Le Syndicat intercommunal pour la création d'un cimetière à Créteil regroupe les communes de Bonneuil-sur-Marne, Charenton-le-Pont, Créteil, Joinville-le-Pont, Maisons-Alfort, Saint-Maur-des-Fossés et Saint-Maurice (Nogent-sur-Marne ne rejoindra le syndicat qu'après l'ouverture du cimetière et la commune de Valenton n'est pas adhérente). Le syndicat choisit un premier emplacement en 1958. Son projet est déclaré d'utilité publique en 1962 et le terrain acquis deux ans plus tard. Comprenant 30 hectares, il est situé à Créteil, sur les coteaux du Mont-Mesly et est désigné dans le plan d'aménagement intercommunal n°9 de 1961 comme une réserve d'espaces verts. L'architecte Robert Auzelle est choisi en janvier 1966. Il est déjà reconnu comme le spécialiste de l'architecture funéraire, après diverses publications, projets et réalisations (notamment le premier cimetière intercommunal d'Ile-de-France et premier véritable cimetière paysager du XXe siècle en France, réalisé à Clamart à partir de 1946 ou celui des Joncherolles ' Pierrefitte et Villetaneuse ' projeté à partir de 1958). Il rend un projet quelques mois plus tard dans lequel il suggère de créer un funérarium, ce qui ne figurait pas au programme. Auzelle propose un cimetière réalisable en plusieurs phases et présentant un système d'espaces hexagonaux ou rectangulaires et de grands degrés s'étageant sur 4 niveaux, pour répondre à la dénivellation du terrain. Il prévoit l'installation de tombes superposées (enfeus), dispositif qu'il essaie de promouvoir dans nombre de ses projets de cimetières malgré les réticences des familles et des marbriers. L'administration suspend le projet en décembre 1967 car il est devenu incompatible avec la poursuite du développement de Créteil, la commune souhaitant poursuivre son urbanisation à côté du grand ensemble du Mont-Mesly. Un nouveau terrain est trouvé, de 40 h, situé au sud du cimetière de Limeil-Brevannes, sur les territoires de Valenton, Limeil et Villeneuve-Saint-Georges. Il est bordé au sud-est par l'emprise de l'échangeur A87-A5 (autoroutes finalement non réalisées) et à l'ouest par le prolongement du CD94 (aujourd'hui avenue de la Fontaine-Saint-Martin). A cette date, il s'agit du plus grand cimetière intercommunal français projeté. En avril 1969, Auzelle (associé à André Mahe sur le dossier et à Hector Patriotis pour l'exécution), rend son avant-projet. Les travaux d'aménagement et de construction se déroulent dans la foulée en deux phases. Le cimetière et ses divers équipements ouvrent progressivement entre 1973 et 1976.
cimetière intercommunal de la Fontaine-Saint-Martin
Dossier IA94000516 réalisé en 2008Fiche
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Le bâtiment des cérémonies, vu depuis le cimetière. Au premier plan, quelques éléments de la sculpture monumentale de Székely.
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Parties constituantes
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ensemble de modèles de tombes pour le cimetière intercommunal de la Fontaine-Saint-Martin
Valenton, 13, 15 avenue de la Fontaine-Saint-Martin
- ossuaire
- four crématoire
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ensemble de modèles de tombes pour le cimetière intercommunal de la Fontaine-Saint-Martin
Œuvres contenues
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ensemble de 2 retables-paravents : L'arbre de vie, le cosmos
Valenton, 13, 15 avenue de la Fontaine-Saint-Martin
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sculpture monumentale : Le jardin de la méditation ou De la méditation des âges de la vie
Valenton, 13, 15 avenue de la Fontaine-Saint-Martin
Sommaire
Appellations | intercommunal de la Fontaine-Saint-Martin |
Parties constituantes non étudiées | ossuaire, four crématoire |
Dénominations | cimetière |
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Plan de localisation du cimetière. En pointillés, deux parcelles initialement dans le périmètre du terrain et qui ont été soustraites depuis.
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Plan localisant le premier projet de cimetière, sur le territoire de Créteil (aujourd'hui le long de la route de Pompadour), avril 2006.
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Dossier d'avant-projet. Plan d'ensemble du premier projet de cimetière, à Créteil, avril 1966. Le cimetière se décomposait en six espaces : I. L'aire de service, II. Les terrasses hexagonales, III. Les cimetières rectangulaires, IV. Les grands degrés, V. les enfeus et ossuaires et enfin VI. Au centre, les tombes sous les arbres.
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Elévation Est de l'aire de cérémonie du premier projet de cimetière, à Créteil, juillet 1967.
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Plan de localisation du terrain finalement retenu, daté de novembre 1968, fourni à Robert Auzelle en même temps que le programme définitif.
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Esquisse en couleurs sur calque, non signée, non datée. Schéma d'implantation des différents espaces.
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Esquisse en couleurs, 5 décembre 1968. Schéma de distribution des bâtiments de services. Ce document éclaire la manière de travailler d'Auzelle, conjuguant le dessin au trait pour une première approche et usage de couleurs pour déterminer les détails, afin de mieux distinguer les fonctions, les espaces, etc.
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Coupe esquissée sur calque, non datée, non signée. Coupe esquissée, option A, pour la salle des cérémonies. Les systèmes de parois amovibles pour former deux petites salles distinctes sont bien visibles. C'est cette option qui sera retenue pour l'éclairage zénithal au sommet de la toiture.
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Coupe esquissée sur calque, non datée, non signée. Coupe esquissée, option B, pour la salle des cérémonies.
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Dossier d'avant-projet, avril 1969. Plan de composition. Le parti des plantations est déjà lisible sur ce plan, Auzelle réservant les arbres de hautes tiges, en périphérie de l'équipement ou délimitant neuf vastes aires d'inhumation carrées (peupliers d'Italie). Des enfeus sous portiques délimitaient quatre autres aires d'inhumation carrées.
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Dossier d'avant-projet, avril 1969. Plan de détail. La zone des équipements est détaillée (A : aire de cérémonie, B : portique, C : bâtiment de la conservation, D : bâtiment des commerces, E : locaux du fossoyeur, des jardiniers, hangar et ateliers, F : parterre gazonné pour la dispersion des cendres, F' : emplacement du futur crématoire, G : sculpture monumentale)
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Dossier d'avant-projet, avril 1969. Eléments de composition dans la trame 7 x 7 (partie 1). En 1, les différents types d'implantation des tombes (par 10, 5 ou 2) ; en 2, les zones de plantation avec ou sans sépulture ; en 3, les talus plantés avec ou sans sépulture (aménagement non réalisé).
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Dossier d'avant-projet, avril 1969. Eléments de composition dans la trame 7 x 7 (partie 2). En 4, les « murs béton terre stabilisé » avec sépultures de part et d'autres et sépulture d'un côté et plantations de l'autre (aménagement non réalisé) ; en 5, les enfeus ; en 6, les enfeus sous portique (les deux rangs d'enfeus superposés sont remplacés par quatre rangs d'ossuaires individuels dans la réalisation, eux-mêmes devenus colombariums après la création d'un crématorium) ; en 7, les profils des trois types de réseaux.
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Dossier d'avant-projet, avril 1969. Plan, élévation et coupe de l'ossuaire collectif.
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Dossier d'avant-projet, avril 1969. Elévation de l'aire de service depuis l'extérieur du cimetière (à gauche l'aire de cérémonie, au centre le portique, à droite les bâtiments de la conservation et des boutiques).
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Dossier d'avant-projet, avril 1969. Coupe de l'aire de service (à gauche l'aire de cérémonie, au centre le portique, à droite le bâtiment de la conservation).
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Dossier d'avant-projet, avril 1969. Plan de composition. On peut voir les principales modifications apportées lors de la deuxième phase de travaux. Un portique pour des ossuaires individuels remplace les plantations de conifères autour de l'ossuaire collectif (A). Les enfeus, en allées parallèles, sont cantonnés en B.
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Dossier d'adjudication, octobre 1971. Dépositoires (ou enfeus).
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Dossier d'adjudication, octobre 1971. Plan global de la zone de l'ossuaire et détails d'un des quatre ossuaires collectifs.
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Dossier d'adjudication, octobre 1971. Plans des ossuaires individuels.
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Vue générale de l'aire de service, à gauche le bâtiment des commerces et à droite celui ateliers et hangars. Photographie NB, [1973].
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Vue du portique des ossuaires individuels. Photographie NB, [1973].
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Vue d'un rang de dépositoires, conçu selon le principe alvéolaire breveté par Auzelle. Photographie NB, [1973].
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Intérieur de la salle des cérémonies.
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Plan actuel du cimetière.
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Plan actuel du cimetière.
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Vue générale du portique d'entrée. A gauche, l'aire de cérémonie dont le funérarium, au rez-de-chaussée, est devenu le crématorium. A droite, le bâtiment de la conservation.
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Vue dans l'axe de la rampe d'accès pour les véhicules à la salle de cérémonie au premier niveau.
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Vue d'ensemble du bâtiment de l'actuel crématorium.
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Détail d'élévation du bâtiment de la conservation. Une alternance de piliers de béton et de remplissage vitrés de différentes couleurs remplacent le mur traditionnel, autre référence implicite à l'architecture religieuse.
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Le bâtiment des cérémonies, vu depuis le cimetière. Au premier plan, quelques éléments de la sculpture monumentale de Székely.
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Au centre, le portique d'entrée vu depuis l'intérieur du cimetière, à droite, le bâtiment des cérémonies. Au premier plan, des éléments de la sculpture monumentale de Székely.
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Dans l'axe, le bâtiment des cérémonies et sa rampe d'accès (symétrique à celle de l'extérieur du cimetière) se reflétant dans un des miroirs d'eau de la composition de Székely.
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Vue du jardin du souvenir.
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Autre vue du jardin du souvenir.
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Vue du jardin des innocents.
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Vue extérieure d'un portique de l'ossuaire individuel, devenu colombarium.
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Vue d'ensemble de l'espace du colombarium et des fosses de l'ossuaire.
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Vue d'ensemble sous un portique du colombarium.
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Détail de la sous-face lambrissée de la toiture d'un portique du colombarium.
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Vue des allées d'enfeus entièrement couvertes de végétation rampante, camouflant les cheminées d'aération. Le modèle d'alvéoles hexagonales préfabriquées a été dessiné et breveté par Robert Auzelle.
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Les allées d'enfeus.
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Vue rapprochée d'une allée d'enfeus.
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Détail des portes des enfeus.
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Vue d'une zone de tombes alignées ; en arrière-plan, un « carré » de peupliers.
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Vue d'un carré de peupliers et ses tombes alignées.
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Vue d'une zone paysagère accueillant des sépultures isolées.
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Zone paysagère sans sépulture.
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Une des plus anciennes tombes conservée dans le cimetière, celle de Victor Hugo Fernandez (4 septembre 1949 -11 juillet 1973), sud-américain décédé dans une catastrophe aérienne à Ermenonville). Sa forme géométrique se voulait une évocation d'un motif traditionnel inca, en référence aux origines du défunt.
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Monument funéraire d'une famille chinoise dans la zone paysagère.
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Sépulture végétalisée dans la zone paysagère (Yvonne Levy 1931-2011).
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Vue intérieure d'ensemble de la salle de cérémonie. A gauche, cinq éléments abaissés, sur les six, du dispositif destiné à cloisonner la salle. A droite l'un des deux paravents de Sabatier, l'Arbre de vie.
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Vue d'ensemble d'une petite salle délimitée par le système de cloisonnement mobile en position basse. Au fond l'un des deux paravents de Sabatier, le Cosmos.
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Détail de la charpente en bois lamellé-collé et du système de cloisonnement mobile. L'un des éléments est resté en position haute, tandis que les autres sont abaissés.
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Vue d'une grande porte métallique, totalement escamotable, permettant à un véhicule ayant franchi la rampe d'accès, d'entrer dans l'espace de cérémonie pour y déposer ou emporter le cercueil.
Aire d'étude et canton | OIN ORSA (opération d'intérêt national Orly-Rungis-Seine-Amont) |
Adresse | Commune : Valenton Adresse : 13, 15 avenue de la Fontaine-Saint-Martin |
Période(s) | Principale :
3e quart 20e siècle
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Dates | 1969,
daté par source
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Auteur(s) | Auteur :
Auzelle Robert
architecte
Auteur : Mahe André architecte Auteur : Patriotis Hector architecte |
Face au nombre de sépultures exigées par le programme (près de 44 000), il n'est pas possible à Auzelle d'envisager un cimetière paysager classique. En outre, les servitudes EDF (lignes à haute tension) lui interdisent les arbres de haute tige dans certaines zones. Il dessine alors différents types espaces d'inhumation, entourés de verdure et de plantations les isolant les uns des autres, sur la base d'une trame orthogonale générale de 7 x 7 m. Les surfaces de 49m² peuvent recevoir dix, cinq ou deux tombes disposées de manières variées. Les bandes de 7m servant à séparer les aires d'inhumation peuvent être soit des levées de terre pour des talus plantés, soit des murs de béton le long desquels s'adossent des tombes, soit des enfeus en rangées, soit des portiques à enfeus (le programme autorisant trois hauteurs maximum de cercueils). Les circulations sont hiérarchisées selon trois niveaux : primaire pour la circulation automobile à deux sens (qui ne dessert pas directement les aires d'inhumation), secondaire qui dessert les aires d'inhumation (ainsi le portage à bras des cercueils n'excède pas 30 à 40 m), tertiaire pour les visiteurs. Un ossuaire collectif complète les aires d'inhumation. A l'entrée un parking dispose de 550 places de stationnement. Les bâtiments de service sont localisés en position centrale et constituent l'élément majeur de la composition. Il s'agit : - d'une « aire de cérémonie » (A, voir document 11), bâtiment légèrement surélevé pour permettre la réalisation d'un funérarium en semi sous-sol et desservi par des rampes d'accès. Il est formé d'une vaste salle (divisible en deux salles indépendantes) à éclairage zénithal. - d'un portique (B) séparant l'aire de cérémonie. - du bâtiment de la conservation (C) (complété de deux studios). - d'un bâtiment (D) pour cinq commerces en RDC et logements à l'étage. - d'un bâtiment (E), locaux du fossoyeur, des jardiniers, hangar et ateliers. - d'un parterre gazonné (F) pour la dispersion des cendres (dans lequel Auzelle réservait un emplacement pour un éventuel futur four crématoire F'). - d'une longue bande de 7m de large mise en eau, destinée à un l'ensemble sculpté, évoquant les âges de la vie, demandé à Pierre Szekely (G). Lors des travaux d'aménagement et de construction certaines modifications sont apportées au projet initial, pour des raisons économiques, telles celles de la sculpture monumentale de Szekely. Auzelle, par volonté de rationaliser l'espace au bénéfice de zones paysagères, avait prévu beaucoup de places d'enfeus, mode d'inhumation peu prisé par les familles françaises. Le nombre d'enfeus est restreint et leur disposition, en portique, n'est reprise qu'en un seul lieu pour abriter des ossuaires individuels (finalement utilisés comme columbariums) entourant les fosses collectives (A, voir document 17). Les enfeus en bande ou sous portique, disséminées dans toute la composition du projet initial, sont regroupés sur un espace dallé (B). Auzelle apporte un soin particulier au dessin des bâtiments de service construits simplement en béton mais couronnés et reliés entre eux par de monumentales toitures d'ardoises. L'aire de cérémonie, à gauche du portique d'entrée, est couverte d'une spectaculaire charpente en lamellé collé, laissée apparente, comme la sous-face parquetée du toit. L'extérieur, comme l'espace intérieur, divisible en deux grâce à un ingénieux système de cloisons amovibles, évoquent l'architecture religieuse. Chacune de ces deux salles ainsi formée est refermée par un paravent sculpté, uvre de Pierre Sabatier. Dans les premiers mois de l'ouverture du cimetière, les pouvoirs publics tentent d'imposer un règlement dans lequel le dessin des sépultures serait réglementé, Auzelle ayant fourni un recueil de modèles et fait réaliser quelques exemples de tombes. Faute de consensus sur cet objectif de cohérence et d'esthétique ainsi que d'assise légale, la restriction est abandonnée. Aujourd'hui le cimetière qui s'étend sur 32 hectares, dispose d'un crématorium (créé en 1986 dans le funérarium), d'espaces traditionnels d'inhumation (dont un israélite et un musulman), d'espaces paysagers d'inhumation, d'un ossuaire, d'un colombarium (transformation des ossuaires individualisés), d'enfeus, d'un site cinéraire (avec une rocaille de dispersion, cavumes ou cavotins) et d'un jardin des innocents. Le système de circulation a été modifié afin de faciliter l'accès des cercueils aux zones traditionnelles d'inhumation. Depuis quelques années, la meilleure gestion de l'espace dans les cimetières municipaux (reprise de concessions abandonnées et fin des concessions à perpétuité) permet davantage d'inhumations ; le recours au cimetière intercommunal est en conséquence moins fréquent et celui-ci (environ 400 inhumations pas an) dispose encore d'une multitude de places et de vastes espaces libres.
Murs | béton
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Toit | ardoise |
Couvrements | charpente en bois apparente
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Couvertures | toit à longs pans |
Statut de la propriété | propriété de la commune
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Références documentaires
Documents d'archives-
Cité de l'architecture et du patrimoine, Centre d'archives d'architecture du XXe siècle. Fonds Auzelle, Robert (1913-1983). 242 IFA. Carton 56, affaire RA66 ; carton 57, affaire RA82 ; carton 58, affaire RA82 ; carton 61, affaires RA96 et 97 ; carton 62, affaire RA97 ; carton 64, affaires RA110 et 112.
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AUZELLE, Robert. Dernières demeures, conception, composition, réalisation du cimetière contemporain. Paris : chez l'auteur, 1965.
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AUZELLE, Robert. Les problèmes de sépulture en urbanisme. Thèse de l'Institut d'urbanisme de Paris, sous la présidence de J. Greber, 1942.
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BERTRAND, Frédéric. L'architecture et l'urbanisme funéraires parisiens à l'ère des métropoles. Regard sur l’œuvre et la pensée de Robert Auzelle (1913-1983). Thèse d'architecture, Université de Paris VIII, 2003.
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DUHAU, Isabelle. "Le cimetière intercommunal de la Fontaine-Saint-Martin à Valenton, une réalisation oubliée de Robert Auzelle". In Situ [en ligne], 31 / 2017, mis en ligne le 21 février 2017.
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Le mausolée. Revue mensuelle des arts et techniques des roches de qualité. N° 466. Juin 1975, p. 1188-1200.
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"Vers l'éternité. Cimetière intercommunal de la Fontaine Saint-Martin sur les territoires de Valenton, Limeil-Brévannes, Villeneuve-Saint-Georges". Mur vivant, n° 39, 1er trimestre 1976 (?), p. 54-62.
Liens web
Conservatrice du patrimoine, Région Île-de-France, service Patrimoines et Inventaire.
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