La maison, postérieure au cadastre napoléonien, était probablement à l'origine une petite maison rurale, comme l'attestent son implantation au bord d'une très grande parcelle et la lucarne rurale qui subsiste à l'arrière. Probablement dans le 4e quart du 19e siècle elle a été transformée en maison de villégiature, ses façades sur rue et latérales ont été unifiées et agrémentées de moulures. Le bâtiment le plus étroit a été agrandi à l'arrière à l'étage par une galerie couverte en bois. Et la maison principale s'est vu ajouter une pièce en saillie qui sert de terrasse au niveau supérieur.