villeneuve-Orly, est publié en août 1921 dans le Bulletin de la Navigation Aérienne. C’est l’un des plus vastes aérodromes de France. Le terrain est limité à l’ouest par la Route Nationale no 7 qui relie Paris à Corbeil. Le chemin de la Vieille-Poste à Villeneuve-le-Roi partage le port aérien en deux zones, nord et sud. Villeneuve-Orly conserve ces limites jusqu’à l’occupation allemande en 1940.

Le terrain d'aviation d'Orly, "Instruction aéronautique du Port aérien de Villeneuve – Orly", Bulletin de la Navigation Aérienne, n° 17, août 1921, hors-texte.Le terrain d'aviation d'Orly, "Instruction aéronautique du Port aérien de Villeneuve – Orly", Bulletin de la Navigation Aérienne, n° 17, août 1921, hors-texte.

Le terrain est utilisé par les civils et les militaires. Pendant les années 1920 et 1930, c’est un lieu important où l’on teste les avions et on apprend à piloter. L’école la plus célèbre est celle de Charles Nungesser, un as de la Première Guerre mondiale. De nombreuses manifestations pour promouvoir l’aviation y sont organisées: meetings, prix, courses, baptêmes de l’air. Orly devient un centre de l’aviation de tourisme française. En 1930, l’avionneur Henry Potez y établit une station-service pour avions à des fins promotionnelles. En 1932, le pavillon du club d'aviation Roland-Garros est inauguré à Orly, le club déménage à Buc en 1936 où y est construit un nouveau pavillon (dossier d'inventaire IA78000459 ). En 1934 la maison du pilote est inauguré à Orly (dossier d'inventaire IA00089793).

À la fin de la Première Guerre mondiale, on envisage encore un destin important au « plus léger que l’air ». Toute la partie sud du port aérien de Villeneuve-Orly est ainsi consacrée aux dirigeables. En 1921, le Service de la Navigation Aérienne confie à Eugène Freyssinet la réalisation de deux hangars (dossier d'inventaire IA0089815) pour abriter deux Zeppelins pris à l’Allemagne comme indemnité de guerre: le Dixemude et le Méditerranée. Il élabore pour ces aéronefs de très grande taille deux bâtiments d’une conception révolutionnaire. Ils sont construits d’une voute en béton monolithe de 91 m de portée, 60 m de haut à la clé et 300 m de long. Les hangars sont détruits par les raids de l’aviation américaine en mai 1944.

L'aéroport d'Orly en 1933L'aéroport d'Orly en 1933

L'aéroport d'Orly pendant la Seconde Guerre mondiale

Les aéroports français sont militarisés dès le début de la Seconde Guerre mondiale et passent sous le contrôle de la Luftwaffe durant l’Occupation. À Orly, les Allemands construisent deux pistes de 1 825 m et 1 560 m et doublent la superficie du terrain de 1921, sans toutefois l’étendre à l’ouest au-delà de la Nationale 7. Les installations allemandes sont durement touchées par les bombardements de l’aviation américaine en mai 1944. À la Libération, elles sont immédiatement remises en état par l’USAAF. Orly devient, dès août 1944, une importante base américaine en Europe participant à l’Air Transport Command. Le 7 novembre 1946, le terrain est remis à la France. La même année, l’État intègre les extensions allemandes, portant la surface de l’aéroport à 800 ha. Sa gestion confiée à l’établissement public autonome « Aéroport de Paris », créé par l’ordonnance du 24 octobre 1945.

L'Avant-Projet de 1947 la naissance du Grand Orly

L’Avant-Projet de l’aéroport d’Orly est l’acte de baptême du Grand Orly. Il est publié dans la revue Techniques et Architecture en décembre 1947. Ce projet consacre Orly comme le principal aéroport parisien et devient le grand dessein de l’Aéroport de Paris. Cet Avant-Projet va bien au-delà des simples limites de l’aéroport d’Orly. Il concerne, en réalité, tout l’aménagement de la banlieue sud. En raison de la création de l’aéroport, on décide de la construction de l’Autoroute du Sud. À partir de 1947, le projet du Grand Orly va bouleverser tout le paysage au sud de Paris, de la porte d’Orléans à Athis-Mons. Il devient l’un des principaux chantiers de la région parisienne.

L'avant-projet de l'Aéroport d'Orly, LESIEUX Louis, "l’Aéroport d’Orly aéroport principal de Paris", Techniques et architecture, Série 7, n° 9-12, décembre 1947, p. 481.L'avant-projet de l'Aéroport d'Orly, LESIEUX Louis, "l’Aéroport d’Orly aéroport principal de Paris", Techniques et architecture, Série 7, n° 9-12, décembre 1947, p. 481.

La mise en œuvre de l'Avant-Projet de 1947

Dès 1947, les principes généraux du Grand Orly sont arrêtés: axe majeur, axe secondaire, orientation des pistes, aérogare unique. En attendant la fin de la procédure administrative qui doit permettre l’acquisition des terrains à l’ouest, au-delà de la Nationale 7, l’Aéroport de Paris adapte les infrastructures pour faire face à la croissance du trafic aérien. Si l’armée américaine a officiellement remis le terrain à la France, elle continue de l’utiliser en raison de la proximité d’Orly avec les sièges franciliens des différents états-majors de l’OTAN: Paris, Fontainebleau, Rocquencourt. Cette utilisation de l’aéroport par les militaires contribue à la croissance du trafic. C’est à cette époque que les compagnies américaines – la Pan Am et la TWA – commencent à opérer à Orly, mettant en place dès la fin de la guerre des liaisons transatlantiques régulières. En 1948, l'école Nationale d'Aviation civile (dossier d'inventaire IA31130524) crée la même année est installée dans la zone nord de l'aéroport. Elle déménage en 1968 à Toulouse. En 20 ans En vingt ans, à Orly, l’ENAC a formé 10 000 élèves.

Une première aérogare temporaire est inaugurée en 1946 et en 1948 un second bâtiment provisoire est construit à proximité. Ils sont baptisés aérogares provisoires Nord. On aménage les pistes en vue de réaliser l’Avant-Projet de 1947. En 1948, Orly comporte trois pistes. De 1951 à 1953, le trafic aérien passager augmente de 28 % en moyenne par an. Air France y installe l’ensemble de ses activités en 1953.

L'aéroport d'Orly en 1949L'aéroport d'Orly en 1949

Conçues pour accueillir 500 000 passagers par an, ces installations temporaires reçoivent en 1953 900 000 passagers et atteignent les limites de leurs capacités. L’Aéroport de Paris est contraint à réaliser de nouveaux aménagements. Toutefois, comme l’établissement n’est toujours pas propriétaire des terrains à l’ouest de la Nationale 7, il ne peut lancer le chantier du Grand Orly. On décide alors de commencer la construction de l’aérogare définitive sur l’emprise foncière contrôlée par l’Aéroport de Paris, la partie est. La tâche est confiée à Henri Vicariot. Ce bâtiment, baptisé « Aérogare-Sud », sera intégré aux Installations Terminales (dossier d'inventaire IA94000551) du Grand Orly. À l’époque, cette nouvelle aérogare est entièrement dédiée à Air France.

Entre-temps, la réalisation de l’Avant-Projet de 1947 est approuvée par le Conseil des ministres du 8 décembre 1953. Et, en mai 1954, une déclaration d’utilité publique permet d’ouvrir la procédure d’acquisition des terrains à l’ouest de la Nationale 7.

L'aéroport d'Orly en 1956L'aéroport d'Orly en 1956

L’Aéroport de Paris, qui a déjà lancé le chantier du Grand Orly, doit adapter l’Avant-Projet de 1947 à la mise en service des avions à réactions à la fin des année 1950. On suspend la réalisation des trois principales pistes est-ouest, trop courtes et pas assez larges pour les jets. L’Avant-Projet est modifié: on ne retient qu’une seule piste, la piste n°3, dont la longueur est portée à 3 300 m. En 1957, après la réalisation de la tranchée de la Nationale 7, les travaux s’accélèrent: le bâtiment principal sort de terre.

En 1958, l’imposante ossature en acier de 6 000 tonnes surplombe la nationale. Le 24 mars 1959, Yvonne de Gaulle baptise à Orly la première Caravelle d’Air France. La même année, le nouveau tracé de la Nationale 7 et la piste 3 adaptée aux jets sont mis en service. Longue de 3 300 m et large de 60 m, cette piste franchit la nationale grâce à un pont capable de supporter des avions de 250 tonnes. L’année suivante, le 12 avril 1960, sont inaugurés l’Autoroute du Sud (Paris-Corbeil) et le premier tronçon du boulevard périphérique parisien, entre les portes d’Italie et de Châtillon. Le 24 février 1961, le général de Gaulle inaugure les Installations Terminales. Le 8 mars, elles entrent en service. En octobre, l’Aérogare- Sud est raccordée aux Installations Terminales. Le Grand Orly est né.

Orly dans les années 1960

L'Aéroport d'Orly en 1961L'Aéroport d'Orly en 1961

Après l’inauguration en 1961 des Installations Terminales, le chantier du Grand Orly se poursuit. La nouvelle tour de contrôle et la piste no 4 sont inaugurées en 1966. Longue de 3 650 m, cette piste sera la dernière réalisée à Orly. Elle permet de porter la capacité de l’aéroport à 100 mouvements par heure. En 1967, Orly, conçu pour accueillir 6 millions de passagers par an, assure un trafic annuel de 7 millions. L’Aéroport de Paris décide de lancer la construction d’un nouveau terminal, Orly-Ouest (dossier d'inventaire IA 94000552), et de compléter les extrémités des jetées des Installations Terminales avec des satellites carrés. Ces satellites entrent en fonction en 1969 et 1970, ainsi que les premières passerelles pour desservir les avions. L’année suivante, Orly-Ouest est inauguré. Les Installations Terminales s’appellent désormais Orly-Sud. Le Grand Orly est achevé.

Avec la construction de l’aéroport, la métamorphose du plateau de Longboyau se poursuit. La construction du marché d’intérêt national à Rungis (1964-1969), au nord d’Orly, entraîne la création de nouvelles infrastructures. L’Autoroute du Sud est doublée entre Paris et le plateau. On transforme le carrefour des Nationales 7 et 186, à la Belle Épine, en un échangeur autoroutier en forme de trèfle. et en 1971 on y inaugure un centre commercial.

L'Aéroport d'Orly en 1971L'Aéroport d'Orly en 1971

Paradoxalement, la mise en service d’Orly-Ouest annonce la fin d’Orly comme principal aéroport de Paris. Conçu à l’origine pour des avions à hélice, Orly est dès son inauguration condamné à la saturation. Il était impossible pour les concepteurs de l’aéroport d’envisager le boom du trafic aérien des années jets. En 1965, on prévoit un trafic aérien de 23 millions de passagers pour Paris en 1980 ; quatre ans plus tard celui-ci est estimé à 40 millions. Pour répondre à une telle demande, l’Aéroport de Paris lance le chantier d’un nouvel aéroport au nord de Paris, à Roissy-en-France, un projet de 3 200 ha. Roissy I est inauguré en 1974.

Orly 1 2 3 4

En 1986, Orly-Ouest est agrandi avec la construction du hall 4. En 1991, l’aéroport est relié à ligne B du RER par le métro automatique Orlyval. En 1994, Orly-Ouest est agrandi une seconde fois avec le nouveau hall 1. Signe de son dynamisme actuel, Orly a accueilli 32 millions de passagers en 2018. Pour augmenter les capacités d’accueil de l’aéroport, un nouveau terminal a été inauguré le 18 avril 2019 par le Premier ministre Édouard Philippe. Orly 3 relie Orly-Sud et Orly-Ouest qui forme désormais une seule et même aérogare, baptisée Orly 1 2 3 4. Et en 2024, l'aéroport d'Orly sera relié à Paris par la ligne 14 du métro.

L'aéroport d'Orly en 2019L'aéroport d'Orly en 2019

L'organisation générale actuelle de la plateforme aéroportuaire d'Orly découle de l'Avant-Projet de l'aéroport d'Orly publié dans a revue Technique et architecture de décembre 1947. Les principaux bâtiments de l’aéroport sont présentés ici et organisés de la façon suivante. Chaque dossier est illustré par des photographies issues des fonds photographique de la Région Île-de-France, du Groupe ADP, du musée Air France, et de l'association Anciens Aérodromes.

Orly 1 2 (depuis 2019), Orly-Ouest (de 1971 à 2019)

Dossier IA 94000552 sur le bâtiment

Dossier IM 1346 sur l'horloge astronomique, l'Astrolabe

Orly 3

Dossier IA 94000556

Orly 4 (depuis 2019), Orly-Sud (de 1971 à 2019), Installations terminales (de 1961 à 1971) Aérogare Sud (de 1954 à 1961)

Dossier IA 94000551 sur l'aérogare

Dossier IA 94000554 sur les espaces publics d'Orly 4

Dossier IA 94000555 sur les Installations Terminales, Orly 4 dans les années 1960

Dossier IM 1344 sur les lustres de Pierre Disderot dans la Galerie marchande du 1e étage

Dossier IM 1345 sur la tapisserie de Jean Lurçat les Trois Soleils

Les trois pavillons d'honneurs

Dossier IA 9400053

L'ancien siège d'Air France à Orly

Dossier IA 94000558

L'ancienne chapelle de la base de l'OTAN (Orly Air Base)

Dossier IA 94000557

La mission du patrimoine du Groupe ADP

Dossier IM 1347

Anciens dossiers de l'inventaire général sur l'aéroport d'Orly

L'aéroport d'Orly a déjà étudié par l'Inventaire général du patrimoine en 1991. Cette étude a donné lieu à trois dossiers d'inventaire:

L’aérogare d'Orly-Sud (aujourd'hui Orly 4) dossier IA 94000496

Les hangars à dirigeable d'Eugène Freyssinet dossier IA 00089815

La maison du pilote construite en 1934 par l'Union des Pilotes Civils de France dossier IA 00089793

Autres dossiers réalisés par l'Inventaire général liés à l'aéroport d'Orly:

La ferme de la Vieille Poste ou Ferme Verger de Paray-Veille Poste, dossier IA 91000637 détruite lors de la construction d'Orly 4,

La Maison de l'Environnement de l'aéroport d'Orly à Athis-Mons dossier IA 91000547,

L’aéroport de Toussus-le-Noble où a été installé le premier pavillon d’honneur d’Orly en 1970 dossier IA78000491

Le pavillon du club d'aviation Roland-Garros à Buc construit à l'occasion du départ du club de l'aéroport d'Orly en 1936 dossier IA 78000459,

L'Ecole Nationale d'Aviation Civile, ENAC, située à Toulouse dossier IA31130524, créée en 1948, elle était implantée de 1948 à 1968 dans la zone nord de l'aéroport d'Orly.