Dossier d’œuvre architecture IA75000051 | Réalisé par
  • étude d'inventaire
résidence d'étudiants dite Résidence André de Gouveia (ex-Maison des étudiants portugais)
Œuvre étudiée

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Cité internationale universitaire de Paris (CIUP)
  • Commune Paris 14e arrondissement
  • Adresse 7 P boulevard Jourdan
  • Dénominations
    cité universitaire
  • Précision dénomination
    résidence d'étudiants
  • Destinations
    architecture scolaire

La création

La Maison du Portugal est née d'une initiative de la Fondation Calouste Gulbenkian. En 1960, son président s'engage en effet à financer la construction d'une résidence à la Cité universitaire de Paris. Il souhaite offrir aux étudiants et chercheurs portugais de bonnes conditions d'accueil et renforcer l'action menée par la Fondation à travers sa politique de bourses d'étude. Conçue par l’architecte José Sommer-Ribeiro, la Maison des étudiants portugais voit le jour en 1967. En 1972, elle est rebaptisée Résidence André de Gouveia, du nom d’un humaniste portugais du XVIe siècle qui fut principal du Collège Sainte-Barbe et recteur de la Sorbonne.

L'acte de donation à l'université de Paris est signé le 6 octobre 1960. Aux termes de cet acte, la Fondation Gulbenkian s’engage à construire une maison de 100 chambres environ, évaluée à 3,5 millions de francs. Après acceptation des plans par la Cité universitaire, les travaux seront entrepris à la diligence des donateurs dès la délivrance du permis de construire, dans un délai de 2 ans. Entre 20 et 30% des étudiants portugais seront répartis dans d'autres maisons et les places vacantes attribuées à des étudiants français ou d'autres nationalités choisis par la Fondation nationale, organe directeur de la Cité. La maison prendra le nom de « Université de Paris - Maison du Portugal – Fondation C. Gulbenkian » et sera administrée par un conseil d'administration de 10 membres : l’ambassadeur du Portugal, la Fondation C. Gulbenkian, le recteur de l'académie de Paris, le président et le délégué général de la Cité universitaire, trois personnalités portugaises proposées par la Fondation Gulbenkian et deux françaises par le CA. Le directeur sera nommé, sur proposition du conseil, par le recteur de l'académie. Ce dernier est autorisé par décret du 30 mars 1961 à accepter la donation.

La Fondation Gulbenkian confie la réalisation du projet à José da França Ribeiro, architecte qui, dès 1956, fait partie de l’équipe chargée de la construction de son siège à Lisbonne. Comme pour tout pavillon étranger construit à la Cité universitaire, le maître d'oeuvre portugais est assisté d’un architecte français, Henri Crépet, qui suit le projet d’exécution.

Selon la notice explicative établie par les architectes en février 1962, la construction est prévue sur un terrain de 2700 m2 – dont 1398 pour le bâtiment proprement dit - situé en bordure de l'avenue de la Porte de Gentilly. La maison doit assurer le logement de « 100 universitaires : 21 jeunes filles, 63 jeunes gens et 16 universitaires mariés ou post-gradués ». Elle comportera : au sous-sol, tous les services liés au fonctionnement de la maison : buanderie, lingerie, vestiaires, garde-meubles, cuisine du personnel, salle de ping-pong, salle des petits déjeuners, garages de voitures et scooters, etc. ; au rez-de-chaussée, les espaces de la vie collective : bibliothèque, salle des fêtes, cafétéria, salle de TSF et de télévision, salle de jeux, ainsi que les bureaux de l'administration et les logements du concierge, de l'économe et du directeur ; au 1er étage, réservé aux jeunes filles, avec « un accès indépendant pour isolement par rapport aux autres étages : 21 chambres avec sanitaires communs, 4 chambres pour post-gradués avec douches privées, réfectoire, office et salon ; aux 2e, 3e et 4e étages, affectés aux jeunes gens, une composition identique à celle du 1er ; au 5e étage partiel : 5 ateliers, et le reste en terrasse libre.

Sollicité l6 février 1962, le permis de construire est refusé le 5 septembre suivant par la préfecture de la Seine. L’emplacement choisi est en effet situé dans la marge d’isolement et de verdure non aedificandi prévue au droit du boulevard périphérique et sur une des parcelles zonières faisant l’objet d’un projet d’échanges de terrain entre la ville de Paris et l’Etat. D’autre part, l’engagement pris par la Fondation nationale, l’année précédente, à l’occasion de la mise au point des études sur le pavillon du Liban, n’a pas été respecté : cette construction devait être la dernière de celles qui pourraient être autorisées à proximité de la voie rapide. Cependant, compte tenu des répercussions diplomatiques d’un refus, le préfet accepte que le problème soit à nouveau considéré, « sous réserve que le bâtiment soit irrévocablement le dernier de la série des pavillons construits dans cette zone ». Ce nouvel examen est de plus subordonné à une refonte notable du projet : le bâtiment devra être d’un volume beaucoup moins élevé de façon à pouvoir être dissimulé au maximum dans la verdure, et son implantation ne sera pas à moins de 35 mètres de la limite nord du boulevard.

Un nouveau dispositif du plan masse est mis au point, suivant ces directives, au cours d’une conférence réunissant les architectes et la direction de l’urbanisme, le 25 janvier 1963, à la Cité universitaire. Le nouvel avant-projet, daté du 28 février 1963, conduit à la création de deux bâtiments limités à 4 étages respectant une marge d’isolement de 35 m en bordure du boulevard périphérique. Les deux volumes – le corps principal et celui des étudiants - sont posés sur un socle commun avec communication interne au moyen d’un escalier. Les difficultés étant désormais aplanies, le permis de construire est accordé par arrêté du 1er octobre 1964.

96 résidents sont prévus (21 jeunes filles, 60 jeunes gens et 15 universitaires mariés ou post-gradués). Dans le corps principal, le rez-de-chaussée comprend un vestibule qui permet un accès facile aux « living-rooms » des étudiants, à la direction et au secrétariat ainsi qu’à la cafétéria. La conciergerie prend place dans ce vestibule ainsi que le départ de l’escalier qui dessert les logements des jeunes gens, et l’escalier menant seulement aux logements des jeunes filles et des universitaires mariés. A ce niveau, se trouvent aussi, outre un grand salon de fêtes et de réunions, trois salles (bibliothèque, salles de jeux et de télévision) qui ouvrent sur une terrasse et communiquent les unes avec les autres, « afin de pouvoir servir dans des conditions spéciales ». Le sous-sol, qui profite de l’inclinaison du terrain, est divisé en deux zones séparées : les garages (bicyclettes et voitures) et les installations d’utilisation commune pour les étudiants : salle des petits déjeuners, salle des jeux bruyants et atelier. Chaque étage 1, 2 et 3 doit loger 7 jeunes filles et 5 post-gradués ; les chambres des étudiantes sont desservies par un bloc commun de 3 installations sanitaires, 4 lavabos, 2 douches et une salle de bains, celles des post-gradués ont des installations privées. Un office avec petit réfectoire ainsi qu’une petite pièce de réunions ou travail sont également prévus. Dans les combles, 10 ateliers sont réservés à 5 étudiants des beaux-arts et 5 musiciens.

Dans le bâtiment des étudiants, le rez-de-chaussée contient, du côté sud, les trois logements destinés au directeur, à l’économe et au concierge. Au sous-sol se trouvent les installations techniques et de chauffage, la buanderie, la cuisine et la salle à manger du personnel, les dépôts de meubles, etc. Les étages 1, 2, 3 et 4 logent chacun 15 jeunes gens et disposent d’un office avec réfectoire.

Quant au système constructif, « le point de départ sera une structure en béton armé... Le finissage et toute la construction seront fonctionnels et économiques, de façon à assurer les meilleures conditions de maintien et d'exploitation du bâtiment... Les matériaux de construction pour le finissage de la maison du Portugal seront importés du Portugal... Cet avantage permettra la construction d'un bâtiment typique dans sa composition architectonique. Pour cette raison on prévoit aussi l'importation de matériaux de décoration et d'ameublement ».

Un jardin, aux tracés très simples, est prévu sur le terrain qui entoure le bâtiment. « Les arbres seront groupés de façon à encadrer le bâtiment et à l'intégrer dans l'ensemble des volumes existants et dans le paysage... ». Autour de l’immeuble, dans la zone réservée au passage des piétons, le terrain sera revêtu d’une mosaïque portugaise et de pavés de basalte, pavement encerclé à l’extérieur par un petit mur de pierre, recouvert de verdure et limitant les groupes plantés et les pelouses. La liaison extérieure des deux corps de bâtiment est faite au moyen d’un bassin comportant des plantes, qui « donnera une plus grande aménité au local ». Les arbres et buissons seront « choisis parmi les espèces caractéristiques de la région de Paris, sans recherche de quelque exotisme contraire à l’écologie du lieu. Ce sera seulement là où la protection du bâtiment et de la végétation le permettent qu’on a prévu l’ornementation avec des plantes caractéristiquement portugaises ». Les plantations comprennent 8 arbres à haute tige (1 platanus acerifolia, 3 quercus robur, 1 tilia platyphyllos, 1 betula alba, 1 prunus serrulata et 1 fagus sylvatica) et 60 arbustes. L’exotisme sera obtenu surtout par « les plantes aquatiques et marginales du bassin », et « la note de couleur sera fournie par les herbacées vivaces qui encerclent les pelouses ». L'étude a bénéficié de la collaboration de l'architecte paysagiste Gonçalo Ribeiro Telles, auteur des jardins de la Fondation Gulbenkian à Lisbonne.

Selon une autre notice explicative datée décembre 1963, le nombre des étudiants passe à 70 (au lieu de 60) et le 4e étage, outre 15 chambres de jeunes gens, contient désormais les ateliers de peinture (au nombre de 5) et de musique (4).

La première pierre est posée dès le 6 octobre 1963 par le président de la Fondation Calouste Gulbenkian, José de Azedero Perdigao, en présence de Louis Joxe, ministre de l'Education nationale, à l'occasion d'une visite en France du ministre portugais des Affaires étrangères, Marcello Mathias. Le marché de construction est attribué le 27 août 1965 aux établissements Sainrapt et Brice. Le chantier est exécuté sous la direction du service de projets et travaux de la Fondation, avec l’assistance d’Henri Crépet, par des ouvriers et techniciens français. Le procès-verbal de réception provisoire est établi le 16 novembre 1967, après une visite générale de l'architecte Crépet. La maison est inaugurée le 20 novembre 1967. Elle compte finalement 110 chambres dont 15 réservées à des résidents mariés.

La rénovation du bâtiment en 2003

En accord avec la Fondation Gulbenkian, et à l'issue d'une consultation d'architectes, la CIUP confie en 2003 la réhabilitation générale du bâtiment à Vincent Parreira et Antonio Virga. La Résidence, qui rouvre ses portes en 2007, propose désormais 169 logements étudiants, dont 150 chambres simples et 19 chambres doubles, agrandies par l'annexion du bloc d’entrée et dotées d’une salle de bains individuelle. Cinq grandes cuisines et quatre petites (une grande cuisine au rez-de-chaussée, une petite et une grande par étage) sont créées (à l’origine chaque niveau n'en possédait qu’une). Tout en améliorant le confort intérieur, les architectes revisitent les façades par l’application d’une peinture gris foncé, le prolongement du hall d'entrée par une grande verrière et l'installation d'une enveloppe de tôle perforée en partie basse. En 2015-2016, le théâtre est rénové par l’architecte Da Ponte grâce à un mécénat luso-français (il porte désormais le nom de salle Pessoa) et une nouvelle bibliothèque de 200 m2 (bibliothèque Vieira da Silva) est créée (en remplacement de l'ancienne salle de lecture intégrée à l'appartement du directeur). Ces travaux viennent achever la rénovation complète de la maison.

  • Période(s)
    • Principale : 3e quart 20e siècle , daté par source
  • Dates
    • 1967, daté par source
  • Auteur(s)
    • Auteur :
      Sommer Ribeiro José
      Sommer Ribeiro José

      Né le 26 juin 1924, José Sommer Ribeiro est diplômé de l'Ecole des Beaux Arts de Lisbonne, où il entre en 1942. Il fait partie dès 1956 de l'équipe d'architectes chargée de la construction du siège de la Fondation Gulbenkian à Lisbonne, ainsi que de son musée. Nommé directeur du service des expositions et de la muséographie en 1969, il prend en 1983 la direction du Centre d'art moderne de la Fondation (après l'intégration du service des expositions dans ce musée). Il occupe cette fonction jusqu'en 1994. Il devient alors le premier directeur de la Fondation Arpad Szenes-Vieira da Silva.

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Crépet Henri
      Crépet Henri

      Architecte d'opération, correspondant à Paris de l'architecte portugais José Sommer Ribeiro

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      architecte attribution par source
    • Auteur :
      Ribeiro Telles Gonçalo
      Ribeiro Telles Gonçalo

      Architecte paysagiste et homme politique, Gonçalo Ribeiro Telles est une figure marquante de l'aménagement du territoire au Portugal. Créateur, avec António Viana Barreto, des jardins de la Fondation Calouste-Gulbenkian puis du parc Eduardo VII, il coordonne pour la mairie de Lisbonne, de 1998 à 2002, l'équipe technique responsable d'un grand nombre de projets relatifs aux structures vertes, dans la capitale et sa métropole.

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      architecte paysagiste attribution par source

Le terrain, près de l'angle sud-est de la Cité, est délimité par l'avenue de la Porte de Gentilly et le boulevard périphérique. En déterminant l'emplacement définitif, les architectes ont pris en considération les conditions imposées par les services d'urbanisme de la ville de Paris. Le bâtiment a dû aussi s'adapter à la configuration de la parcelle, à sa forme allongée ainsi qu'à sa topographie, en déclivité accentuée. Compte tenu de la nature du sol (ancienne carrière à ciel ouvert remblayée sur 14 m de hauteur), des fondations spéciales ont été nécessaires pour asseoir la construction sur le bon sol.

Le bâtiment se compose de deux corps qui s’articulent autour d’un noyau commun (rez-de-jardin et rez-de-chaussée) et s'élève sur 4 étages. Le niveau bas regroupe dans un socle débordant de l'emprise des bâtiments supérieurs un théâtre (90 places), une sale polyvalente attenante et des services communs - se déployant également au rez-de-jardin partiellement enterré du fait de la pente du terrain. L'ossature générale est en pan de béton armé, avec remplissage en maçonnerie et ravalement à l'origine blanc et ton pierre. Son esthétique fonctionnelle se rallie aux canons courants de l'architecture moderne : ordonnance construite sur les lignes horizontales de fenêtres et de bandeaux parallèles, toit-terrasse (sauf sur l'étage d'attique, en retrait par rapport à l'élévation inférieure). La seule couleur locale est apportée par le pavement extérieur qui reproduit, en calcaire blanc et basalte noir, le motif des calçadas, emblématiques trottoirs du Portugal.

Bien que menée dans un esprit résolument contemporain, la rénovation de 2003 offre un exemple européen de retour à l'identité (observé dans d'autres maisons "modernes" comme celles du Maroc ou de l'Inde). Pour évoquer le langage baroque des palais portugais et théâtraliser la volée d'escalier qui mène au nouveau hall d'accueil, les architectes ont enveloppé le bâtiment, en partie basse, d'un moucharabieh d'aluminium perforé, de teinte dorée, qui reprend le motif de la calçada, employé également sur les baies du rez-de-chaussée. La même ligne de design est reprise dans les luminaires, en forme de sphère aplatie, du hall vitré (suspension No fruit, créée par le designer Anthony Duffeleer pour la marque Dark). Ce nouveau hall d'accueil, entièrement reconstruit, se projette désormais en porte-à-faux jusqu'au nu de la résille métallique. Sur les façades, l’application d’un enduit et d’une peinture grise uniforme gomme et efface les profils et modénatures, notamment des fenêtres carrées à encadrement saillant.

Pour augmenter le nombre de chambres (170) et doter chacune de sa propre salle d'eau, plusieurs logements de fonction ainsi que les sanitaires communs ont été supprimés. Les architectes Parreira et Virga ont joué des contrastes et couleurs pour différencier espace de vie et de circulations, parties jour et parties nuit. Le hall (200 m2) a été restructuré et ouvert vers l'extérieur par de grands vitrages (panneaux de verre suspendus). Les accès aux différentes fonctions, logements et théâtre, sont caractérisés par des alcôves d'un rouge soutenu. Au centre de l'espace, une boîte en verre teinté réfléchissant abrite l'accueil et le service administratif. Les murs des couloirs sont revêtus de papier gaufré à motifs décoratifs, peint de couleur sombre comme le noir, le rouge, le marron, le lie de vin. La couleur des portes personnalise les chambres. Celles-ci sont entièrement blanches mais comportent un volume coloré (intégrant un placard et la salle d'eau) de la teinte de la porte. Elles mesurent désormais 11 m2 et 20 m2 pour les chambres doubles. Les salles d'eau sont entièrement revêtues de pâte de verre, blanche pour l'aile sud et grise pour l'aile nord.

Au rez-de-chaussée, contre le mur du fond de la salle polyvalente, a été apposé le panneau de marbre gravé réalisé pour la Fondation par le peintre Rolando Sa Nogueira, à l'origine placé dans le hall d'entrée. De l'ancienne salle de réunion subsistent des fauteuils à structure de bois (aujourd'hui dans le bureau du directeur et le foyer des étudiants).

  • Murs
    • béton béton armé enduit
  • Toits
    béton en couverture
  • Étages
    sous-sol, rez-de-chaussée, 4 étages carrés

Documents d'archives

  • 20090013/1092 : création, origines, 1960-1967.

    Archives nationales, Pierrefitte-sur-Seine
  • 20090013/1093 : construction, 1961-1964.

    Archives nationales, Pierrefitte-sur-Seine
  • 20090013/1094 : gestion, finances, 1960-1997.

    Archives nationales, Pierrefitte-sur-Seine
  • 20090014/109 : construction, 1963-1970.

    Archives nationales, Pierrefitte-sur-Seine
  • 20090014/110 : plans d'origine, 1963-1967.

    Archives nationales, Pierrefitte-sur-Seine
  • 20090014/112 : administration générale, 1960-1997.

    Archives nationales, Pierrefitte-sur-Seine
  • 20090014/114 : fonds iconographique, 1992-1993.

    Archives nationales, Pierrefitte-sur-Seine
  • 1069 W 318 : permis de construire, 1961-1963.

    Archives de Paris

Bibliographie

  • Blanc, Brigitte, La Cité internationale universitaire de Paris, de la cité-jardin à la cité-monde, Lieux Dits, 2017, 390 p.

    P.273-275.
  • Lemoine, Bertrand, La Cité internationale universitaire de Paris, Hervas,1990, 120 p.

    P.78.
  • Tarsot-Gillery, Sylviane, (dir) et alii, La Cité internationale universitaire de Paris. Architectures paysagées, L'Oeil d'or, 2010, 63 p.

    P.47.

Périodiques

  • Thiénot, Amélie, "Etudiants en chambres. Restructuration de la Maison du Portugal à la Cité universitaire de Paris", AMC, n° 177, mars 2008, p. 94-96.

Date(s) d'enquête : 2012; Date(s) de rédaction : 2017
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