Dossier collectif IA95000425 | Réalisé par
Förstel Judith (Contributeur)
Förstel Judith

Conservateur du patrimoine, Région Île-de-France, service Patrimoines et Inventaire.

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Ausseur-Dolléans Chantal (Contributeur)
Ausseur-Dolléans Chantal

Architecte-urbaniste au CAUE du Val d'Oise.

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  • inventaire topographique
L'habitat d'Ecouen
Auteur
Copyright
  • (c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel

Dossier non géolocalisé

  • Dénominations
    maison, immeuble
  • Aires d'études
    Ecouen
  • Adresse
    • Commune : Écouen
      Adresse :

Comme la plupart des communes avoisinantes, Ecouen conserve un habitat traditionnel hérité du bourg ancien, qui s’est développé au pied du château et le long de l’ancienne route de Paris. Cet habitat traditionnel, bâti en moellons et enduit au plâtre, a été complété, à partir de l’arrivée du chemin de fer en 1877, par des pavillons caractéristiques de toute la banlieue parisienne.

Ecouen constitue à l’origine un bourg rural et son habitat est comparable à celui des autres villages de la plaine de France. En 1846, il y avait à Ecouen vingt-cinq cultivateurs dont les fermes étaient réparties dans plusieurs rues du bourg, avec une forte densité rue de la Grande Fontaine où étaient implantées neuf fermes et rue Georges Joyeux, où cinq fermes dont une bergerie (située au n°14 dans un ensemble de bâtiments en grande partie conservés, aujourd'hui utilisés par un garage), cohabitaient avec des maisons commerçantes et bourgeoises. Au moment de l’enquête, il ne restait plus à Écouen qu'une ferme en activité à l'angle des rues de la Grande Fontaine et Jean Hérard.

Le nombre de bâtiments agricoles et le caractère rural ou bourgeois du bâtiment d'habitation du cultivateur étaient fonction de la taille de l'exploitation qui pouvait être très importante, comme cette ferme située Grande rue (actuelle rue de la Grande Fontaine), donnée à louer en 1750 pour neuf années : « Cette ferme consiste en un corps de bâtiment, écuries, granges, étables, bergerie et colombier; il y a un jardin potager derrière, clos de mur; le tout situé à Ecouen, grande rue du dit-lieu; plus quatre-vingt-huit arpents de terres labourables, prés plantés d'arbres fruitiers en plusieurs pièces, un quartier de vignes sur le terroir de Villiers-le- Bel; plus, deux maisons particulières avec leurs dépendances; plus, dix-huit livres de rente en trois parties». La plupart des exploitations étaient toutefois de taille beaucoup plus modeste, comme la  ferme située n° 10 rue Georges Joyeux, qui a conservé sa porte charretière; lors de sa vente en 1862, elle comportait une grange d'une travée et un cellier surmonté d'un grenier, couverts en paille, donnant sur la rue, une cour à la suite qui abritait le corps de bâtiment principal d'habitation de trois travées couvert en tuile et une étable, et une petite cour à l'arrière avec cellier et tambour de four; l'exploitation agricole se composait 'une  cinquantaine de pièces de terre ou de prés de quelques ares, disséminées sur les terroirs d'Ecouen, de Villiers-le-Bel et de Sarcelles.

Une grande partie de la population du bourg d'Ecouen était constituée de journaliers, manouvriers, batteurs en grains, petits artisans, ouvriers, jardiniers... qui habitaient de modestes maisons rurales, encore en grande partie conservées. Leur organisation en cours communes est très ancienne : plusieurs de ces cours communes sont citées dans le terrier de 1562-1564. On en compte plus de trente sur le plan cadastral napoléonien de 1827, et elles sont presque toutes conservées aujourd’hui.

 De cet habitat modeste, se distinguent les maisons de bourg et les maisons de notable. Ces maisons ont en commun avec les constructions rurales leurs façades enduites de plâtre et leurs toitures en tuiles à deux pans, mais elles s'en distinguent par la présence de modénatures ainsi que par la présence de plusieurs travées ordonnancées. Elles mettaient ainsi en scène dans l'espace public l'aisance de leurs propriétaires : riches commerçants, notables... La maison située à l'angle de la rue du Maréchal Leclerc et de la rue Georges Joyeux, qui abrite aujourd'hui un commerce en rez-de-chaussée, en est un bon exemple avec ses grandes fenêtres régulières surmontées de linteaux et sa corniche moulurée. Elle a appartenu à la fin du XVIIIe siècle à Eléonore Antheaume, notaire et plus tard maire d'Ecouen.

Ecouen, de par sa situation à flanc de coteau, ayant vue sur la plaine de France, a été très tôt un lieu prisé de villégiature. Le premier et le plus remarquable exemple de cette pratique est bien sûr le château du connétable de Montmorency, tout entier organisé en fonction du panorama. Sur cet illustre exemple se sont greffées au XVIIIe siècle des demeures de plaisance, évidemment plus modestes, mais elles aussi soucieuses de profiter du paysage et du bon air de la campagne, ainsi que d’un jardin. L’exemple le mieux conservé est la demeure construite pour Angélique Titon d’Orgery, qui a gardé son jardin (même si le petit plan d’eau en bas de la propriété a aujourd’hui disparu, voir le dossier IA95000470). La « villa Adeline » était un autre specimen de ces maisons de plaisance, hélas dénaturé.

À cette typologie se rattachent également quelques autres maisons pouvant présenter un belvédère (ex. : 19 rue Georges-Joyeux, dossier IA95000460)

Au XIXe siècle, cette tradition de plaisance s’est un peu modifiée : Ecouen est alors devenu une localité prisée par les artistes naturalistes qui trouvaient matière à peindre « sur le motif », notamment des spécialistes de la peinture animalière ou des scènes rurales. Le plus célèbre de ces peintres est Edouard Frère, qui attira auprès de lui plusieurs artistes. Cette « école d’Ecouen », aujourd’hui un peu tombée dans l’oubli, mais que cherche à promouvoir l’association historique d’Ecouen, a laissé sa trace dans l’habitat avec la présence de maisons de peintres reconnaissables à la verrière éclairant l’atelier.

A partir du début du XXe siècle, on peut associer un architecte à certaines des maisons construites à Ecouen, grâce aux plaques apposées sur les façades. Le plus prolifique est sans conteste Albert Bourgeois. Né à Écouen en 1877, diplômé de l’Ecole des Beaux-Arts en 1905, il devient bientôt architecte communal dans sa ville natale ; à ce titre, il fournit les plans du nouveau bureau de poste (1909-1911) et, en collaboration avec Renard, ceux de l’école Foch (1937). Il construit par ailleurs de nombreuses maisons dans la ville. Sa production va du petit pavillon (voir par exemple le 24 rue de la République ou le 7 rue du Pré Curé) à la villa bourgeoise, telle que la « villa Victoria » au 8 rue Aristide Briand. Son style est représentatif de cette architecture inspirée de la villégiature, alors très prisée en Île-de-France : il joue sur la polychromie des matériaux, les décrochements de toiture, les éléments de décor. Le lotissement de l’allée des Princes montre la variété de ses créations : la villa au n° 26 s’inspire des cottages anglais, les deux maisons jumelles aux n° 41 et 43 sont de style « néo-basque », la maison au n° 45ter est un pavillon très simple, la villa au n° 2, sa propre résidence, est une imposante demeure qui profite de la vue sur la Plaine de France. Albert Bourgeois apparaît ainsi comme l’architecte par excellence de l’Ecouen des années 1910-1930, un temps secondé par son fils André. Il possède cependant une double adresse, à Ecouen mais aussi à Paris, ce qui est révélateur du lien très fort qui unit la petite ville de la Seine-et-Oise à la capitale.

On rencontre également, quoique moins fréquemment, des plaques d’architectes parisiens : Le Templier (10 rue Christine) ; Petit et Barat (21 rue Victor Hugo). Une autre plaque, au 59 rue Paul Lorillon, signale l’intervention d’un architecte de Villiers-le-Bel : J. Boursier. Une maison du Bois-Bleu porte quant à elle le nom de l’entreprise « Netter », très active dans toute la région parisienne pendant les années 1920-1930. On trouve aussi parfois la mention du serrurier qui a façonné les grilles de clôture de ces maisons : deux artisans d’Écouen, G. Caillot et O. Allard, ont ainsi laissé leur cachet, le premier au 6 rue Aristide Briand, le second au 9 rue de la Libération.

Les publications spécialisées livrent également quelques noms d’architectes ayant fourni des projets de villas à Ecouen : Charles Duval[1], Pierre-Louis Sézille[2], P. Pinteux[3]. Gustave Umbdenstock, l’architecte de la compagnie de chemin de fer du Nord, a publié en 1922 les vues d’une « cité-jardin » cheminote à Ecouen, mais cet ensemble a probablement été édifié sur une autre commune, car nous n’en avons pas trouvé trace sur le territoire écouennais[4]. Enfin, Le Corbusier lui-même a fourbi ses premières armes d’architecte en dessinant un lotissement au « Pont Vert », juste à côté de la gare, en 1920[5] - projet toutefois non réalisé.

 

[1] J. Boussard, Petites habitations françaises. Maisons. Villas. Pavillons, Paris, Vve A. Morel et Cie, 1881, pl. 57. Il s’agit de la villa « La Houssaie », cf. plus haut.

[2] L’Architecture, 1905, n° 53 ; La Construction moderne, 1905, n°16. Ce projet évoque la villa réalisée au bout de la rue du Maréchal Leclerc (n°97), mais selon ses propriétaires, que je remercie pour cette information, cette maison ne date que de 1927.

[3] Raoul Brandon et P. Pinteux, L'Architecture nouvelle. 3me série. Constructions diverses et de style "Art nouveau", Dourdan, Ch. Juliot, 1906. Malheureusement, ce projet ne semble correspondre à aucune des maisons recensées à Écouen au cours de notre étude.

[4] L’Architecture usuelle, 1922, n° 166, p. 171 et n°167, p. 185-189.

[5] Des dessins relatifs à ce projet sont conservés à la Fondation Le Corbusier. Le projet portait sur 19 pavillons individuels répartis sur les rues Chevallier, Ravier et Thévenin (aujourd’hui rue du 30Août).

  • Période(s)
    • Principale : 16e siècle, 17e siècle, 18e siècle, 19e siècle, 20e siècle , daté par travaux historiques, daté par source

Le « vieux bourg » d'Ecouen constitue un ensemble bâti très homogène du fait de l'utilisation pour l'ensemble des constructions, quelle que soit leur typologie, des mêmes matériaux locaux. Le plâtre est utilisé comme enduit couvrant sur les façades, dont le gros-œuvre est en moellons de calcaire.  Il est également employé pour la réalisation des éléments de modénature et de décor (corniches, bandeaux, encadrement des couvertures, chaînages d’angles, cordons, soubassements...) ainsi que pour les ouvrages annexes des toitures en tuile ( souches, solins, bourrelets de faîtage...). La plupart des constructions du bourg sont couvertes de petites tuiles plates, parfois remplacées par de la tuile mécanique. Certaines maisons bourgeoises et maisons de campagne marquent leur différence de statut par l'utilisation de l'ardoise.

Le bourg ancien conserve de nombreuses maisons rurales, habitat modeste souvent organisé autour de cours communes. Accessibles depuis la rue par un accès discret, passage couvert ou ouvert,  ces cours communes se déploient à l'arrière des fronts bâtis des rues, presqu'invisibles de la rue, comportant pour certaines plusieurs cours successives reliées par des passages couverts ou des ruelles. Elles abritent, implantées dans un joyeux désordre, des petites maisons d'une ou deux travées aux façades simples, peu percées et sans décor, comportant une ou deux pièces au rez-de-chaussée, une ou deux chambres au premier étage, un grenier et parfois une cave.

Se ditinguent de cet habitat modeste les maisons de notable, qui se caractérisent par plusieurs éléments, d'ailleurs susceptibles de se cumuler : le gabarit (façade de trois travées ou plus, entrée par porte bâtarde), les matériaux (toit en ardoise ou en zinc), le décor (épi de faîtage, marquise), l’implantation (en retrait de la rue, dont la demeure est séparée par un mur ou un muret surmonté d’une grille, percé d’un portail en bois ou en fonte), des communs à vocation non agricole (maison de gardien, écurie, gloriette…), un jardin.

A partir de la seconde moitié du XIXe siècle, à cet habitat traditionnel viennent s’ajouter de nouveaux logements qui tranchent avec les usages anciens par leur style et leur typologie, selon un processus qui se retrouve dans toute la région parisienne. Alors que l’architecture traditionnelle employait essentiellement le plâtre et le calcaire, on recourt désormais aussi à la brique et la meulière, dont les teintes viennent animer les façades. La brique est souvent utilisée en complémentarité avec la pierre, ou avec un enduit imitant celle-ci : certaines façades font alterner des bandes horizontales bicolores, d’autres font ressortir certains éléments (entourages de baies, chaînages) sur le fond rouge du mur. Sur les toits, la tuile plate connaît la concurrence du zinc et de l’ardoise, pour les demeures les plus cossues, et de la tuile mécanique pour les pavillons. L’architecture prend ainsi des couleurs beaucoup plus variées qu’auparavant, d’autant que les matériaux sont volontiers laissés apparents, même si les enduits en plâtre ne sont pas totalement abandonnés. Parfois, on va jusqu’à faire croire à l’emploi de pan de bois alors qu’il ne s’agit que d’un enduit peint : ainsi au 34bis rue Paul Lorillon, le pan de bois est bien utilisé pour le vestibule coiffé d’une amusante toiture en zinc, mais il est simplement suggéré par la peinture sur le reste de la façade.

Le décor devient également beaucoup plus fouillé. De nombreuses maisons arborent des carreaux de céramique qui viennent souligner les linteaux de porte et de fenêtre ou les corniches. Certaines sont ornées de plaques émaillées donnant le nom de la villa : « Mon Désir », « Mon château », « La logette »… La ferronnerie joue aussi un rôle important dans le décor des façades, sous forme de garde-corps, de marquises ou de vantaux de porte ou de portail. Dans trois maisons construites pour des peintres d’Écouen, on trouve des moulages en plâtre qui animent les élévations par des bas-reliefs évoquant l’art de l’Antiquité, de la Renaissance ou du XVIIIe siècle. Les décors ainsi rapportés sur les façades sont généralement des productions sérielles : on retrouve le même type de carreaux à décor de pampres de vigne entourant une tête de Bacchus au 17 rue Colette Rousset et au 24 rue Georges Joyeux, et les putti joufflus du 33 rue Paul Lorillon ornent aussi une maison d’Enghien. Mais quelquefois, il s’agit d’œuvres originales, comme la délicate guirlande de roses peinte par Gardon sur les carreaux en façade de sa maison, 10 rue Jacques Yvon.

La sophistication porte même sur le décor au plâtre, un matériau traditionnel de l’architecture vernaculaire, mais qui prend désormais des formes de plus en plus raffinées. Les façades, imitant la pierre, sont animées par des corniches, des bandeaux et des encadrements de baie. La maison édifiée en 1868 au 3 rue Paul Lorillon, juste à côté de la mairie, est un bon exemple de ces maisons bourgeoises de la deuxième moitié du XIXe siècle, avec son perron à double volée et son faux appareil de pierre. Vers la fin du XIXe siècle, le décor devient de plus en plus soigné, multipliant les moulurations : ainsi à la villa « La Houssaie » ou au 58bis rue du Maréchal Leclerc . Cette maison, qui fut habitée par le peintre Haag, présente une grande variété d’ornements : denticules sous la corniche, pilastres à cannelures et chapiteaux ioniques, frises de grecques... Mais elle révèle aussi la fragilité de ce patrimoine : tous les ornements moulés ont disparu sur la partie droite de la demeure, et ils sont en péril sur la façade encore subsistante.

Cette diversité des matériaux et de l’ornementation va de pair avec une plus grande fantaisie stylistique. Certaines façades font référence à l’architecture brique et pierre du début du XVIIe siècle, comme la « villa Gabrielle » (école Sainte-Thérèse) ou des maisons bourgeoises telles que celle au 8 rue Georges Joyeux ou au 5 rue de la République. D’autres développent un langage plus éclectique jouant sur des motifs « classiques » (bandeaux, corniches). Le style néo-gothique n’est pas très fréquent à Écouen, mais il a donné lieu à de belles réalisations : une maison au 36 rue Paul Lorillon et le « castel » de la rue de la Libération. De nombreuses autres maisons peuvent être rattachées à ce que l’on appelle l’architecture de la villégiature, car les fantaisies qu’elle s’autorise sont tout d’abord apparues pour des lieux de vacances ; mais dans l’Île-de-France de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle, ce style n’est plus forcément réservé à la résidence secondaire. Plusieurs maisons d’Écouen s’inspirent de cette esthétique, comme la villa « Les Iris »  (6 rue de la Libération), ou celle au 20 rue de la République, élevée en 1896, dont le grand jardin est désormais occupé par la Résidence de la Plaine de France. Dans ce domaine, le jeu sur les formes de toiture contribue beaucoup au pittoresque des silhouettes des habitations : un toit en poivrière vient ainsi coiffer une tourelle d’escalier au 39 rue du Maréchal Leclerc, tandis qu’ailleurs, c’est une demi-croupe qui souligne l’élévation d’un pignon, ainsi au 2 allée des Princes.

Cette grande variété stylistique ne doit pas faire oublier qu’à côté des villas bourgeoises, on construit aussi beaucoup de maisons très modestes, où de tels raffinements n’ont pas cours. Le registre des déclarations de travaux conservé aux archives municipales en mentionne un grand nombre tout au long des années 1920, à l’exemple de cette « maison en bois sur soubassement en pierres », élevée en 1922 près du carrefour de la rue de la Gare et de la rue d’Ézanville. La plupart de ces habitations très simples, « chalets » ou petits cabanons, ont aujourd’hui disparu, mais il en reste encore quelques-unes, par exemple dans le quartier de Bois-Bleu.

 

  • Typologies
    maison de bourg ; villa ; pavillon ; maison de notable ; maison de peintre ; ferme ; maison de plaisance
  • Toits
    tuile, ardoise, zinc en couverture
  • Murs
    • calcaire moellon enduit
    • brique
    • meulière
  • Décompte des œuvres
    • bâti INSEE 2 960
    • repérées 281
    • étudiées 31

Documents figurés

  • Cadastre "napoléonien" d'Ecouen, 1827 : Archives départementales du Val d'Oise, 3 P 2313 (tableau d'assemblage) à 3 P 3291.

    Archives départementales du Val d'Oise, Cergy-Pontoise : 3 P 2313-3291
    Section C : "Le village".
  • Carte postale : "Ecouen, vieille maison", vers 1900. Editeur : Imprimerie J. Frémont (Beaumont-sur-Oise). Archives départementales du Val d'Oise, Cergy-Pontoise, 30 FI 58 107. Maison à pan-de-bois et galerie-belvédère, aujourd'hui disparue. Consultable en ligne (voir rubrique "liens web).

    Archives départementales du Val d'Oise, Cergy-Pontoise : 30 FI 58 107
  • Carte postale : "Ecouen, villa les Iris", vers 1910. Editeur : Bauer Marchet et cie, Dijon. Archives départementales du Val d'Oise, Cergy-Pontoise, 30 FI 58 106. Consultable en ligne (voir rubrique "liens web).

    Archives départementales du Val d'Oise, Cergy-Pontoise : 30 FI 58 106
Date(s) d'enquête : 2017; Date(s) de rédaction : 2019
(c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel
Förstel Judith
Förstel Judith

Conservateur du patrimoine, Région Île-de-France, service Patrimoines et Inventaire.

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Ausseur-Dolléans Chantal
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