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maison de campagne, 70 rue du Général-Leclerc
Dossier IA78002011 inclus dans ville d'Andrésy réalisé en 2006Fiche
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La façade principale, vue d'ensemble.
- Impression
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Parties constituantes
- jardin
- carrière
Sommaire
Précision dénomination | maison de campagne |
Parties constituantes non étudiées | jardin, carrière |
Dénominations | maison |
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Détail du plan du nouveau domaine d'Andrésy appartenant au chapitre (1702). Dessin plume aquarellé. (AN, N I Seine-et-Oise 52).
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Détail du plan de la seigneurie d'Andrésy de 1731. Dessin plume. (AN, N IV Seine-et-Oise 19).
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Détail de la carte des chasses en 1774. Dessin aquarellé. (Service historique de l'Armée de terre).
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Le portail et la cour d'entrée, vue d'ensemble.
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La façade principale, vue des travées centrales.
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La façade principale, vue d'ensemble.
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La façade arrière de la maison d'habitation et des communs. La première comporte très peu d'ouvertures.
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Lucarnes à croupe de la façade arrière.
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Entrée d'une ancienne carrière creusée dans le coteau à l'arrière de la maison.
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Les communs qui se trouvent dans l'alignement de la maison principale.
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Les communs, vue de l'ancien chenil.
Aire d'étude et canton | Andrésy - Andrésy |
Adresse | Commune : Andrésy Adresse : 70 rue du Général-Leclerc Cadastre : 1983 AO 254, 255, 256, 257, 269, 270, 271, 267, 621, 617, 618 |
En 1678 la propriété appartient à Claude Lepage seigneur de la Chapelle, valet de garde robe du duc d'Orléans. Un siècle plus tard, en 1776 c'est la maison de campagne de messire Guillaume Balthazar Boissier, chevalier, ancien capitaine des troupes de la marine, demeurant à Paris. En 1821, la propriétaire en est Madame Demarie, bourgeoise. La propriété passe ensuite entre les mains de plusieurs propriétaires parisiens puis de 1901 à 1905 elle appartient à Caroline Otero, dite la belle Otero célèbre courtisane et artiste de music-hall défrayeuse de la chronique mondaine de la Belle Epoque. Après elle, la propriété est acquise par un industriel parisien, Joseph Johnson, sans doute le fondateur de la petite usine de clous de la rue de Triel.
Période(s) | Principale :
18e siècle
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Auteur(s) | Auteur :
maître d'oeuvre inconnu
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En 1678 la propriété est décrite ainsi : une grande maison, cour jardin, pressoir en plusieurs bâtiments, colombier à vollet, clos de vigne fermé de murs, pavillon au haut des murs... La maison a une voûte sous le grand chemin pour aller et venir aux [...] jardins qui sont du côté de la Seine. En 1766 on retrouve les mêmes éléments avec en plus une écurie, une étable à vaches et à porc et une remise. La volière à pigeons et le pavillon sont toujours là. Plusieurs carrières se trouvent dans la propriété. Telle qu'elle se présente aujourd'hui, la maison a un volume du 18e siècle : escalier à barreaux de section carré dans l'axe du vestibule, pièces en enfilade de chaque côté et circulations de service à l'arrière. Les ouvertures ont conservé leur forme cintrée mais les gardes corps en fonte moulée datent probablement du 2e quart du 19e siècle. Toute la modénature extérieure a été récemment restaurée. La propriété a été découpée en plusieurs parcelles à plusieurs reprises.
Murs | calcaire
enduit moellon |
Toit | tuile plate |
Étages | 1 étage carré, étage de comble |
Couvertures | toit à longs pans pignon couvert |
Escaliers | escalier dans-oeuvre :
escalier tournant à retours avec jour
en charpente
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Statut de la propriété | propriété privée
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Conservateur du patrimoine, Région Île-de-France, service Patrimoines et Inventaire.
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