Photographe au service de l'Inventaire.
- inventaire topographique
- (c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel
Dossier non géolocalisé
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Aire d'étude et canton
Enghien-les-Bains
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Commune
Enghien-les-Bains
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Adresse
11bis rue Jules-Regnault
,
rue de la Coussaye
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Cadastre
1995
AE
175
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Dénominationsmaison
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AppellationsLa Roseraie
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Parties constituantes non étudiéesjardin d'agrément
Maison construite vers 1900 par l'architecte Anatole de Baudot pour madame Léontine Augas dans une parcelle d'angle d'un nouveau lotissement établi à proximité de la propriété Le Windsor. L'ensemble des projets et dessins préparatoires pour l'élaboration de l'édifice est conservé à la médiathèque du patrimoine dans le fonds Anatole de Baudot. Il semblerait que le projet a tout d'abord été de construire des maisons jumelles, La Roseraie et Les Fauvettes, dans un style mâtiné d'éléments néo-mauresques. Finalement, c'est l'alternative du projet individuel de La Roseraie qui a été retenu. Le bâtiment, dont la composition générale n'a pas été altérée a toutefois fait l'objet de quelques modifications par rapport au dessin initial : la travée situé à gauche de la tourelle se terminait à l'origine par un pavillon à la couverture cintrée, alors qu'aujourd'hui cette partie a été agrandie et le toit refait en terrasse. Plus récemment, un autre agrandissement à été mis en place, à l'arrière de l'édifice. Pour le décor de grès, on peut avancer le nom du céramiste Bigot à qui l'architecte fait constamment appel.
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Période(s)
- Principale : 1er quart 20e siècle
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Auteur(s)
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Auteur :
Baudot Anatole dearchitecte attribution par sourceBaudot Anatole deCliquez pour effectuer une recherche sur cette personne.
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Auteur :
De plan massé avec une tourelle polygonale d'angle posée sur une structure métallique et couronnée d'un petit dôme de ciment, la maison, couverte par un toit en terrasse affirme l'originalité de la réflexion de l'architecte sur l'habitat privé, basée sur le rationalisme et l'économie. Il optimise l'utilisation de nouveaux matériaux comme le béton et innove dans la technique du décor. L'ingéniosité et le modernisme des façades se lit notamment dans des détails tels l'absence de linteaux individuels, jugés inutiles par l'architecte, ou les chenaux de la tourelle en ciment. L'élément le plus caractéristique de l'édifice est bien sûr la tourelle, pour sa forme mais aussi pour son décor constitué d'éléments de grès pastillé et triangulaires qui, ayant été insérés dans le béton encore frais, constituent un réseau de motifs losangés particulièrement raffiné. Les mêmes éléments sont également disposés en frise pour marquer les différents niveaux de l'édifice, décor que l'on retrouve porté sur les piliers de béton encadrant les grilles de clôture du jardin et le portail. d'entrée.
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Murs
- béton
- meulière
- moellon
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Toitsbéton en couverture
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Étagessous-sol, rez-de-chaussée, 2 étages carrés
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Couvertures
- terrasse
- dôme
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Escaliers
- escalier dans-oeuvre
- escalier de distribution extérieur
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Techniques
- céramique
- fonderie
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Statut de la propriétépropriété privée
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Sites de protectionzone de protection du patrimoine architectural urbain et paysager
- (c) Région Ile-de-France - Inventaire général du patrimoine culturel
- (c) Ministère de la culture
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Conservateur du patrimoine, Région Île-de-France, service Patrimoines et Inventaire.
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