Dossier d’œuvre architecture IA94050072 | Réalisé par
Potel Caroline (Rédacteur)
Potel Caroline

Stagiaire au service Patrimoines et inventaire de la Région Île-de-France d'avril à septembre 2023 ; chercheur en charge du patrimoine industriel de janvier à juillet 2024.

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Pierrot Nicolas (Enquêteur)
Pierrot Nicolas

Conservateur en chef du patrimoine, en charge du patrimoine industriel, Région Île-de-France, service Patrimoines et Inventaire.

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  • patrimoine industriel
Usine de produits chimiques Poulenc Frères, puis usine d'engrais de la Société Française du Lysol, puis usine de chaudronnerie et usine d'articles en matière plastique (usine d'enceintes de confinement) Ateliers de Technochimie
Œuvre monographiée
Auteur
Copyright
  • (c) Stéphane Asseline, Région Île-de-France

Dossier non géolocalisé

Localisation
  • Aire d'étude et canton Ivry-sur-Seine
  • Commune Ivry-sur-Seine
  • Adresse 4 rue du Colombier
  • Cadastre 2022 AL 135
  • Dénominations
    usine de produits chimiques, usine d'engrais, usine de chaudronnerie, usine d'articles en matière plastique
  • Précision dénomination
    usine d'enceintes de confinement
  • Appellations
    Poulenc Frères (1898-1912), puis Société Française du Lysol (1912-1950), puis Ateliers de Technochimie (1950 à nos jours)
  • Parties constituantes non étudiées
    entrepôt industriel, atelier de fabrication, magasin industriel, bâtiment administratif d'entreprise, réfectoire, garage, logement patronal, cour

En février 2023, Franca Malservisi, architecte au CAUE 94, prévenue par Marc Lafagne, architecte en charge de la reconversion des Ateliers de Technochimie, alerte Stéphane Asseline, photographe à l’Inventaire général du patrimoine culturel de la Région Île-de-France, que Michel Planaguma, gérant de la société, est sur le point de cesser son activité. Il s’agit de l’une des dernières entreprises industrielles implantée en cœur de ville, à Ivry-sur-Seine. C’est donc une rencontre privilégiée avec Michel Planaguma, soucieux de préserver la mémoire de ce site industriel dont il a hérité de son oncle, réfugié catalan, qui a permis la réalisation de ce dossier. L’enquête d’inventaire (étude et photographies de l’architecture et des gestes du travail) s’est ainsi enrichie de l’exploitation d’une partie des archives privées de l’entreprise, et d’un témoignage direct (retranscrit ci-dessous en annexe), sources essentielles pour écrire l’histoire des lieux et des savoir-faire qu’ils abritent.

Les établissements Poulenc-Frères (1898-1912)

Possédant déjà à Ivry-Port (boulevard Sadi-Carnot)[1] une usine installée en 1862, l’entreprise Poulenc Frères[2], fabricant de produits pharmaceutiques et photographiques, décide d’installer en 1898, sur un terrain vierge situé au 33, rue Parmentier (actuellement rue Marat)[3], une seconde usine dont on distingue l’emprise sur l’Atlas d’Ivry-sur-Seine dressé en 1900[4]. Cette usine, mal documentée, abritait notamment un laboratoire[5] ainsi que des services administratifs[6]. N’en subsiste aujourd’hui, au cœur de la parcelle étudiée, que l’atelier central désigné sous le nom de « grande halle » (actuel bâtiment C) dont la fonction initiale n’est pas connue. L’analyse formelle des colonnes de fonte, installées au sous-sol pour supporter le plancher du rez-de-chaussée, permet de dater cette halle du dernier tiers du XIXe siècle. Quoique très repris au cours des années 1950, l’actuel bâtiment implanté sur la rue (bâtiment A) et le pavillon d’habitation (bâtiment B), dont les emprises figurent sur le plan de 1900, semblent dater de la même période. Le bâtiment A servait probablement d'écurie[7].

La société française du Lysol (1912-1950)

Entre 1908 et 1912, Poulenc Frères regroupe ses deux usines à Vitry-sur-Seine, quai du Port à l’Anglais[8]. En 1912, l’usine de la rue Parmentier est vendue à la société française du Lysol[9], fabricant de désinfectants et autres produits chimiques, qui finit par y installer son siège social dans les années 1940[10]. Elle compte huit ouvriers en 1935[11]. Le bâtiment « aux trois sheds » (bâtiment D), situé au nord-est de la parcelle, semble dater de cette période[12]. Lors de son rehaussement d’un étage au début des années 1960, ses tuiles ont pu être identifiées comme provenant de la tuilerie de Choisy-le-Roi et datées approximativement de 1900[13]. La société française du Lysol y poursuit son activité de 1969 à 1980 en tant que locataire[14], après le rachat de ce bâtiment par les Ateliers de Technochimie (voir ci-dessous). On ignore si l’immeuble situé à l’angle de la rue du Colombier et de la rue Marat, attesté en 1900 sur l’Atlas d’Ivry-sur-Seine, appartenait à la société Poulenc Frères ; il fut en revanche occupé par le personnel de la Société du Lysol[15].

Les Ateliers de Technochimie (1950 à nos jours)

En 1950, la société française du Lysol loue le tiers nord-est de sa propriété aux Ateliers de Technochimie[16]. Cette société avait été fondée la même année par Antoni Planaguma i Gelada (Olot, 1909 – Paris, 1989), ingénieur en mécanique. Avec son frère et un groupe d’amis catalans, résistants antifranquistes et républicains, ils s’étaient réfugiés en France en 1939 et avaient décidé, après quelques années, d’y exercer leur activité de chaudronnerie métallique.

Les Ateliers de Technochimie fabriquent dans un premier temps du matériel pour la société Techno Chimie SA, constructeurs d’installations de fabrication intensive d’acide sulfurique, d’où le choix de leur raison sociale. Ils produisent alors principalement des articles de petite métallurgie : pulvérisateurs en acier inoxydable et en plomb pour les installations de fabrication d’acide sulfurique ; ventilateurs métalliques ; agitateurs et mélangeurs de produits chimiques[17]. La chaudronnerie plastique fait partie intégrante de ces productions mais reste secondaire.

Ce n’est qu’à partir du dépôt de bilan de Techno Chimie SA, en 1956, que les Ateliers de Technochimie, contraints de réorienter leur production, se spécialisent dans le travail des matières plastiques afin de produire des enceintes de confinement destinées à la recherche nucléaire (comme le proposait déjà Techno Chimie SA). Le produit final est réalisé par la découpe et le thermoformage de feuilles de plastique, principalement en PVC. Ces enceintes de confinement, ou « boîtes à gants », sont utilisées en laboratoire de recherche pour manipuler des produits dangereux, en isolant ces derniers dans un environnement neutre, le PVC constituant un matériau très résistant aux produits chimiques agressifs.

Entre 1957 et 1959, l’entreprise acquiert les bâtiments A, B et C[18]. Le bâtiment B réunit, de gauche à droite, une portion d’atelier héritée de la période Poulenc Frères, les bureaux construits durant la période du Lysol, et le pavillon d’habitation également attesté durant la période Poulenc Frères. L’ensemble est surélevé d’un étage et réuni derrière une même façade de 1959 à 1962. En 1969, les Ateliers de Technochimie acquièrent enfin le bâtiment « aux trois sheds » (bâtiment D), désormais loué à la société française du Lysol, jusqu’en 1980[19]. À cette date, les Ateliers de Technochimie convertissent cet atelier en entrepôt puis, en 1995, en atelier de thermoformage après la fermeture de leur succursale normande.

L’activité se déploie alors sur l’ensemble du site, au sous-sol et au rez-de-chaussée. C’est cet état que décrit ici Michel Planaguma, gérant de l’entreprise à partir de 1986 (voir la description, les légendes des illustrations et la retranscription du témoignage ci-dessous).

Les effectifs sont passés d’une cinquantaine à la fin des années 1960 à une quinzaine à la fin des années 1980. Lors de l’enquête de 2023, la cessation d’activité s’annonçait imminente en raison du départ à la retraite du gérant, qui n’avait désormais plus qu’un ouvrier à ses côtés, tandis que son épouse gérait la comptabilité. La reprise de l’activité n’est pas envisagée, en raison de la difficulté de recrutement due à la spécificité du métier. Le propriétaire entend toutefois maintenir la vie sur le site, par la reconversion du bâtiment sur rue en logements étudiants[20], et par l’ouverture aux compagnies de théâtres de la ville d’Ivry-sur-Seine qui organisent ici des représentations au milieu des machines.

[1] BASTIÉ Jean, Travaux de l’Institut de géographie de Paris réalisés de 1945 à 1962 inclus et relatifs à la géographie urbaine du Bassin parisien, s.l., 1962, p. 138, issu de : AM Ivry-sur-Seine, fichier des établissements industriels et commerciaux installés dans la commune entre 1830 et 1940.

[2] Anciennement appelée maison Poulenc et Wittmann, devenue société Poulenc Frères en 1881, puis Etablissements Poulenc Frères en 1900.

[3] BOURNON Fernand (dir.), État des communes à la fin du XIXe siècle, Ivry-sur-Seine, 1904, p. 127.

[4] AD 94, Atlas d'Ivry-sur-Seine, Service des Ponts et Chaussées du Département, 1900.

[5] AD 94, 11 J 1496, avis d’enquête de commodo et incommodo relatif à l’usine POULENC Frères, 28 juillet 1899.

[6] BOURNON Fernand (dir.), État des communes à la fin du XIXe siècle, Ivry-sur-Seine, 1904, p. 127.

[7] Entretien avec Michel Planaguma le 3 avril 2023 (voir retranscription en annexe).

[8] DAUMAS Maurice (dir.), Évolution de la géographie industrielle de Paris et sa proche banlieue au XIXe siècle, Conservatoire national des arts et métiers, 1976, p. 469, issu de : AM Ivry-sur-Seine, fichier des établissements industriels et commerciaux installés dans la commune entre 1830 et 1940.

[9] AM Ivry-sur-Seine, 144 W 31, courrier de l’administrateur délégué de la société française du Lysol au maire d’Ivry-sur-Seine, demandant la régularisation de la situation de l’usine au titre des établissements classés, 25 février 1935.

[10] DIDOT (édit.), Annuaires du commerce « Bottins », issu de : AM Ivry-sur-Seine, fichier des établissements industriels et commerciaux installés dans la commune entre 1830 et 1940.

[11] Ibid.

[12] Voir les photographies aériennes verticales de l'IGN, datées du 11 juin 1921. https://remonterletemps.ign.fr/.

[13] Entretien avec Michel Planaguma le 3 avril 2023 (voir retranscription en annexe).

[14] « Historique ateliers de Technochimie », 27 janvier 2022, archives des Ateliers de Technochimie.

[15] Ibid.

[16] AM Ivry-sur-Seine, Dossier « 750 W 10 », chemise « Immeuble : 65, rue Marat – Division de Propriété rue du Colombier. Société Française du Lysol. 1957 ».

[17] Voir ci-dessous, dans le corpus iconographique, les reproductions des archives des Ateliers de Technochimie.

[18] AM Ivry-sur-Seine, 750 W 10, « Division de propriété, rue du Colombier », 1957.

[19] « Historique ateliers de Technochimie », 27 janvier 2022, archives des Ateliers de Technochimie.

[20] Marc Lafagne, architecte DPLG, « Transformation d’un bâtiment d’activités désaffecté en logements étudiants, 4 rue du Colombier, 94200 Ivry-sur-Seine, plan de masse et des toitures, projet, 1/200 », 5 mars 2020, archives Ateliers de Technochimie (reproduit ci-dessous, ill. n° 2).

  • Période(s)
    • Principale : 2e moitié 19e siècle, 1er quart 20e siècle, 3e quart 20e siècle , daté par tradition orale, daté par source
  • Dates
    • 1898, daté par source
    • 1909, daté par tradition orale
    • 1969, daté par tradition orale

Le bâtiment A (voir le plan de référence ci-dessous, ill. 2) ferme la cour au sud-est. Son pignon ouest, très visible depuis la rue du Colombier, porte la raison sociale de l’entreprise, dans une typographie des années 1990 qui reprend celle des années 1960[1]. Ce bâtiment de plan rectangulaire allongé est construit en moellons de pierre calcaire – l’enduit attesté à l’époque du Lysol a été supprimé dans les années 1960. Son étage carré est surmonté d’une charpente en bois et coiffé d’un toit à longs pans. Ce bâtiment a probablement été construit, on l’a vu, par Poulenc Frères à la fin du XIXe siècle. Il a fait l’objet d’une reconversion récente : en 2021, les espaces de stockage du rez-de-chaussée, le réfectoire et les vestiaires du premier étage ont fait place à des logements d’étudiants[2].

Au nord, le fond de la parcelle est occupé par trois bâtiments (ou ensemble de bâtiments) accolés : bâtiment B (bureaux et logements), puis le bâtiment C (« grande halle »), et à l’arrière le bâtiment D (« atelier aux trois sheds »).

Le « bâtiment B », réunissant bureaux et logements, est le fruit de la transformation, de 1959 à 1962, de trois bâtiments antérieurs (portion d’atelier, bureaux du Lysol, pavillon d’habitation), surélevés et réunis derrière une même façade. Il se distingue par son parement de briques rouges caractéristique des années 1950, contemporain du portail et du mur de clôture fermant la propriété sur la rue du Colombier, de même facture. À l’intérieur, quelques cloisons ont bénéficié d’un soin particulier, tout comme certains éléments de mobilier, le tout en PVC, matière de prédilection de la société. Le sous-sol du bâtiment, couvrant 200 m², abrite l’atelier de mécanique générale (usinage).

La « grande halle » (bâtiment C) repose sur un sous-sol dont les colonnes de fonte, couronnées de chapiteaux, datent probablement de la fin du XIXe siècle. Elle est en maçonnerie de moellons calcaires – complétée postérieurement de briques ou de parpaings – et coiffée d’une charpente en bois apparente dont les poutres ont été travaillées à la main. Le sous-sol (300 m²) est occupé par l’atelier de chaudronnerie métallique, un espace de stockage des matières premières, ainsi que le magasin d’accessoires et de pièces détachées. Au rez-de-chaussée (380 m²) se déploie, sous la charpente en bois apparente, l’atelier de chaudronnerie plastique, qui mobilise des machines à bois.

Enfin, en fond de parcelle, le bâtiment « aux trois sheds » (bâtiment D) présente une ossature en bois remplie de briques creuses, surmontée d’une charpente en bois apparente. Pour le rehaussement du bâtiment effectué dans les années 1960, les briques creuses ont été privilégiées dans un souci d’harmonisation. Le bâtiment abrite l’atelier de thermoformage ainsi qu’un espace de stockage des moules de fabrications. Les fours électriques et les presses (mécaniques ou électriques) de thermoformage ont été conçus sur place par les employés des Ateliers de Technochimie, afin de satisfaire aux besoins spécifiques du travail de la matière plastique. Les fours, de petite taille, peuvent chauffer jusqu’à 200 degrés, sachant qu’une feuille de PVC ramollit à 130°C, et exige 3 minutes de chauffe par millimètre[3].

[1] Cette description est issue de la confrontation des observations de terrain avec les informations recueillies lors de lu témoignage de Michel Planaguma le 3 avril 2023 (voir retranscription en annexe).

[2] Marc Lafagne, architecte, source citée note 19.

[3] Entretien avec Michel Planaguma le 3 avril 2023 (voir retranscription en annexe).

  • Murs
    • calcaire moellon
    • bois pan de bois enduit partiel
  • Toits
    tuile mécanique
  • Étages
    2 étages carrés
  • Couvrements
    • charpente en bois apparente
  • Couvertures
    • terrasse
    • shed
    • toit à longs pans
  • Énergies
    • énergie électrique
  • Statut de la propriété
    propriété privée
  • Intérêt de l'œuvre
    à signaler

Documents d'archives

  • Témoignage de M. Michel Planaguma recueilli le le 3 avril 2023 par Nicolas Pierrot et Caroline Potel.

  • Archives de la société Ateliers de Technochimie, consultées sur place les 3 avril et 8 juin 2023.

    Collection particulière
  • Atlas d'Ivry-sur-Seine, Service des Ponts et Chaussées du Département, 1900.

    Archives départementales du Val-de-Marne, Créteil
  • Matrices cadastrales d'Ivry-sur-Seine.

    Archives départementales du Val-de-Marne, Créteil : 3P 301, 310, voir dépouillements en annexe.
  • Avis d’enquête de commodo et incommodo relatif à l’usine POULENC Frères, 28 juillet 1899.

    Archives départementales du Val-de-Marne, Créteil : 11 J 1496, voir dépouillements en annexe.
  • Fichier des établissements industriels et commerciaux installés dans la commune d'Ivry-sur-Seine entre 1830 et 1940 : références documentaires pour les Établissements Poulenc Frères et la Société Française du Lysol.

    Archives municipales d'Ivry-sur-Seine : voir dépouillement en annexe.
  • Plans topographiques d'Ivry-sur-Seine, 1922 (10 Fi 45), 1930 (10 Fi 46), 1935 (10 Fi 23), 1946 (10 Fi 51) et 1958 (10 Fi 57).

    Archives municipales d'Ivry-sur-Seine : Série Fi, voir dépouillements en annexe.
  • Planches cadastrales d'Ivry-sur-Seine, 1945, 1960, 1971, 1979.

    Archives municipales d'Ivry-sur-Seine : Cadastre, Section AL, voir dépouillements en annexe.
  • Contribution des patentes, Ivry-sur-Seine.

    Archives municipales d'Ivry-sur-Seine : Série G, voir dépouillements en annexe.
  • Dossier des établissement classés, courrier de l’administrateur délégué de la société française du Lysol au maire d’Ivry-sur-Seine, demandant la régularisation de la situation de l’usine au titre des établissements classés, 25 février 1935.

    Archives municipales d'Ivry-sur-Seine : 144 W 31, voir dépouillements en annexe.
  • Dossiers des établissements classés, rue du Colombier.

    Archives municipales d'Ivry-sur-Seine : 750 W 10, voir dépouillements en annexe.

Bibliographie

  • BOURNON Fernand (dir.), État des communes à la fin du XIXe siècle, Ivry-sur-Seine, 1904, 171 p.

  • CAYEZ Pierre, Rhône-Poulenc. 1895-1975. Contribution à l’étude d’un groupe industriel, Ed. Armand Colin, Coll. « Histoire de l’Entreprise », 1988, 343 p.

  • CINQUALBRE Olivier (réd.), Architectures d'usines en Val-de-Marne : 1822-1939, Ed. Lieux dits, Coll. « Cahiers du patrimoine », n° 12, 1988, 143 p.

Annexes

  • Témoignage de M. Michel Planaguma, gérant de la société, recueilli le 3 avril 2023 par Caroline Potel et Nicolas Pierrot
  • Dépouillement d'archives : dossier IA94050072
Date(s) d'enquête : 2023; Date(s) de rédaction : 2023
(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel
Potel Caroline
Potel Caroline

Stagiaire au service Patrimoines et inventaire de la Région Île-de-France d'avril à septembre 2023 ; chercheur en charge du patrimoine industriel de janvier à juillet 2024.

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Pierrot Nicolas
Pierrot Nicolas

Conservateur en chef du patrimoine, en charge du patrimoine industriel, Région Île-de-France, service Patrimoines et Inventaire.

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