Dossier collectif IA91000590 | Réalisé par
Blanc Brigitte
Blanc Brigitte

Conservateur du patrimoine, Région Île-de-France, service Patrimoines et Inventaire.

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  • inventaire topographique
maisons, immeubles
Île-de-France > Essonne
Auteur
Copyright
  • (c) Philippe Ayrault, Région Île-de-France
  • (c) ADAGP

Dossier non géolocalisé

Désignation
  • Dénominations
    maison, immeuble
  • Aires d'études
    Athis-Mons
  • Adresse
    • Commune : Athis-Mons
    • Commune : Paray-Vieille-Poste
Historique

La plupart des édifices de l'aire d'étude datent du 19e siècle et surtout du 20e siècle, l'habitat du plateau (quartier d'Athis-Mons et agglomération de Paray-Vieille-Poste) étant postérieur dans sa quasi-totalité à 1900 (et 1921 à Paray) , dates d'ouverture des premiers lotissements. Les édifices dont l'implantation est antérieure au cadastre napoléonien ne sont qu'au nombre de 16.

  • Période(s)
    • Principale : 19e siècle
    • Principale : 20e siècle
Description
  • Toits
  • Murs
    • meulière
    • calcaire
    • moellon
    • pierre de taille
  • Décompte des œuvres
    • repérés 446
    • étudiés 58
Illustrations 137
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Elévations en parpaings du pavillon avec effet de bossage aux angles et à l'encadrement des baies.
Fontaine de style Art déco dans le jardinet de la maison.
Immeuble en meulière comptant 3 étages carrés.
Maison construite par l'architecte Damien, et publiée dans ""L'Habitation pratique"", 1906, p. 19-20.
Puits individuel situé sur la parcelle du pavillon situé au 35, rue de la Mutualité.
Maison d'une seule travée, couverte d'un toit en appentis, sans doute destinée au logement ouvrier.
Plaque de l'entreprise Clôtures Jean Bouysse installée à Savigny-sur-Orge.
Puits dans les jardins familiaux situés à côté de la ferme de Mons (89, rue Robert-Schuman).
Vue d'ensemble de la maison ; les chaînes d'angle et l'encadrement des baies imitent la pierre de taille. Des joints rubannés et mouchetés entourent les moellons de meulière.
Vue de la façade antérieure de la maison, recouverte d'un enduit au plâtre.
Vue de l'escalier intérieur ; il date de la deuxième moitié du 18e siècle. Les barreaux de section carré reposent sur une plate-bande fixée sur le limon.
Vue d'ensemble : l'auvent relevé de la toiture plate est palissé en frisette à la manière des chalets de montagne des années 50.
Vue d'ensemble : un soubassement élevé rachète la différence de niveau entre les rues de la Montagne de Mons et la rue Robert-Schuman.
Vue d'ensemble : une modénature de plâtre et d'enduit anime la façade principale de cette maison de villégiature du coteau ; corniches, bandeaux, encadrements et chaînes d'angle peints en blanc se détachent sur le mur rocaillé.
Vue d'ensemble ; le motif en ciment de la clôture est reproduit en métal à la porte d'entrée.
Vue d'ensemble ; un décor est créé sur l'élévation antérieure par l'utilisation de briques de couleurs différentes.
Vue d'ensemble de la maison composée de deux corps de bâtiments juxtaposés. Chacun porte un décor de céramique (cabochons et personnages dans des niches).
Vue d'ensemble de la maison identique à celle du 22, rue Gabriel-Vinot. Son décor de faux pans-de-bois incurvés s'inspire de l'architecture alsacienne.
Vue d'ensemble de la maison identique à celle du 35, boulevard Marcel-Perdereau. Toit mansardé à auvent débordant et faux pans-de-bois incurvés sont repris de l'architecture alsacienne.
Vue d'ensemble de la maison. La baie principale est surmontée d'un décor de stuc Des afrafes moulurées ornent le linteau des quatre baies.
Vue d'ensemble de la maison. La façade porte un enduit de plâtre gros.
Vue d'ensemble de la maison. Un décor de faux pans-de-bois anime la façade. Deux autres maisons, à proximité, possèdent la même loggia à trois arches surmontée d'une terrasse.
Vue d'ensemble de l'immeuble vraisemblablement surhaussé de deux niveaux dans les années 50. Le rez-de-chaussée et le 1er étage portent un décor de céramique à dominante jaune-orangé.
Vue d'ensemble du pavillon ; un des rares chronogrammes (1926) relevés sur les façades.
Vue d'ensemble du pavillon, dont le mur latéral est tourné vers la rue.
Vue d'ensemble du pavillon. Un perron donne accès au rez-de-chaussée surélevé. Sous le bandeau du rez-de-chaussée, une plaque émaillée porte le nom : L'Aurore.
Vue d'ensemble. La façade porte un décor de revêtements et de sculptures, ainsi que les piliers de la clôture.
Vue d'ensemble. Ses façades sont percées de nombreuses ouvertures. Celle qui est tournée vers le sud est garnie d'un bow-window avec balcon.
Vue du balcon soutenu par deux poteaux en ciment imitant le bois écoté qui enjambent la sente des Billeries, à l'arrière de la maison.
Vue du chemin à la hauteur des 48 et 50, rue Robert-Schuman, bordé de murs en parpaings.
Clôture en ciment armé du type ""Arceau"".
Clôture en ciment armé du type ""Carré"".
Clôture en ciment du type ""Lissages à deux barres"".
Clôture en ciment. Les panneaux ajourés reposent sur un muret en parpaings moulés ; le motif de ces panneaux est repris en métal à la porte d'entrée.
Détail du décor (frise de céramique et bandeau de briques disposées en dents d'engrenage) situé au-dessus des fenêtres.
Détail d'un enduit imitant les moellons de meulière.
Exemple d'utilisation de la brique en table divisant ou reliant les baies, après 1950.
Les moellons de meulière sont disposés en mosaïque.
Maisons (construites sur le même plan) reliées par leurs garages dont le toit forme terrasse.
Panneau publicitaire de la maison Davi, fabricant de clôtures préfabriquées en ciment et fournisseur de nombreux propriétaires à Athis-Mons et Paray.
Pilastres décoratifs aux angles du pavillon.
Plaque en céramique émaillée.
Un toit en dévers couvre cette maison de style ""moderne"".
Vue de la clôture en ciment du type ""Barreaudage"".
Vue de la façade postérieure de la maison de style Restauration. Un enduit de meulière rocaillée recouvre les moellons.
Vue de la façade sur rue ainsi que de la cour commune figurant sur le cadastre napoléonien et desservant les maison situées aux 15-17, rue Robert-Schuman.
Vue d'ensemble : un escalier dont le mur d'échiffre est placé dans le prolongement de la façade donne accès au rez-de-chaussée fortement surélevé.
Vue d'ensemble ; 4 garages occupent le rez-de-chaussée.
Vue d'ensemble ; son large bow-window est surmonté d'une terrasse.
Vue d'ensemble ; un garage occupe le côté droit du rez-de-chaussée, tandis qu'à gauche des pilotis supportent le 1er étage, sous un toit en dévers.
Vue d'ensemble de la maison ; elle porte la signature de l'entrepreneur R. Bouscal (Orly). Une haie vive double la clôture en ciment armé du type 'Arceaux'.
Vue d'ensemble de la maison ; un jeu de briques blanche et rouge souligne les angles et le contour de baies.
Vue d'ensemble de la maison construite en 1955. Les encadrements des baies à ressaut sont caractéristiques de l'après seconde guerre mondiale.
Vue d'ensemble de la maisoN. Elle fait partie des constructions du Val qui ont survécu au bombardement du 18 avril 1944. Une modénature de ciment lissé orne les façades.
Vue d'ensemble de la maison. Elle s'abrite derrière une grille doublée de plaques de tôle.
Vue d'ensemble de la maisonnette. Il s'agit d'un ancien cabanon de bois revêtu ensuite de grillage et d'un enduit ciment.
Vue d'ensemble du cabanon : à droite la cabane initiale en bois recouvert de papier goudronné.
Vue d'ensemble du pavillon ; la brique souligne les angles de la façade et encadre les baies ; décor de faux pans-de-bois sous la demi-croupe.
Vue d'ensemble du pavillon ; le rez-de-chaussée fortement surélevé est accessible par un escalier droit parallèle à la façade.
Vue d'ensemble du pavillon à façade sur mur pignon.
Vue d'ensemble du pavillon.
Vue d'ensemble d'une maison du vieux Mons ; une frise de denticules court sous la corniche.
Vue d'ensemble. Cette maison d'angle a été construite par le même entrepreneur (Ch. Perniceni) que la maison n° 86bis.
Vue du portail d'entrée et bâtiment des communs en bordure de la rue.
Vue perspective de la rue du côté des numéros impairs, bordée par les constructions mitoyennes du vieil Athis.
Plan du lotissement de la Villa Les Bergeries (section n° 9 de la future association syndicale autorisée du Contin) ; dressé par L. Poussin, géomètre-expert à Villeneuve-le-Roi, 17 juillet 1922.
Détail du décor de céramique situé au-dessus de la porte d'entrée.
Documentation

Lien web

Date(s) d'enquête : 2001; Date(s) de rédaction : 2004
(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel
Blanc Brigitte
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Conservateur du patrimoine, Région Île-de-France, service Patrimoines et Inventaire.

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